mercredi 26 avril 2017

La Russie interdit les chrétiens Témoins de Jéhovah


La liberté de religion reste une liberté fondamentale !!!   
Le 20 avril dernier, l’arrêt de la Cour Suprême de Russie est tombé comme un couperet : les chrétiens Témoins de Jéhovah sont considérés comme une « organisation extrémiste » et sont interdits dans tout le Pays.
Les conséquences de cet arrêt sont dramatiques pour les 175000 Témoins de Jéhovah concernés ainsi que pour leurs familles :
Fermeture du siège social de Saint Petersbourg, de 395 congrégations locales et de 2277 groupes religieux,
Confiscation de tous les biens immobiliers au profit de l’Etat
Interdiction de toute activité (évangélisation et réunions cultuelles notamment) sous peines de lourdes sanctions pénales : 2 à 6 ans d’emprisonnement sur la base de l’article 282-2 du code pénal russe qui vise « la participation à l’activité d’une association religieuse qui a été fermée ou interdite par la justice pour cause d’activité extrémiste »


Lire l'article de CAP LC

L'humaniste Ron Hubbard écrivait : « Les droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste. »

Suicide de Baptiste, jeune homme de 23 ans, à l'hôpital psychiatrique Sainte-Marie à Privas


La CCDH (commission des citoyens pour les droits de l'Homme) a été alertée par une maman suite au suicide de son fils dans un hôpital psychiatrique. Baptiste, 23 ans, a mis fin à ses jours le 18 février 2016 à l'hôpital de Sainte-Marie à Privas par pendaison, après plus d'un an de maltraitance psychiatrique.

Depuis décembre 2014, Baptiste était suivi en psychiatrie et a subi plusieurs internements sous contrainte. A Privas, il a été attaché et enfermé de force en chambre d'isolement.

Sa sœur lui a téléphoné quelques jours avant son suicide. Il lui demandait de l'aide pour sortir de cet enfer. L'hôpital a refusé à la famille de lui rendre visite. Puis Baptiste a été retrouvé mort, pendu à une porte de sa chambre avec ses draps. Aucune autopsie n'a été réalisée.

Depuis, la famille se bat pour obtenir la vérité sur ce qu'il s'est passé. L'hôpital de Privas ne donne aucune explication sur les conditions du décès. Le directeur de l'hôpital et le psychiatre en charge du suivi de Baptiste sont restés très flous sur son état de santé.

La maman a porté plainte auprès du Procureur de la République de Privas pour négligence sur personne vulnérable mais aucune suite n'a été donnée.

Cela fait plus d'un an que Baptiste est décédé et la famille n'a toujours aucune explication. Aucune enquête n'a été ouverte pour savoir ce qui s'est passé et personne n'a été tenu responsable de la mort de ce jeune homme.

Des traitements barbares et inhumains sont pratiqués de force chaque jour dans les hôpitaux psychiatriques en France : maltraitance, contention, chambre d'isolement, électrochocs, injections de médicaments, etc, avec pour conséquences des effets secondaires graves tels que des hallucinations, psychose, agressivité, pensées et comportements suicidaires, etc.

Après plus d'un an de « suivi » en psychiatrie, non seulement Baptiste n'a pas été soigné, mais les mauvais traitements administrés de force ont suscité son passage à l'acte. Les psychiatres en charge de son suivi doivent être tenus pour responsables et jugés en conséquence.

La CCDH demande qu'une enquête soit ouverte sur cette affaire.

Selon la Commission départementale des soins psychiatriques de l’Ardèche, plus de 400 internements sous contrainte ont lieu chaque année dans le département. Parmi ces mesures de soins sous contrainte, plus de 46% sont des soins de péril imminent, ce qui veut dire que les psychiatres du département ne respectent pas la réglementation française. En effet, selon la loi, les soins en cas de péril imminent doivent rester des cas exceptionnels car ils comportent beaucoup moins de garanties pour le patient. Or, avec 46%, l’exception est devenue la règle en Ardèche !

