lundi 8 octobre 2012

L'Eglise de Scientologie ouvre son bureau national des Affaires extérieures à Washington


Le 12 septembre 2012, l'Eglise de Scientologie a inauguré son Bureau national des affaires extérieures. La cérémonie, qui a réuni plus d'un millier de personnalités, dignitaires et membres de l'Eglise, était présidée par David Miscavige, président du Religious Technology Center et chef ecclésiastique de la religion de Scientologie. Dan Burton, Sheila Jackson Lee et Danny Davis, représentants au Congrès, ont assisté à cette inauguration ainsi que Mlle Liz Gibson, directrice senior de programme à l'Agence fédérale de la gestion des urgences.

Situé dans le bâtiment historique de Fraser Mansion près de Dupont Circle, le nouveau Bureau national constitue le point central à partir duquel l'Eglise coordonne ses nombreuses activités sociales et humanitaires au niveau national et international.

L'ouverture du Bureau national des Affaires extérieures était devenue indispensable suite au développement sans précédent des programmes parrainés par l'Eglise de Scientologie pour répondre à une demande de plus en plus forte au niveau international. Au cours des dernières années, de nombreuses Eglises de Scientologie de nouvelle génération (dites idéales) ont ouvert leurs portes dans les grandes villes du monde entier. Aux Etats-Unis, on trouve par exemple de nouvelles églises à Washington, D.C., à New York, San Francisco, Los Angeles, Sacramento, Seattle, Denver et Phoenix. Au niveau international, il y en a à Rome, Londres, Madrid, Bruxelles, Berlin, Hambourg, Mexico, Johannesbourg, Melbourne, Moscou et Tel Aviv. Les églises idéales sont destinées à servir leurs paroissiens ainsi que la collectivité au sens large, alors que le Bureau national des Affaires extérieures doit faciliter la mise en place des programmes parrainés par l'Eglise, à la fois au niveau national et international.

Ces programmes englobent une initiative internationale pour les droits de l'homme ; des programmes d'information sur la drogue, de prévention et de réhabilitation ; un programme de réhabilitation complète des délinquants ; un réseau mondial de centres d'apprentissage et de lutte contre l'illettrisme ; un mouvement de soutien des valeurs morales pour restaurer la fraternité entre les hommes, ainsi que les ministres volontaires de Scientologie, la plus grande force de secours  indépendante à intervenir depuis plus de dix ans sur des sites de catastrophes.

David Miscavige, président du Religious Technology Center et chef ecclésiastique de la religion de Scientologie, a souligné l'importance du nouveau Bureau national des Affaires extérieures pour la grande mission sociale et humanitaire de l'Eglise : “Voici un Bureau conçu pour rendre au gouvernement américain, qui a protégé sans faiblir nos droits à la liberté religieuse, la même liberté qui nous permet de faire ce que nous faisons aujourd'hui. Et ainsi nous étendons notre sphère en invoquant ce que nous considérons être le plus grand de tous les droits, le droit que l'on doit invoquer si l'on veut se battre pour la liberté des autres : le droit d' aider. Et c'est ce que nous nous engageons aujourd'hui à faire avec l'inauguration de ce nouveau Bureau national des Affaires extérieures de l'Eglise de Scientologie.”

L'Honorable Dan Burton a évoqué les contributions marquantes de l'Eglise à la protection des enfants pour éviter leur mise sous psychotropes et à la préservation des droits des familles : “Je vous  applaudis pour avoir consacré du temps à cette question et pour avoir fait adopter la loi sur les médicaments et la sécurité des enfants (Child Safety and Medication Act). En travaillant ensemble, nous avons pris part à un processus de correction pour protéger les jeunes Américains tout en soutenant et en protégeant la liberté.”

Pour sa part, un autre membre du Congrès américain, l'Honorable Sheila Jackson Lee a rendu hommage à l'Eglise pour son dévouement total aux droits de l'homme : “Je veux remercier Ron Hubbard d'avoir reconnu que le courage n'est pas récompensé mais qu'il est précieux. Et pour avoir été capable de créer cet émerveillement, des gens qui se rassemblent, et de s'assurer que ces gens se rassemblent pour la paix. C'est ce que je vois dans votre Eglise, que vous vous êtes rassemblés pour la paix. J'apprécie cela et je vous apporte mon soutien.”

L'Honorable Danny Davis a remercié l'Eglise de s'engager pour améliorer l'un des problèmes de société actuels les plus pressants, la réhabilitation des délinquants : “Depuis 2004, l'Eglise fait partie d'une large coalition qui a travaillé sans répit avec nous au Congrès pour faire adopter la loi sur la Seconde Chance, ce qui est un premier pas historique vers la réforme de notre système national de justice pénale. Je vous suis très reconnaissant pour le travail que vous faites afin d'aider ces personnes qui en ont le plus besoin.”

