mercredi 30 décembre 2015

Japon : un symbole religieux pour lutter contre les déchets sauvages

Les torii, portail traditionnel japonais, ont été déclinés en miniature afin de dissuader les Japonais d’abandonner des déchets ou faire leurs besoins n’importe où.


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La population se déclare à 80 % shintoïste et à 70 % bouddhiste. Ainsi, il est possible pour un japonnais de prier dans un sanctuaire Shinto pendant les célébrations du Nouvel An, participer à un mariage chrétien ou encore à des funérailles dans un temple bouddhiste. Le passage d’une religion à une autre est quelque chose de fréquent dans la société japonaise.

Malgré le fait que le Japon soit un pays très propre, ce pays fait actuellement face à un problème d’ampleur en augmentation dans de nombreux quartiers : le dépôt sauvage de déchets et les déjections humaines. Les autorités nippones ont alors décidé d’utiliser des modèles réduits de torii (avec respect pour la religion Shinto) afin de protéger certains endroits de ces nuisances, des endroits jugés « à risque ».

Le torii est un portail traditionnel japonais qui se situe à l’entrée d’un sanctuaire shintoïste, afin de séparer l’enceinte sacrée de l’environnement profane. Il s’agit d’une barrière symbolique entre le monde physique et le monde spirituel. [...]

Pour en savoir plus : http://citizenpost.fr/2015/10/japon-symbole-religieux-lutter-contre-dechets-sauvages/


Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie a écrit : « Il y a beaucoup de choses qu'on peut faire pour prendre soin de la planète. Cela commence par l'idée qu'il faudrait le faire. Ensuite cela se poursuit en suggérant aux autres qu'ils devraient le faire. L'Homme en est arrivé au point où il a potentiellement la capacité de détruire la planète. Il faut le pousser jusqu'au point où il peut la sauver et où il le fait. Car après tout, c'est sur cette planète que nous vivons. » - Extrait du chapitre 12 Sauvegardez et améliorez votre environnement, du livre Le chemin du bonheur.

lundi 28 décembre 2015

Le succès de l'enseignement à domicile aux Etats-Unis

Le Home-schooling, ou enseignement à domicile, compte aujourd’hui plus de 2 millions d’élèves aux Etats-Unis, contre 15.000 dans les années 1970. Face au délabrement de l’instruction, il offre la liberté des méthodes et un moyen d’échapper à des programmes de plus en plus idéologiques dans l’enseignement d’Etat. Mieux, il réussit aussi bien aux parents, qui y trouvent un bon cadre pour transmettre leurs valeurs religieuses et un avantage financier alors que les écoles privées sont chères, qu’aux enfants dont les performances académiques s’avèrent souvent excellente. Bien organisé, le système bénéficie d’une logique de réseau qui permet aux familles d’avoir accès à de nombreuses ressources mises en commun, notamment en ligne, par les « home-schoolers ».

Et à la différence de ce qui se passe en France où la loi l’interdit, les familles peuvent organiser des instructions communes au sein de leurs regroupements.


Le « home-schooling » concerne aujourd’hui deux millions d’élèves aux Etats-Unis


Les avantages de l’enseignement à domicile se traduisent de bien des manières. Tout d’abord, l’élève reste libre dans sa progression d’apprentissage. Il reste maître de celui-ci en consacrant plus de temps à des sujets qu’il souhaite approfondir, tout en avançant plus rapidement s’il maîtrise facilement tel autre. Cette flexibilité permet aussi de se consacrer plus facilement à ses propres centres d’intérêt, source d’épanouissement par ailleurs. [...]



Pour en savoir plus :


http://reinformation.tv/home-schooling-reussite-enseignement-domicile-etats-unis-47680-2/



Ron Hubbard, le fondateur de la Scientologie, disait : « Il est effrayant de constater à quel point l’éducation essaye de réduire tous les enfants au même niveau intellectuel. Il y a tout autant de degrés et de types d’intelligences qu’il y a d’enfants. La chose la plus dure, la plus inutile et la plus odieuse jamais inventée est l’épreuve commune, celle que tout le monde passe en même temps. » - Extrait du texte L'éducation de Ron Hubbard.

Le vocabulaire se rétrécit

On estime à 10 % la part de la population maîtrisant seulement 400 à 500 mots. Le linguiste Alain Bentolila pointe les lacunes de la formation des enseignants dans ce domaine.

Alors que la ministre de l'Éducation agite le mirage de la « dictée quotidienne », ses nouveaux programmes ne réservent que peu de place à l'apprentissage du vocabulaire. Tout comme les anciens. « Il y a bien quelques frémissements, mais cela reste insuffisant », estime le linguiste Alain Bentolila, reçu le 1er octobre par Najat Vallaud-Belkacem.


Ces mots qui servent à dire, communiquer, conceptualiser, argumenter, se défendre manquent cruellement à certains écoliers… « Le vocabulaire se rétrécit », résume Alain Bentolila, qui formule ce message d'alerte depuis 2007, date à laquelle il a rendu un rapport sur le sujet au ministre en exercice. « Lorsque les mots précis manquent aux élèves, c'est le sens qu'ils tentent de donner au monde qui s'obscurcit », écrit-il, [...]



Pour en savoir plus :


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/10/15/01016-20151015ARTFIG00298-les-jeunes-francais-sechentsur-le-vocabulaire.php



Dès les années 50, Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, avait constaté les échecs du système éducatif. Pour remédier à cette crise, il a alors commencé à développer une « technologie » de l'apprentissage, qui permettrait de maîtriser n'importe quel sujet. Ces percées pédagogiques sont connues sous le nom de « technologie de l'étude ». Elles apportent aux élèves et aux étudiants de tous âges et de tous niveaux l'élément qui manque dans l'éducation moderne : la capacité d'apprendre à apprendre.

Ron Hubbard a décrit l'envergure du défi éducatif : « L'objectif de toute société qui s'attache à résoudre le problème de l'éducation est d'augmenter les aptitudes, l'initiative et le niveau culturel de cette société, et grâce à cela, son niveau de survie. »