vendredi 30 juin 2017

Le traitement psychiatrique a-t-il poussé au « crime inconscient » ?

Attaque de la mosquée à Créteil : Le suspect aux lourds antécédents psychiatriques



L’homme qui a lancé à « plusieurs reprises » sa voiture contre une mosquée de Créteil (Val-de-Marne) était-il en pleine possession de ses moyens ?

Il est un fait malheureusement avéré que la plupart des grands criminels ont un passé psychiatrique et que beaucoup d'entre eux ont agi sous l'effet d'un traitement psychiatrique.

lundi 26 juin 2017

Liberté de religion OSCE Vienne 2017 : le cas de la Russie




FECRIS : CAP Liberté de Conscience OSCE Vienne 2017


Lors de la dernière session de l’OSCE sur la Liberté de religion et croyance en septembre 2016(1) CAP Liberté de Conscience dénonçait les agissements en Russie de la FECRIS (Fédération Européenne des Centres de Recherche et d’Information sur le Sectarisme) et son financement intégral par le gouvernement français.
En effet des membres de la FECRIS et de sa branche russe, le Centre d’études religieuses Saint-Irénée de Lyons, mènent depuis des années une campagne contre les minorités non orthodoxes afin de les éradiquer du territoire Russe.

L'article 18 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme stipule « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites. »
Voir les spots d'information illustrant chaque article de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.




lundi 19 juin 2017

Russie : Qui persécute les minorités non orthodoxe  ?

La branche Russe de la FECRIS est derrière les persécutions des minorités non Orthodoxe en Russie


Depuis des années, l’organisation parapluie « antisecte » française est financée (presque entièrement) par le gouvernement français, qui sous couvert du principe de la laïcité, est supposé être neutre au sujet de la religion.

La Convention européenne des droits de l'homme garantit le droit à la liberté de religion ou de conviction, ce qui implique pour les États signataires un devoir de neutralité dans les affaires religieuses. La Fédération de Russie et la France se sont engagées à respecter la Convention et sont liées par les obligations qu’elle impose.

En dépit de ces obligations, la motivation de la Russie, cachée derrière l'interdiction d'un certain nombre de mouvements non violents, est étroitement liée à la philosophie de sécurité spirituelle qui englobe le rejet de la diversité religieuse au profit de l'homogénéité religieuse, la défense de l'Église orthodoxe contre le prosélytisme des nouveaux mouvements religieux et la protection des valeurs russes contre la contamination par des valeurs étrangères indésirables.


L'article 18 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme stipule « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites. »
Voir les spots d'information illustrant chaque article de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.


vendredi 16 juin 2017

Sectes en France : une analyse controversée


Interview d'Etienne Ollion par l'ASH (Actualités Sociales Hebdomadaires)

A l'occasion de la sortie de son livre le 8 juin 2017, « Raison d'Etat, histoire de la lutte contre les sectes en France » (édition La Découverte), Etienne Ollion nous éclaire sur les raisons de la « panique morale » (sic) française...

Son livre est une réflexion d'actualité sur la campagne médiatique et gouvernementale contre les minorités religieuses, spirituelles et thérapeutiques. Il met en lumière l'influence des pouvoirs publics contre ceux qui ne se rangent pas dans les rangs établis. 

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mercredi 7 juin 2017

La spécificité du journaliste : exactitude et impartialité


Qu’est-ce qui différencie un journaliste d’un blogueur, ou de tout autre personne qui s’exprime dans les médias ? Peut-on légitimement définir une distinction précise entre lui et tous les autres ? Oui, mais cela reste bien théorique…



S’il n’est pas possible de définir une frontière nette entre le journaliste et tous les autres, alors il n’y a pas lieu de lui reconnaître un rôle spécifique, ni de lui accorder un statut spécial : c’est un « communiquant » parmi les autres. S’il existe, au contraire, une frontière nette entre le journaliste et les autres, ce que nous croyons, alors il importe de la formuler de façon claire et nette.

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Abus de pouvoir de la France en état d’urgence




Droits de l'homme : L’ONG dénonce les restrictions aux libertés pour des manifestations sans rapport avec le motif de l’état d’urgence.

Depuis un an et demi, les Français vivent sous le régime de l’état d’urgence et sa kyrielle de pouvoirs spéciaux extrajudiciaire. Il avait été décrété suite aux attentats djihadistes de Paris, qui ont fait 130 morts et des centaines de blessés. Juste après l’attaque du Bataclan, des terrasses de café et du stade de Saint-Denis, tout rassemblement avait été interdit durant quinze jours. Dans un rapport publié mercredi, l’ONG Amnesty International dénonce les «restrictions disproportionnées à la liberté de réunion, sous couvert d’état d’urgence», qui ont eu lieu depuis.


L'article 20 de la déclaration universelle des droits de l'Homme stipule que Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques. 

Voir les articles des droits de l'homme illustrés en vidéos :