lundi 24 septembre 2018

La MIviludes en chasse de tout ce qui bouge...

Révélation : pourquoi la Miviludes s’acharne contre la santé naturelle


Bonne nouvelle : la Mission française de lutte contre les sectes (Miviludes) a encore été condamnée par les tribunaux français !
Condamnée, une fois de plus, pour sa propagande contre la santé naturelle !
Il y a quelques mois déjà, la Justice l’avait condamnée pour avoir dit du mal de la fasciathérapie – une thérapie naturelle très sérieuse pratiquée par des kinésithérapeutes.
Cette fois, la Miviludes s’en est prise à la « médecine anthroposophique »… et mal lui en a pris !
Car cette médecine n’a rien de clandestine. Pratiquée par des docteurs en médecine, elle est parfaitement intégrée aux systèmes de santé de l’Allemagne, de l’Autriche ou de la Suisse.
Mais voilà, cette médecine a la particularité d’être holistique.
Exactement comme l’a fait l’Allemagne nazie le 9 juin 1941, lorsqu’elle a interdit des pratiques « spirituelles » comme… l’anthroposophie et même l’agriculture en biodynamie !
Mais heureusement, la Justice française a condamné la Miviludes dans un jugement rendu le 20 avril dernier ! [1]
Et au-delà du plaisir que j’ai à vous annoncer cette nouvelle, c’est l’occasion pour moi de vous en dire un peu plus sur cette fameuse « Miviludes ».
...
D’après l’Élysée, 250 enfants au minimum sont partis en Syrie et en Irak faire le djihad aux côtés de leurs parents.
Ces enfants ont donc pu assister :
  • À l’esclavage sexuel imposé aux femmes « alliées » ;
  • Et aux cérémonies de décapitation des « infidèles »
À votre avis, cela n’entre-t-il pas dans la mission de la Miviludes ?
...
Est-ce un hasard si, dans le Conseil d’Orientation de la Miviludes, on trouve Patrick Romestaing, qui est Président du Conseil de l’Ordre des médecins (section santé publique) ? 
En savoir plus 

Comme l'écrivait l'humaniste Ron Hubbard dans son guide Le Chemin du bonheur fondé sur le bon sens pour vivre heureux : " La tolérance, en matière de religion, ne veut pas dire qu’on ne peut pas exprimer ses croyances. En essence, le concept de tolérance implique le fait suivant : lorsqu’on cherche à détruire ou à attaquer la foi ou les croyances d’un autre, il en résulte invariablement de graves conflits."

 

L'arrogance n'a pas de limite

Voici l'exemple plus que parfait d'une dérive institutionnelle que vient de publier le journaliste Jean-Luc Martine Lagardette sur son blog : 
Neelam Makhija : soupçonné à tort d’être un guru indien, il fait deux mois de prison préventive

Ingénieur indo-canadien en retraite, Neelam Makhija, 71 ans, passe deux mois en prison et est retenu contre son gré en France pendant deux ans et demi. Son crime, être un ami d’une coach qui y animait, une fois par an, des séminaires de méditation ! Malgré son innocence reconnue devant le tribunal, il ne parvient pas à obtenir réparation (financière, morale) des préjudices subis.
[...]

Descente de gendarmerie
24 novembre 2014, M. Makhija est à Fontainebleau avec un petit groupe de 6-7 personnes en méditation quand une escouade de gendarmerie surgit à 7h du matin dans la maison privée où Cécile Tousignant anime un stage. Elle arrête Mme Tousignant et son ami ainsi que deux autres participants. Elle intervient suite au « signalement » auprès du Centre contre les manipulations mentales (CCMM) déposé par le père d’une de ses anciennes élèves. Les gendarmes, environ une vingtaine, tous armés, se comportent comme pour sauver les stagiaires d’un grave danger imminent.
[...]
 
Ce n'est pas la première fois que de telles dérives se produisent, récemment la Miviludes a été condamnée à deux reprises.