La CCDH est une association spécialisée dans la protection des droits de l’Homme dans le domaine de la santé mentale. Depuis plus de 40 ans, elle dénonce les pratiques barbares de la psychiatrie et œuvre pour le respect des droits et de la dignité des patients.

Contact : 01.40.01.09.70

mercredi 12 avril 2017

La Scientologie gagne contre l'Etat français

Scientologie  : analyse de la décision de justice condamnant l’État pour faute lourde


La Cour de cassation a condamné définitivement l’État français, le 22 mars 2017, pour faute lourde au préjudice de l’Ases-CC (église de scientologie). Maître François Jacquot, docteur en droit, avocat au Barreau de Paris, analyse cette décision pour Débredinoire.

Sous les verrous, les dealers n'ont plus d'oignons pour pleurer

Il n’y avait pas seulement quatre tonnes de cannabis sous les oignons. Il y avait aussi une histoire d’amitié. Et un pacte commercial assez rare dans le milieu du banditisme. Quelques jours après la saisie spectaculaire de drogue près de Gonesse (Val-d’Oise), on apprend que l’organisateur de ce trafic entre le Maroc et la France, un Parisien surnommé Benzé, n’était pas seul. Il travaillait avec un certain Rimka, originaire de Champigny.
Les deux amis, aujourd’hui écroués, avaient scellé ce pacte qui leur permettait de se partager la marchandise avant de la transporter dans tout le pays chacun avec sa propre filière.

Pour découvrir la vérité sur les drogues

mercredi 5 avril 2017

La tentation du Bien et la tentation du Mal

La «tentation du Bien» est-elle vraiment «plus dangereuse que la tentation du Mal» ?

Imprécision des termes ou erreurs de pensée ? 
 
L’association Démocratie & Spiritualité publie une chronique de Bernard Ginisty qui met en avant trois idées et appel au dialogue.
Jean-Luc Martin-Lagardette, journaliste et essayiste, défenseur de la diversité spirituelle, intellectuelle et thérapeutique répond à cet appel et publie cet article.

Pour tendre vers le plus grand bien pour le plus grand nombre, l'humaniste Ron Hubbard a écrit en 1980 un code moral non religieux, formé de 21 préceptes basés sur le bon sens.
Il s'intitule « Le chemin du bonheur ». Pour le découvrir en image suivez le lien http://www.chemindubonheur.fr/

lundi 3 avril 2017

Quand l'honneur se meurt et que la morale est mise à mal

Il fut un temps où l’honneur se lavait à coups de duel. L’univers professionnel de la politique n’a que faire de l’honneur aristocratique. Sa valeur n’est pas la gloire mais la résilience, avoir le cuir dur, comme s’en vanta François Fillon. Et pas cet honneur des dominés qu’est la honte. Défaut de honte, comment appeler cette immunité psychologique comme on parlerait de désensibilisation en médecine ? Pas de mot, semble-t-il, en français. Pas d’antonyme. Soumission versus insoumission, obéissance versus désobéissance, etc., mais honte ?
En cherchant un peu, on s’approcherait avec impudeur, indécence. Mais il y a la décence et la pudeur. Certes, éhonté semble faire l’affaire. On peut alors parler de mensonges éhontés. Mais pas de substantif. L’absence de honte est donc assez mystérieuse pour ne pas être exactement nommée. Ils ne sont pas faits du même bois, entend-on de la part de certains citoyens parlant des politiques.

Le déclin de la moralité d'aujourd'hui est depuis longtemps un grave sujet de préoccupation. Tout comme les anciennes cultures avaient besoin de s'appuyer sur un code moral pour survivre, la nôtre en a désespérément besoin elle aussi. Dès 1980, L. Ron Hubbard écrivit un code moral entièrement fondé sur le bon sens et de nature non religieuse. Il ne fait appel qu'au sens commun du lecteur, homme, femme ou enfant. L'un des 21 préceptes de ce code moral est intitulé « Cherchez à vivre avec la vérité ». Pour lire ou voir les vidéos illustrant ces préceptes suivre le lien http://www.chemindubonheur.fr/