jeudi 27 juin 2013

Tous les chemins mènent à Rome même celui du "Chemin du Bonheur"



L’Église de Scientologie vient de publier une nouvelle brochure : « Scientologie, Notre Aide -  Le Chemin du Bonheur, Créer un monde fondé sur l’honnêteté, la confiance et le respect de soi ». Des bénévoles de l’Église de Rome partagent leur « secret » du bonheur avec leur ville et ses visiteurs venus du monde entier.


Le départ du Marathon de Rome a été donné par des hérauts en tenue de légionnaires romains, avec toute la pompe et le cérémonial dignes de la Rome antique. Partis du Colisée pour y revenir en passant par la Piazza di Spagna, la Fontaine de Trevi, le Panthéon, la basilique Saint-Pierre et la Piazza Venezia, les coureurs ont été encouragés par  des milliers de personnes massées tout au long du parcours.
Une équipe de volontaires de l’Église de Scientologie de Rome a participé à l’esprit du jour en offrant aux athlètes et à leurs supporters un parcours qu’ils pourront suivre tout au long de l’année. C’est une voie que l’on trace chaque jour par les choix que l’on fait, des choix rendus simples et limpides par Le Chemin du Bonheur, code moral non religieux entièrement fondé sur le bon sens.
Qu’ils en aient été conscients ou non, la plupart des marathoniens connaissaient déjà les préceptes du Chemin du Bonheur. Sinon, ils n’auraient pas pu aller jusqu’au bout d’une course de 42,195 Kms. Pour réussir cela, ils doivent prendre soin d’eux-mêmes et être modérés. Pour s’entraîner pour cette course, ils doivent être travailleurs et compétents. Et, malgré l’enjeu, les coureurs de fond sont connus pour leur fair-play. Tous ces points correspondent aux préceptes du Chemin du Bonheur.
Code moral laïque, Le Chemin du Bonheur, écrit par Ron Hubbard, auteur, humaniste et fondateur de la Scientologie, est unique et puissant. Extrêmement populaire depuis sa première publication en 1981, il a été distribué à plus de 100 millions d’exemplaires dans plus de 190 pays et territoires, offrant à chacun des repères pour vivre mieux.
L’Église de Scientologie et ses membres sont fiers de partager les outils pour une vie plus heureuse contenus dans Le Chemin du Bonheur avec tous ceux qui travaillent pour construire un monde meilleur. Pour plus d’informations sur les programmes humanitaires soutenus par l’ Église, visitez le site : www.scientologie.fr.
Scientologie : Notre Aide -  Le Chemin du Bonheur, Créer un monde d’honnêteté, de confiance et de respect de soi fait partie d’une série de brochures présentées par l’Église de Scientologie Internationale pour répondre aux demandes d’information sur la religion de Scientologie et sur les programmes caritatifs et d’amélioration sociale qu’elle parraine dans le monde.

jeudi 20 juin 2013

Le Conseil d’État du Tessin, en Suisse italienne, refuse de créer un groupe de travail consacré à l’Eglise de Scientologie.



« Nous n’avons constaté aucune nécessité de surveiller les activités de cette église », indique le rapport.

Le 29 mai, le Conseil d’état du canton du Tessin (Suisse) a rejeté une motion déposée par le député Orlando Del Don, qui visait à créer un groupe de travail mixte formé de députés et de représentants de l’Organisation socio-psychiatrique cantonale, afin d’évaluer « les actions et les dommages causés par ce mouvement » (l’Eglise de Scientologie). Le député, lui-même psychiatre, n’avait pas apprécié de recevoir un courrier dénonçant les abus de la psychiatrie adressé aux élus par la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme, association co-fondée par le psychiatre émérite Thomas Szasz et l’Eglise de Scientologie.   

Le Conseil d’état a formellement rejeté cette demande dans un message au Parlement de 3 pages, en rappelant que :

« La constitution Fédérale suisse considère que la liberté religieuse est un droit inviolable (Art. 15). »
(…)
« D’un point de vue juridique, l’institution d’un groupe de travail, chargé d’évaluer les dommages possibles causés par une église en particulier, est en contradiction avec le principe susmentionné (article 15) relatif à la liberté de conscience et de religion, et est discriminatoire face à la réalité religieuse et spirituelle d’autrui.
De plus, lors de nos vérifications à la recherche d’éventuels dommages causés par l’Eglise de Scientologie dans le canton, nous n’avons pas trouvé de situation similaire à celle qui est décrite dans la motion, et nous n’avons constaté aucune nécessité de surveiller les activités de cette église. »

Le Conseil d’état souligne également qu’il a fondé, avec les cantons de Genève, de Vaud et du Valais, le Centre d’Information Inter-cantonal sur les croyances religieuses (CIC), inauguré en mai 2002. Le Conseil précise que la mission du CIC « est justement de garantir la réunion d’informations objective sur des groupes et des mouvements religieux, spirituels ou ésotériques, dans un contexte de respect de la liberté de conscience et de religion ». Toute personne « peut donc s’adresser au CIC pour toute aide ou information sur un mouvement religieux, y compris l’Eglise de Scientologie ».