Liz Gibson, Directrice de programme senior à l'Agence fédérale de la gestion des urgences, a souligné l'efficacité des bénévoles de l'Eglise lors d'interventions sur des sites de catastrophes ou pour aider la collectivité : “Vous avez apporté votre aide à plusieurs reprises suite à des catastrophes  majeures ou mineures dans le pays. Vous arrivez, vous aidez, vous aidez encore plus et vous restez quand tous les autres sont déjà rentrés. Tout notre travail, du niveau politique jusqu'au niveau local,  dépend de groupes comme les équipes de secours d'urgence des Eglises de Scientologie : ces partenariats sont et seront dans le futur la force de notre travail ici dans ce pays.”

Le Bureau national des affaires extérieures de l'Eglise de Scientologie abrite un éventail d'installations permettant d'organiser des réunions, conférences, séminaires, ateliers et événements destinés à encourager à travailler en collaboration sur des solutions aux plus grands problèmes de notre société. Le Chestnut Hall, en particulier, est configuré pour accueillir toute une gamme d'événements, de symposiums sur les droits de l'homme à des ateliers d'information sur la drogue, sans oublier des panels de discussions, des conférences de presse et des cérémonies de remise de prix.

L'Eglise de Scientologie a acquis Fraser Mansion en 1994 pour abriter l'Eglise de Scientologie de Washington, D.C., qui se trouve maintenant dans des locaux plus grands dans le quartier historique de Church Row, sur la 16ème Rue. La propriété, qui date de 1890, est un bâtiment qui fait partie du patrimoine historique. Sous la garde de l'Eglise, la combinaison des styles Beaux-arts, Renaissance et Romanesque a été soigneusement restaurée pour retrouver son faste original. Fraser Mansion se trouve également à quelques mètres de l'Eglise fondatrice au 1812 19ème Rue NW, fondée par Ron Hubbard en 1955.

L'inauguration du Bureau national des Affaires extérieures fait suite à l'ouverture en 2012 d'une série de nouvelles églises de Scientologie dites « idéales », parmi lesquelles : le nouveau Centre de Scientologie de Tel Aviv-Jaffa, le 21 août ; l'Eglise de Scientologie de Los Gatos, Californie, le 28 juillet ; Buffalo, le 30 juin ; Phoenix, Arizona, le 23 juin ; Denver, Colorado, le 16 juin ; Stevens Creek près de San Jose, Californie, le 9 juin ; Orange County, Californie, le 2 juin ; Grand Cincinnati, le 25 février ; Sacramento, Californie, le 28 janvier et Hambourg, le 21 janvier.

Pour la liste complète des nouvelles Eglises de Scientologie, voir scientology.org.

La religion de Scientologie compte aujourd'hui plus de 10 000 églises, missions et groupes, et des  millions de membres dans 167 pays. 

CONTACT : Bureau des Relations publiques : 01.53.33.52.09


OSCE : Discours du Bureau européen des droits de l'homme de l'Eglise de Scientologie


Réunion annuelle sur la mise en œuvre des engagements de la dimension humaine de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) à Varsovie en  Septembre/Octobre 2012.  
A l'occasion de cet événement, Eric Roux est intervenu et son discours donné le 1er octobre 2012 est disponible sur le site de l'OSCE.

"Je prends la parole au nom du Bureau européen des droits de l'homme de l'Eglise de Scientologie. Malgré de nombreuses recommandations de la part d'instances internationales des droits de l'homme, la politique française à l'encontre des minorités religieuses ne s'est pas améliorée. Au contraire, elle a franchi un pas de plus depuis la précédente réunion sur la mise en œuvre des engagements de la dimension humaine de l’OSCE en 2011.

Contrairement aux allégations des pouvoirs publics français, qui affirment qu'ils n'utilisent plus de liste de mouvements, la mission interministérielle de lutte contre les soi-disant ”sectes”, la Miviludes, utilise un “référentiel” d'environ 600 mouvements, un système de dossiers compilés exclusivement à partir de rapports accusateurs et de dénonciations reçues par la mission au sujet de minorités religieuses spécifiques.

Malgré sa promesse que ce référentiel serait mis à la disposition des mouvements concernés et ne serait pas tenu secret, la Miviludes refuse toujours de leur donner libre accès aux dossiers, tout en mettant ceux-ci à la disposition des juges et des autorités chargées de l'application de la loi, ainsi qu'aux personnes ayant à traiter des affaires familiales et des cas de divorce.

