mercredi 27 octobre 2010

Guerres, conflits, disputes : une tierce personne est derrière

Paris - A l’occasion de la Journée internationale pour la Résolution des Conflits, samedi 23 août, les bénévoles de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights) ont parcouru les rues du 17e  et ont distribué des centaines de feuillets qui évoquent les 30 articles de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme reprenant ces articles sous forme simplifiée.

Cette action se poursuit depuis des années dans toute la France par les membres qui font connaître cette Déclaration signée en France en 1948 dans le but de combattre l'oppression et la discrimination. En connaissant ses droits et notamment l’article 29, l’individu saura qu’il a des devoirs envers la communauté.

Les conflits ne cessent d’exploser sur tous les continents, mais ils existent même au niveau individuels, que ce soit un différend d'ordre familial, de voisinage, commercial ou bien social. Des tentatives de médiation sont lancées mais finissent souvent par relancer un nouveau conflit.

Les statistiques sont épouvantables dans le monde. 300.000 enfants soldats sont à tout moment engagés dans les conflits et représenteraient 50% des victimes civiles de ces conflits. Ainsi, plus de 2 millions d'enfants soldats seraient morts au combat ces dix dernières années. 20 millions d'enfants ont été contraints de fuir de chez eux en raison des conflits et de violations des droits fondamentaux, et vivent comme réfugiés dans les pays voisins ou sont déplacés dans leur propre pays.

« Cette situation bafoue la Déclaration universelle des droits de l’homme ratifiée en 1948 et il faut absolument que les pays occidentaux et les états signataires prennent des décisions radicales et les mettent ipso facto en application. Les enfants et tout être humain ont droit à ce que leur dignité soit respectée. Alors qui a intérêt à entretenir de telles violences, de telles hostilités ? Qui se cache derrière ces discordes ? » a déclaré le responsable de l’antenne française.

Le but de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights) est d'élever le niveau de connaissance de ces droits grâce à des présentations audiovisuelles et autres outils éducationnels.

« Pour qu’une dispute ait lieu, une troisième partie inconnue doit être activement en train de la provoquer entre les deux opposants potentiels, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français : www.youthforhumanrights.org ou http://desjeunespourlesdroitsdelhomme.fr

Contact presse : Martine au 06 22 75 75 20 ou droitsdelhomme@gmail.com

mardi 19 octobre 2010

Conférence de l'OSCE à Varsovie

Il m'a semblé important de reproduire ci-dessous l’intervention au nom de l’Eglise de Scientologie dans le cadre de la conférence sur la dimension humaine. Conférence qui s’est tenue à Varsovie du 30 septembre au 8 octobre 2010 : (OSCE : Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe)

Je prends la parole au nom du Bureau Européen des droits de l’homme de l’Eglise de Scientologie. Je souhaite aujourd’hui attirer l’attention de votre Assemblée sur la situation des minorités religieuses en France, qui est particulièrement préoccupante. En effet, la Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) a adopté et mis en œuvre une politique de répression des minorités religieuses qui contrevient non seulement aux accords d’Helsinki, mais aussi à la Convention européenne des droits de l’homme telle qu’interprétée par la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg.

Le 10 juin 2010, la Cour européenne des droits de l’homme a rendu à l’unanimité un arrêt décisif en faveur de la liberté religieuse dans l’affaire Témoins de Jehovah de Moscou c. Russie dans lequel elle a clairement réaffirmé le droit de chacun de mener sa vie selon ses propres choix en fonction de ses croyances religieuses et en particulier le droit de s’impliquer dans des activités religieuses, quelle que soit la réticence des personnes non croyantes concernant les choix religieux de leurs proches.

La MIVILUDES, au lieu d’encourager le dialogue au sein des familles, utilise des lettres de personnes inquiètes quant au choix de vie de leurs proches membres de minorités religieuses pour : 1) classifier celles-ci comme « sectaires » sans enquête plus approfondie, 2) les stigmatiser dans les médias, 3) les inclure dans un référentiel mis à la disposition des magistrats, et 4) organiser des « descentes » dans les communautés visées.

