mercredi 20 janvier 2016

Premier danger du cannabis : le décrochage scolaire !

Si le nombre d'incidents graves dans les collèges et lycées publics a été stable en 2015, la consommation de drogues, elle, continue sa progression. Parmi elles, le cannabis reste évidemment la plus consommée par les jeunes gens qui banalisent sa consommation. Pour preuve, les spécialistes considèrent aujourd'hui qu'à 16 ans, plus de la moitié des adolescents l'ont expérimenté. Une drogue qui n'est en revanche pas la seule présente dans les établissements scolaires pour le docteur Philippe Batel qui parle d'"expérimentations d'un grand nombre de produits psychoactifs".
 
L'invité de RTL Grand Soir, psychiatre et addictologue, explique par ailleurs que cette consommation de drogues de différents genres, même si elle n'intervient pas pendant les temps scolaires, est un véritable danger du quotidien. "On est toujours dans une approche globale. Bien évidemment, s'il vont se défoncer (sic) avec des produits le weekend (...) ils vont avoir des répercussions le lundi et même une grande partie de la semaine", explique-t-il au micro de RTL.

Ces répercussions s'en ressentent obligatoirement dans le travail de ces élèves dont l'apprentissage ne peut se faire dans de bonnes conditions. "Le premier danger du cannabis c'est le décrochage scolaire. On le sait parce qu'il agit sur le lobe frontal, qui est celui qui va servir au cerveau en particulier dans les capacités d'apprentissage et de prise de décision". Au delà, de la simple concentration et de la mémoire, des produits plus dangereux peuvent également altérer directement l'état psychologique. "Il y a certains produits utilisés le samedi soir, je pense à l’ecstasy, au MDMA, qui est actuellement en vogue chez les lycéens, qui vont avoir des répercussions trois jours après par une espèce de petite vague dépressive", explique le spécialiste.

[...]

Pour en savoir plus : http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/consommation-de-cannabis-dans-les-lycees-il-y-a-une-banalisation-totale-dit-un-psychiatre-7781202219


Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, a écrit : "Le handicap du consommateur de drogues, même après qu'il a cessé d'en prendre, est qu'il a des "absences" à des moments inattendus, qu'il a des périodes d'irresponsabilité et tend à tomber facilement malade."
Le handicap du consommateur de drogues, même après qu’il a cessé d’en prendre, est qu’il a « des absences » à des moments inattendus, qu’il a des périodes d’irresponsabilité et tend à tomber facilement malade. - See more at: http://scientologie-espace-presse.fr/problemes-drogue/#sthash.BzggcP3H.dpuf
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mercredi 6 janvier 2016

La religion dans le monde du travail

Dans un silence religieux, une centaine de collaborateurs de BNP Paribas ont écouté, mardi 6 octobre, des représentants du catholicisme, de l’islam, du protestantisme et du judaïsme échanger sur la place du fait religieux dans l’entreprise, à l’occasion de la « semaine de la diversité » organisée par la banque. « Dans une période où le fait religieux s’affirme, l’attitude réservée et prudente qui caractérise généralement le banquier risque de mener au déni » sur la place de ces questions dans le monde professionnel, a signalé en guise d’introduction Michel Konczaty, directeur général adjoint. Comme l’a laissé échapper la directrice de la diversité Barbara Levéel, le pardon ou plutôt le droit à l’erreur, « on y a beaucoup réfléchi chez BNP », en référence aux mésaventures américaines de la banque. [...]

En écho à la multiplication des demandes de managers à ce sujet, Marie-Hélène Zorn a rappelé le cadre législatif : c’est la République, et non la société, qui est laïque. « Sont tenus à la laïcité les fonctionnaires et les agents du service public. » Pour les entreprises privées, le principe est celui de la liberté de religion : « Croire, ne pas croire, dévoiler ses croyances, extérioriser les signes religieux. » Toutefois, « il peut y avoir des subtilités lorsqu'elles gèrent une mission d’intérêt général, avec une déontologie très forte… comme les banques ». Il est alors possible « d’apporter des restrictions au cas par cas, justifiées, proportionnées et légitimées par un impératif professionnel ».

[...]

Pour en savoir plus : http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/10/07/quelle-place-pour-le-fait-religieux-en-entreprise_4784540_3234.html

Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie a dit : « ...La religion constitue le premier sens de la communauté. Or ce sens est fondé sur l’expérience mutuelle avec autrui. Une société où le sens religieux de la communauté, et avec lui une confiance et intégrité réelles, sont à même d’être détruits, est telle un château de sable incapable de se défendre contre la mer inexorable.... » Extrait du texte L'influence de la religion dans la société.

mardi 5 janvier 2016

Le bonheur au travail


La première "Université du bonheur au travail" ouvre ses portes aujourd'hui et pour trois jours, à Paris. L'occasion pour 120 "étudiants", issus du monde de l'entreprise, de se former aux nouvelles méthodes qui permettent d'être heureux au travail.

Çà se passe sur le campus de l'Inseec, une école de commerce. Trois jours pour former "des passeurs de bonheur au travail", selon la formule des organisateurs de la Fabrique Spinoza, un think tank qui veut promouvoir "le bonheur citoyen".

Le bonheur au travail, l'expression peut paraître surprenante. Et pourtant c'est la grande mode aux Etats-Unis, par exemple : on voit fleurir un peu partout dans les entreprises, notamment celles des nouvelles technologies, des "chief happiness officer", des "responsables du bonheur". Chez Mc Donald, chez Google ou chez Zappos. Mais aussi au ministère belge de la Sécurité sociale ou chez Kiabi, en France.

Pour plus d'information : http://www.franceinfo.fr/emission/s-y-emploie-de-philippe-duport/2015-2016/les-methodes-pour-favoriser-le-bonheur-au-travail-29-10-2015-12-03

Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie disait : "Le niveau de survie d'une personne dépend de son niveau de compétence. Elle va périr dans la mesure où elle est incompétente." - Extrait du chapitre "17. Soyez compétent", du livre Le chemin du bonheur.