De plus, des séminaires spécifiques intitulés “sessions de sensibilisation” aux soi-disant “sectes” sont donnés chaque année aux juges et aux procureurs à l'Ecole Nationale de la Magistrature depuis 15 ans.

Ces séminaires organisés par la Miviludes ciblent directement les mouvements religieux  listés comme “sectes” par la Miviludes. Ils se basent entièrement sur la documentation fournie par les associations “antisectes”, sans aucune possibilité pour les communautés concernées de rectifier les informations.

Ils ont lieu dans le cadre de la “formation continue” des juges et des procureurs, mais s'adressent maintenant également à des juges et à des procureurs “en formation”, avant leur entrée en fonction.

La session de sensibilisation 2012 incluait des conférences par des apostats de minorités religieuses et par des associations “antisectes”, sans aucune possibilité pour les groupes visés de répondre. Les représentants de la Miviludes ont remis des documents aux participants afin de les informer sur la question des “sectes” dans leur pays. L'un de ces documents contient une définition des “dérives sectaires”, qui sont définies comme une “perversion de la liberté de pensée, d'opinion ou de religion”.

Cette pratique a été étendue à d'autres domaines de la société. Un nouveau cursus universitaire a été créé, consacré à la “sujétion sectaire”. Dans ce cadre, des travailleurs sociaux, des professionnels de la justice, des psychiatres et des auxiliaires médicaux sont formés à repérer de soi-disant “victimes de sectes” dans leur pratique professionnelle, même si ces  personnes ont adhéré à une minorité religieuse de leur plein gré et ne se plaignent de rien.

Ces programmes de formation de plus en plus larges constituent un système d'endoctrinement des magistrats et de stigmatisation des minorités religieuses, qui violent les droits de leurs membres, garantis par la Convention européenne des Droits de l'homme, les accords
d' Helsinki et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

Nous demandons respectueusement au Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme de l'OSCE d'intervenir pour mettre fin à ces pratiques discriminatoires et pour permettre au gouvernement français de mettre en oeuvre une politique plus ouverte, basée sur le dialogue avec les minorités de religion ou de conviction.

lundi 1 octobre 2012

Journée internationale de la Paix : Des Jeunes pour les Droits de l’Homme


Paris – A l'occasion de la Journée internationale de la paix, samedi 29 septembre, les membres de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights) ont installé leur stand d’information sur l'esplanade du Trocadéro, place des droits de l'Homme.

L’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré que c’était une journée mondiale de cessez-le-feu et de non-violence, invitant toutes les nations et les peuples à respecter l'arrêt des hostilités.

L’association a répondu à l’appel du Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon qui a déclaré : « J’engage tout un chacun, d’ici au 21 septembre, à réfléchir à la façon dont il peut contribuer. Employons-nous ensemble à faire que le chemin de Rio nous mène au développement durable, à la paix durable… et à un avenir où nous vivrons tous en sécurité. »

Les bénévoles ont célébré cette journée de paix avec des moyens éducatifs et de sensibilisation, faisant signer des pétitions dans le but de promouvoir la paix à travers la Déclaration universelle des Droits de l'Homme de 1948. Ils ont collecté des
centaines de signatures sur l’esplanade et sur leur stand annoncé par une belle bannière bleue et ont offert gracieusement aux passants des livrets éducatifs « Les droits de l'Homme, Qu'est-ce que c'est? ».

La responsable de l’antenne parisienne: « Pour combattre un fléau qui sévit dans de nombreux pays en Asie et d’autres continents, le trafic humain, il faut sensibiliser l’opinion publique et leur faire prendre conscience que des droits sont violés chaque seconde. Chaque jour des milliers de vies sont détruites, celles de femmes et d’enfants, qui sont forcés à travailler ou sont exploités pour de l’esclavage sexuel. Même des familles sont vendues, ce qui est absolument révoltant, voire répugnant. Ce commerce génère plus de 35 milliards de dollars par an. La lutte contre ce trafic est de la responsabilité de chacun de nous et l’humaniste Ron Hubbard déclarait que  ‘Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste’. »

Le but de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme », fondée en 2001, est d'enseigner aux jeunes dans le monde entier ce que sont les droits de l’homme mais également leurs devoirs. Ils pourront ainsi devenir de précieux défenseurs pour la promotion de la tolérance et de la paix.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français : http://fr.youthforhumanrights.org/

Contact presse : Martine au 06 22 75 75 20  ou  droitsdelhomme@gmail.com