lundi 7 janvier 2019

La Déclaration universelle des droits de l'Homme à l'honneur à Genève





GENÈVE, le 23 décembre 2018 (Newswire.com) – A l’occasion du 70e anniversaire de l’adoption par l’ONU de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH), environ 120 représentants d’ONG et de groupes religieux ont rempli la salle VII du Palais des Nations, autrefois siège de la Société des Nations et actuellement siège des Nations Unies à Genève. C’est dans cette salle que se tenaient jusqu’en 1946 les réunions de l’Organisation des Nations Unies nouvellement créée.



La conférence a été organisée par CAP (Coordination des associations et des Particuliers pour la liberté de conscience) et la Fundacion Vida (Fondation Life Green Ecological Group) ainsi que les missions permanentes de l’Estonie, de la Finlande, des Philippines et de la Slovaquie auprès de l’ONU...

L’éducation aux droits de l’homme fut le thème de nombreuses présentations des ONG, d’organisations religieuses et de militants des droits de l’homme : sept décennies après l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, la plupart des gens ne pouvant citer qu’une poignée des 30 droits consacrés dans le document, il n’est pas étonnant que le monde soit en proie à tant de violations des droits de l’homme.

La conférence a débuté par une présentation des missions permanentes auprès de l’ONU, encourageant tous les militants à poursuivre leur travail sur les droits de l’homme et à travailler avec leurs gouvernements pour atteindre des objectifs humanitaires.

Le documentaire primé Histoire des droits de l’homme, produit par Tous Unis pour les droits de l’homme, association à but non lucratif parrainée par l’Église de Scientologie, a ensuite été projeté...

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Les peuples indigènes ne sont pas dupes

Voici un article publié par slate.fr qui en dit long sur comment on considère certaines populations autochtones :  

«Nous allons traduire l’État français devant la justice internationale, pour crime contre l’humanité.» L’annonce, déjà surprenante, redouble d’intérêt lorsqu’on en connaît l’auteur: l’Église protestante de Polynésie.

... John suit la délégation officielle, qui s’établit à Mangareva, très loin de Moruroa, où l’on lâche les bombes. Mais ce samedi de juillet 1966, des retombées radioactives inondent Mangareva. John voit le ministre être évacué en vitesse, contrairement à la population locale, qui n’en sera jamais informée...

À l’occasion de son 132e synode, l’Église protestante ma’ohi déclare attaquer l’État français pour crime contre l’humanité, devant les Nations Unies...

Les protestants ont érigé le combat anti-nucléaire en un devoir moral, spirituel, au service de deux idéaux précis: «Notre combat, c’est une question de vérité et de justice», explique Taaroanui Maraea...

«Cela fait cinquante ans qu’on sensibilise la population sur cette question, explique le président de l’Église Taaroanui Maraea. Se battre pendant cinquante ans ne signifie pas qu’on ait gagné, simplement qu’on maintient les consciences éveillées...

Pour l’anecdote, Bruno Barrillot, lanceur d’alerte qui a consacré sa vie à dénoncer les tirs en Polynésie, était prêtre. Il a écrit plusieurs lettres à ses supérieurs, y réclamant que l’Église catholique s’oppose officiellement aux essais. Atterré par l’impassibilité de ses homologues, Bruno Barrillot finit par renoncer à la prêtrise. Mitema Tapati sourit, un poil narquois: «Sans vouloir polémiquer, l’Église catholique est la mère de la France. Une mère ne dénonce pas sa fille.»
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L’humaniste et philosophe, L. Ron Hubbard, a écrit les 21 préceptes d'un livret 'Le Chemin du bonheur' dont l’un d’entre eux s’intitule Sauvegardez et améliorez votre environnement : 

« Il peut paraître à certains que c’est aller chercher bien loin et que c’est irréaliste de dire que nous avons tous une part de responsabilité dans la préservation de notre planète et qu’il est en notre pouvoir et même de notre devoir d’y contribuer. Pourtant, de nos jours, ce qui se passe de l’autre côté de la planète, même aussi loin que cela, peut avoir des répercussions dans notre foyer.
De récentes découvertes grâce à des sondes spatiales lancées vers Vénus ont montré que notre monde risquait de se dégrader au point de ne plus pouvoir porter aucune forme de vie. Et cela pourrait bien arriver au cours de notre existence.
Abattez trop de forêts, polluez trop de rivières et d’océans, empoisonnez l’atmosphère et c’en est fait de nous. La température au sol s’élèverait au point de tout griller, la pluie se transformerait en acide sulfurique. et toutes les choses vivantes disparaîtraient..

L’Homme en est arrivé au point où il a potentiellement la capacité de détruire la planète. Il faut le pousser jusqu’au point où il peut la sauver et qu’il le fait.

Car, après tout, c’est sur cette planète que nous vivons. »

 


Tout et n'importe quoi sur les « fake news ».


Dans l'article "Comment détecter une fake news ?" écrit par un journaliste indépendant, on apprend les ficelles du métier.


Voici comment commence l'article:

Les critères élaborés par la déontologie de la profession journalistique permettent d’établir un faisceau d’indices facilitant la caractérisation de « fake news ».

La liberté d’expression, vitale dans une saine démocratie, n’est acceptable qu’accompagnée du respect des règles déontologiques par ceux qui fabriquent les informations. Quand ces règles sont ignorées ou bafouées, toute la communauté en souffre...


Pour découvrir les différents critères, cliquez ici

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Au sujet de la vérité, l'humaniste et philosophe, L. Ron Hubbard avait déjà écrit il y a plusieurs décennies :
" Lorsque vous détenez vous-même la vérité, les ombres par lesquelles vous étiez lié ont tendance à se désagréger.
ou encore
" La liberté de choisir la vérité n’est pas une chose pour laquelle l’Homme est connu. Il n’a pas été connu pour cela du tout. Il a été connu tout au contraire pour l’esclavage de quelque chose que quelqu’un a dit être vrai. Et c’est une chose bien différente que la liberté de choisir des vérités. "