Le 7 décembre 2017, "La Miviludes condamnée, la fasciathérapie réhabilitée !"
Les médias ne se sont pas jetés sur cette annonce. 

Dans le combat juridique mené conjointement par FasciaFrance (ex-Association Nationale des Kinésithérapeutes Fasciathérapeutes-ANKF) et la société Point d’appui pour faire retirer la fasciathérapie du guide « Santé et dérives sectaires » publié en 2012 par la MIVILUDES, la cour administrative d’appel de Paris a rendu le 07 décembre 2017 l’arrêt suivant : « Les informations concernant la fasciathérapie ne doivent plus figurer dans le guide « Santé et dérives sectaires » publié par la mission interministérielle de vigilance contre les dérives sectaires (MIVILUDES) en avril 2012. »

Elle enjoint donc à la MIVILUDES de publier, dans un délai de 3 mois, sur son site internet, sur l’ensemble des supports au moyen desquels elle a rendu public ce rapport et par voie de presse dans deux quotidiens nationaux un communiqué faisant état de ce que la fasciathérapie ne doit plus figurer dans le guide « Santé et dérives sectaires ». Elle a également condamné l’état à verser la somme de 1 500 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.

Le 27 avril 2018, on peut lire sur le site de francetvinfo.fr : La "médecine anthroposophique" n'est pas une méthode à risques sectaires, selon la justice

Fallait-il classer "la médecine anthroposophique" parmi les méthodes thérapeutiques à risques sectaires, comme l'a fait la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) ? Non, a répondu le tribunal administratif de Paris, qui demande au Premier ministre de la retirer de son guide "Santé et dérives sectaires", paru en 2012, selon un communiqué de l’AFP. [...]
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Dans le même ordre de dérive institutionnelle, petit rappel: La Cour de cassation confirme la condamnation de l’Unadfi face à l’église de scientologie

Le 12 janvier 2017, la Cour de cassation a rejeté un pourvoi de l’Union des associations de défense des familles et de l’individu (Unadfi), qui se plaignait d’avoir été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour abus de droit.
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mercredi 12 septembre 2018

Deux mois de prison : le principe de la présomption d'innocence violée

Voici un article qui fait froid dans le dos et qui est l'illustration des dérives de certaines institutions qui font de l'excès de zèle.   

Publié sur le site Ouvertures.net, en voici la teneur:  
Neelam Makhija : soupçonné à tort d’être un guru indien, il fait deux mois de prison préventive

Ingénieur indo-canadien en retraite, Neelam Makhija, 71 ans, passe deux mois en prison et est retenu contre son gré en France pendant deux ans et demi. Son crime, être un ami d’une coach qui y animait, une fois par an, des séminaires de méditation ! Malgré son innocence reconnue devant le tribunal, il ne parvient pas à obtenir réparation (financière, morale) des préjudices subis.

Entre 2010 et 2014, il rend plusieurs visites en France à son amie canadienne Cécile Tousignant, qu’il connaît depuis 2007. Elle est coach de vie et professeur de méditation inspirés d’un maître indien[1] (en France et au Québec). Celle-ci invite son ami à participer à trois de ses stages de méditation d’une durée respective de 2, 4 et 7 jours.
[...]

Descente de gendarmerie
24 novembre 2014, M. Makhija est à Fontainebleau avec un petit groupe de 6-7 personnes en méditation quand une escouade de gendarmerie surgit à 7h du matin dans la maison privée où Cécile Tousignant anime un stage. Elle arrête Mme Tousignant et son ami ainsi que deux autres participants. Elle intervient suite au « signalement » auprès du Centre contre les manipulations mentales (CCMM) déposé par le père d’une de ses anciennes élèves. Les gendarmes, environ une vingtaine, tous armés, se comportent comme pour sauver les stagiaires d’un grave danger imminent.
  