La religion de Scientologie a été fondée par Ron Hubbard. La première Église a été ouverte à Los Angeles en 1954. La religion de Scientologie compte aujourd’hui plus de 11 000 églises, missions et groupes, et plusieurs millions de membres dans 167 pays.

Plus d’informations sur www.scientologie.fr

CONTACT : Bureau des Relations publiques  01 53 33 52 09

dimanche 9 juin 2013

Liberté de religion et constitution sont-elles vouées à l'opposition?

Article intéressant que je vous encourage à découvrir.

"Le XXIe siècle sera un siècle de spiritualité ou ne sera pas", a déclaré André Malraux.

La tendance à la spiritualité se confirme déjà par l’adhésion croissante de personnes à des idées, des façons d’être et de vivre différentes de celles de la plupart de leurs contemporains.
Vivant dans un monde très matérialiste, certains ont du mal a comprendre ces idées et vont fuir ceux qui y adhèrent. Très vite ces nouveaux mouvements spirituels ou culturels sont rejetés et discrédités.  
Quand l'ignorance ne se limite pas qu'à soi-même mais s’étend à l’ignorance de l’autre, de ses valeurs, de ses habitudes ou de sa culture, elle entretient un climat de méfiance et engendre la peur de l’autre. 

Certes, on ne peut réfuter, que physiquement ou de par notre nom, nous ne sommes point différents les uns des autres. Mais le sommes-nous fondamentalement? Nous aspirons à des besoins communs et il est important non pas de juger l’autre, mais de le comprendre. Il s’agit donc d’une acceptation de l’autre, de la coexistence avec l’autre et de la tolérance à l’égard de l’autre.

Durant les siècles suivants, tous ceux qui avaient des idées étranges ou différentes couraient le risque d’être accusés d’hérésie ou même de sorcellerie, condamnés à mort par l'Inquisition. Les protestants n'ont pas échappé à ce phénomène lors de l’émergence de ce mouvement et des millions de personnes ont été massacrées durant les guerres "de religion". Ce n'est qu'à la Révolution Française que la liberté de conscience et le libre exercice du culte ont été proclamés lors de la Déclaration des Droits de l'Homme.

Toutes ces idées nouvelles subissent le même sort : elles sont attaquées, rejetées, discréditées et leurs membres expulsés, emprisonnés ou interdits de pratiquer leur croyance. Tous les nouveaux mouvements ont été, à leurs débuts, pris à parti et qualifiés de 'sectes'.

En France, la Scientologie très réprimée, comme les Témoins de Jéhovah, est jetée en pâture à l’opinion publique par des groupes financés par le gouvernement et qui luttent en fait ouvertement contre les religions et les thérapies, qui ne coulent pas dans le "moule" et qui dérangent, et cela au nom de la laïcité. Ces menaces ouvertes sont appuyées par une législation d’exception, la loi About-Picard de 2001, cependant très controversée. 
  
Alors qu'on peut se poser la question si cette guerre contre le religieux en France a contaminé tous les continents. Il en est tout autrement et voilà ce qu'on peut lire de l'autre côté de l'Océan: 

"La Cour d’appel du Québec a décidé récemment d’autoriser la prière avant les réunions du conseil municipal de la ville de Saguenay, jugeant qu’elle n’était pas discriminatoire et ne compromettait pas la neutralité de l’État. Dans cette décision, comment les juges interprètent-ils la liberté de religion?

La liberté de conscience et de religion est protégée par les chartes québécoise et canadienne des droits et libertés. Dans son jugement, la Cour d’appel divise la liberté de religion en deux volets pour déterminer les droits et les devoirs qui en découlent.
Le premier volet est dit positif, parce qu’il permet à chaque citoyen de croire en ce qu’il veut et de pratiquer sa religion librement.  L’obligation d’accommoder les lois et les actions des institutions publiques aux croyances sincères liées à la foi d’une personne, ce qu’on appelle accommodements raisonnables, provient de ce premier volet de la liberté de religion.

Le second volet est dit négatif, parce qu’il interdit à l’État d’imposer des convictions religieuses aux citoyens. La neutralité de l’État découle de ce second volet. Cela veut dire que l’État ne doit pas chercher à privilégier une croyance plutôt qu’une autre...
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