jeudi 29 juillet 2010

Pétition pour « La Journée de la destruction des armes légères »

Paris - Samedi 24 juillet, à l’occasion de la « Journée internationale de la destruction des armes légères », les bénévoles de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » ( Youth for Human Rights ) ont parcouru les alentours du parvis de Beaubourg. Ils ont fait signer des centaines de pétitions aux passants prônant la nécessité d’éduquer les gens aux droits à partir de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

La Journée internationale de la destruction des armes légères a été lancée par les Nations unies en 2001. Elle constitue l’événement majeur de la semaine mondiale d’action contre les armes légères.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : environ 640 millions d’armes sont en circulation, soit une pour dix personnes, quelques 8 millions d’armes sont produites chaque année, environ 14 milliards de cartouches à usage militaire sont fabriquées tous les ans, ce qui correspond à deux balles par personne et 1249 entreprises implantées dans plus de 90 pays produisent des armes légères. De plus, dans certains de ces États, les réglementations commerciales sont quasi inexistantes.

À l’occasion de cette journée internationale, plusieurs groupes de plus d’une quarantaine de pays du monde entier ont pris l’initiative d’agir contre la violence armée dans leurs lieux de vie. L’association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » s’est jointe à cet appel et continue à mener sa campagne d’éducation depuis de nombreuses années à travers le monde et a pour but de sensibiliser les jeunes à leurs droits et à leurs devoirs.

« Cette journée est l’occasion pour tout un chacun de prendre des initiatives visant à attaquer de front le problème des armes. Mais comme pour chaque arme détruite, dix sont produites, les efforts déployés par le citoyen lambda sont minés par le refus d’agir des gouvernements. Notre campagne d’éducation sur les droits de l’homme finira bien par porter ses fruits, » a déclaré Max, représentant de l’antenne française.

« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français et découvrez les différentes publications : www.youthforhumanrights.org

Contact presse :

Martine au 06.22.75.75.20 ou droitsdelhomme@gmail.com

mardi 13 juillet 2010

Les droits de l’homme ont aussi leur place dans les prisons françaises

Aux quatre coins de France, à Paris, Angers, Marseille, Nice, Bordeaux, Toulouse, et Lyon, les membres de l’association « Des jeunes pour les droits de l’Homme » (Youth for Human Rights International) mènent tous les week-ends une campagne, depuis près de dix ans. Elle consiste à sensibiliser le public aux droits de l’homme en distribuant des prospectus, même durant cet été en juillet et en août. Sur ces derniers, on peut lire le titre des 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948.

Leur objectif est d’apporter cette connaissance à tout citoyen et ce à partir du plus jeune âge de façon vulgarisée pour éviter que les droits continuent à être violés comme on peut l’observer à chaque instant autour de soi. L’association ne tolère pas non plus des violations comme celle qu’a vécue récemment un détenu hospitalisé d’office, attaché sur son lit pendant près de deux semaines pour prévenir un risque suicidaire.

L’Observatoire International des Prisons a signalé qu’un homme âgé de 32 ans a été incarcéré au centre pénitentiaire de Longuenesse dans le Pas-de-Calais et hospitalisé d’office sur arrêté préfectoral le 3 juin dans le service de psychiatrie du centre hospitalier de Lens. Comme il est reconnu « adulte handicapé » avec un taux d’incapacité évalué entre 50 et 79% en raison de troubles psychiques, il a été placé dans une chambre d’isolement et sanglé sur son lit.

« Nous menons depuis des années une campagne internationale d’éducation aux droits de l’homme », explique la responsable de l’association. « De telles conditions de détention violent directement l’article 5 de la Déclaration universelle des droits de l’HommeNul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. C’est une atteinte à la dignité d’un être. Il faut que les droits humains fondamentaux soient respectés dans notre pays et cela passe par l’enseignement de ces droits à l’école et par une large information du public. »

Le programme d’éducation de l’association internationale des « Des jeunes pour les droits de l’Homme » est la plus grande campagne internationale de sensibilisation aux 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies. Grâce à la diffusion de clips vidéo, à l’organisation de manifestations et de séminaires sur les droits de l’homme et à la distribution de documents éducatifs, cette campagne a déjà touché plusieurs centaines de millions de personnes.

« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français : www.youthforhumanrights.org

Contact presse :

Martine au 06.22.75.75.20 ou droitsdelhomme@gmail.com

lundi 12 juillet 2010

Des droits humains pour les réfugiés

Clermont - Samedis 12 et 19 juin 2010, Place de Jaude, l’antenne clermontoise de l’association « Des jeunes pour les droits de l’Homme » ( Youth for Human Rights International ) a commencé sa campagne pour sensibiliser le public aux droits de l’homme à l’occasion de la Journée Mondiale des Réfugiés. Les membres ont distribué des feuillets présentant le titre des 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948.


Le Haut Commissaire aux réfugiés des Nations-Unies, António Gutteres, a déclaré : « En cette Journée mondiale du réfugié, je vous demande de vous joindre à nos efforts pour aider les réfugiés à trouver un chez-soi. »


Sur les 40 millions de personnes déplacés dans le monde, pas moins de 10 millions d'entre elles sont spécifiquement prises en charge par le HCR.

De plus, l'insuffisance ou le manque de produits et services essentiels pour vivre - eau potable, nourriture, assainissement, abri, soins de santé et protection contre la violence et les abus - signifie que le quotidien peut devenir une véritable lutte pour la survie.


Le représentant de l’antenne de Clermont a déclaré à son tour : « Nous connaissons nos tables de multiplications, on nous les enseigne à l’école comme un outil fondamental pour la vie, mais connaissons-nous aussi bien les droits de l’homme qui sont pourtant des droits fondamentaux. Si nous ne connaissons pas nos droits, nous ne pouvons pas demander à ce qu’ils soient respectés. »


Le but de l'association internationale " Youth for Human Rights " est d'enseigner à la jeunesse leurs droits et leurs devoirs de façon à ce que les jeunes deviennent de précieux défenseurs de la tolérance et de la paix.


« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français : www.youthforhumanrights.org

Contact presse :

Martine au 06.22.75.75.20 ou droitsdelhomme@gmail.com

Une action citoyenne pour lutter contre la dégradation des villes

Clermont - De jeunes membres de l’association clermontoise Le chemin du bonheur ont décidé ce dimanche 4 juillet d’améliorer leur environnement, suivant un des 21 préceptes du livret Le chemin du bonheur : « Sauvegardez et améliorez votre environnement ».


Ils ont décidé de nettoyer une cinquantaine de feux de circulation et autres poteaux, des vieux panneaux d’affichage, des ficelles qui traînent et qui n’ont pas été enlevés par les afficheurs. Ces éléments dégradent le cadre de vie et donnent à la collectivité une image négative. Il est de même pour les tags qui nourrissent également des sentiments d’insécurité et de relégation. Par exemple, la ville d’Aix-en-Provence a répertorié la surface de façades souillées qui s’élève à 20 000 mètres carrés.

La lutte contre ce phénomène urbain est indispensable et n’est pas impossible. En effet Erik, un des jeunes membres, a déclaré : « C’est le rôle de chacun d’entre nous de conserver notre environnement propre. La ville fait déjà beaucoup mais elle ne peut pas tout faire et puis il faut aussi laisser les gens aider s’ils le désirent. »


« Nous voulons faire passer le message que si l’on salit, il faut aussi nettoyer et ne pas compter tout le temps sur un autre ou sur la mairie pour le faire », a déclaré un autre membre.


Plusieurs villes ont en effet décidé de mettre en œuvre une action globale pour lutter contre les nuisances visuelles dans les villes et la dégradation des espaces publics. Mais il est indispensable aussi que chaque citoyen se sente concerné.

« Il y a beaucoup d’actions que l’on peut entreprendre pour sauvegarder la planète. La première chose à faire est de prendre conscience qu’il est indispensable de la préserver. La deuxième est d’en faire prendre conscience aux autres. » a écrit l’humaniste Ron Hubbard à titre d’œuvre personnelle.


Le but de l’association « Le chemin du bonheur » est de créer une société qui puisse vivre en sécurité et le livret « Le chemin du Bonheur - Le bons sens pour vivre heureux » est le premier code moral non religieux basé exclusivement sur le bon sens et remettant les valeurs morales à leur juste place.


Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association, visitez le site internet : http://www.chemin-du-bonheur.fr


Contact presse :

Stéphane MALEUVRE au 06. 61.76.22.78 ou lechemindubonheur@yahoo.com