« Ce sont les gendarmes qui nous ont manipulés »
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« J’espère que le pouvoir politique en place examinera de près le prix payé par la dégradation de l’image de la France dans le monde en raison de son soutien à des instances comme la Miviludes. »
[...]
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Pour appuyer cet article, la Miviludes vient de publier un communiqué le 19 juillet 2018 disant : 
La commission d’enquête sénatoriale présidée par Monsieur Bernard Cazeau et dont la rapporteure est Madame Sylvie Goy-Chavent vient de publier un rapport sous le titre « L’organisation et les moyens des services de l’Etat pour faire face à l’évolution de la menace terroriste » (rapport n° 639).

Celui-ci comporte des propositions de mesures visant à améliorer le dispositif actuellement en place. La mesure n° 46 a particulièrement attiré l’attention de la Miviludes, qui souhaite par ce communiqué apporter quelques précisions.

  • Conformément à la circulaire du Premier ministre du 25 mai 2005, les listes de sectes publiées lors des commissions d’enquête parlementaires de 1995 et 1999 n’ont plus aujourd’hui qu’une valeur historique. L’établissement d’un tel document ne saurait emporter aucune conséquence de nature juridique et serait contraire aux principes constitutionnels.

Les écoles des zones rurales abandonnées

Dans l'article proposé par le blog de la liberté scolaire, l'auteur fait référence à un très intéressant sondage qui a été publié par Le Figaro le 11 juillet 2018 montrant la préoccupation des français vis à vis des zones rurales, peu à peu abandonnées par les pouvoirs publics. 

La Fondation pour l'Ecole y présente à son tour un nouveau modèle d’école, adapté aux besoins des territoires ruraux.

A lire: L’abandon des zones rurales - et notamment ses écoles - préoccupe les Français

SONDAGE – Selon une étude conduite par l’Ifop, plus de six personnes sur dix estiment que les pouvoirs publics doivent concentrer leur action sur « la France des ­campagnes ».

«Président des villes», Emmanuel Macron est attendu au tournant en matière de ruralité. Pour plus de six personnes sur dix (62 %), les pouvoirs publics doivent concentrer leur action sur «la France des campagnes». Et 36% la placent d’ailleurs en première position des territoires à soutenir. C’est ce que révèle un sondage Ifop pour le groupe Union centriste au Sénat, réalisé auprès d’un échantillon représentatif de 1 003 personnes.

Plus surprenant, en revanche: les banlieues. Pourtant remises dans la lumière avec l’abandon du plan Borloo, elles n’arrivent que troisièmes (40 %) dans la hiérarchie des territoires qui ont le plus besoin d’attention, derrière les petites et moyennes villes de province (46 %). «Il y a sûrement une sorte de saturation vis-à-vis du discours sur les banlieues, décrypte Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. On a beaucoup investi et on a le sentiment que la situation ne s’améliore pas, alors que dans les campagnes elle se dégrade.» 
[...]

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Il existe une autre école ou système d'apprentissage : qui fournit des outils d'alphabétisation et d'apprentissage. 
Applied Scholastics International est une association laïque à but non lucratif qui s’occupe du problème de l’illettrisme en diffusant à grande échelle les découvertes de l'humaniste Ron Hubbard dans le domaine de l’éducation et de la culture.
Ron Hubbard a constaté les sérieux effets de la baisse du niveau d’éducation et de culture sur la société, observant que les personnes illettrées ou fonctionnellement illettrées (avec un niveau insuffisant pour se débrouiller dans la vie), privées de travail et de toute possibilité d’en trouver un, tombaient souvent dans la délinquance, la corruption ou la drogue. Il décida donc de se pencher sur le sujet de l’éducation et il isola les raisons de l’échec ou de la réussite dans une activité ou dans des études.
Applied Scholastics est une association indépendante et laïque, parrainée par l’Église de Scientologie et par des scientologues qui se vouent à élever le niveau d’éducation partout dans le monde.