En mai 2009, le Président de la MIVILUDES, M. Georges Fenech, a annoncé dans les médias la création d’un référentiel d’approximativement 600 « mouvements sectaires » établi sur la seule base de signalements ou de plaintes à l’encontre de mouvements de religion ou de conviction minoritaire. A ce jour et contrairement aux déclarations qui ont été faites à ce sujet, aucun accès au référentiel n’a été fourni aux groupes visés ; celui-ci a néanmoins été mis à disposition des magistrats et des services sociaux, ainsi que des élus locaux.

Le 1er septembre 2009, suivant une recommandation du président de la MIVILUDES, une unité de police spécialisée a été créée : la CAIMADES (Cellule d’Assistance et d’Intervention en Matière de Dérives Sectaires). Son principal objectif est d’inciter les forces de police et les magistrats français à réunir les éléments permettant de caractériser des infractions d’emprise mentale dans les affaires impliquant des minorités religieuses ou de conviction. La CAIMADES est assistée par des psychologues, des psychiatres et des associations antisectes pour que les adeptes soient pris en charge durant leur garde à vue, afin d’assurer leur « traitement » et prévenir la reconstitution de la communauté démantelée.

Sous prétexte que la MIVILUDES a reçu des lettres de personnes ou de familles inquiètes, M. Fenech a organisé des « visites » surprise musclées en compagnie des médias dans certaines communautés, visites qui ont été suivies par de graves accusations dans les média et la stigmatisation des groupes concernés.

Cette politique des autorités françaises viole les engagements pris par la France de respecter le droit à la liberté de religion ou de conscience et la liberté de s’associer pour pratiquer sa religion.

mardi 12 octobre 2010

La Journée mondiale contre la peine de mort devrait disparaître

Paris – Un Etat n’a pas le droit de tuer ses citoyens, or en 2009, 18 pays ont encore procédé à des exécutions. La Journée mondiale contre la peine de mort a été lancée le 10 octobre 2003 à l'initiative d'une série d'organisations, d’associations de juristes, de collectivités locales et de toutes sortes d'organisations attachées à la lutte contre la peine de mort et désirant unir leurs efforts de lobbying et d'action sur le plan international.

Samedi 9 octobre, des forces se sont mobilisées dans plusieurs villes de France et les bénévoles de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights) ont fait signer des centaines de pétitions aux passants prônant la nécessité de mettre une priorité à l’éducation des droits de l’homme dans les écoles.

Durant la conférence de l’OSCE à Varsovie qui s’est tenu il y a quelques jours, Mary Shuttleworth, Présidente de lassociation Youth for Human Rights International (YHRI), l’association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme », a déclaré que l’association « a été créée car des enquêtes ont montré que les gens dans les pays du monde entier y compris l’Europe, ne connaissaient pas la Déclaration universelle des Droits de l’Homme ou ce que sont leurs droits. Le but de l’association est d’éduquer les jeunes aux droits à partir de la Déclaration universelle des droits de l’Homme. »

« Il est difficile d’imaginer qu’en 2010, il soit encore fait usage de moyens tels que la décapitation, la lapidation, la pendaison, l’électrocution ou encore l’injection létale… pour punir à raison ou à tort des êtres humains. Comme de nombreuses associations, nous avons fait face à des difficultés principalement dues à l'opposition de personnes qui usant de droits acquis se complaisent dans la discrimination et l'ignorance. Mais nous continuerons à mener notre campagne d’éducation à travers le monde quoiqu’il arrive, » a déclaré le représentant de l’antenne française.


« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français et découvrez les différentes publications : www.youthforhumanrights.org

Contact presse :

Martine au 06.22.75.75.20 ou droitsdelhomme@gmail.com