mercredi 25 juin 2014

Les Balkans inondés : les bénévoles scientologues en activité



Des inondations catastrophiques ont touché les Balkans, notamment la Bosnie et la Serbie, qui ont fait une cinquantaine de morts et des dizaines de milliers de sinistrés. 




Les ministres volontaires de Scientologie présents à Orasje (Bosnie) racontent leur quotidien leurs conditions de travail dans les zones sinistrées : « Une rude journée de travail s’achève. La tâche du jour était déconseillée aux cœurs sensibles : nous avons dû nettoyer une porcherie et une ferme de poulets, et enlever les animaux morts. Inutile de dire que nous n’avions pas d’expérience de ce genre de travail, mais notre équipe d’intervention sur les sites de catastrophes a réussi à faire face grâce à son professionnalisme ».

Une fois le nettoyage terminé, Juraj Duna, responsable de l’équipe, a fait appel à une unité spéciale de l’armée slovaque, également portée volontaire dans le secteur et équipée de matériel de désinfection professionnel.

Un des volontaires évoque l’accueil chaleureux des habitants : « Une fois de plus, la famille que nous aidions nous a fait la surprise de nous préparer un déjeuner typiquement bosniaque : burek et pita. Notre hôtesse portait un T-shirt aux couleurs de l’équipe de football croate car ce jour-là tout le village attendait impatiemment le début du match Croatie-Brésil à la Coupe du Monde. »

Transcendant toutes les frontières ethniques, culturelles et religieuses, le programme des ministres volontaires est destiné à tous ceux qui ont besoin d'aide ou qui souhaitent aider. Tous ceux qui ont envie de participer au travail humanitaire des ministres volontaires en Bosnie sont les bienvenus et peuvent s’inscrire en direct sur le blog :

En créant le programme des ministres volontaires, Ron Hubbard écrivit: “Si quelqu’un n’aime pas le crime, la cruauté, l’injustice et la violence de cette société, il peut y faire quelque chose. Il peut devenir un ministre volontaire et aider à civiliser cette société, à lui apporter  conscience, bonté et amour, et à la libérer du calvaire en y insufflant confiance, décence, honnêteté et tolérance.”
 

lundi 16 juin 2014

Des miracles se produisent chaque jour, il revient de loin

Dans l'article Hier sous les décombres de son école, aujourd’hui diplômé, on peut lire avec étonnement ce qui suit...



C’est avec fierté qu’Ayal Lindemann, ministre volontaire de l'Eglise de Scientologie, a assisté le 18 mai dernier à la remise du diplôme de l’Université de Rockland à Ralph Mary Gedeon.

Le fait que Ralph Gedeon ait pu monter sur l’estrade pour y recevoir son diplôme est en effet un miracle : un miracle qui a commencé il y a 4 ans, dans les décombres de Port-au-Prince.

Ralph Gedeon, 26 ans, qui a été reçu avec honneurs en sciences et pré-ingénierie, doit au ministre volontaire Ayal Lindeman le fait d’être en vie aujourd’hui. 








Comment créer des clichés pour faire peur...

Les médias utilisent la terminologie "secte" pour désigner le groupe Boko-Haram, alors que tel n'est pas le cas des médias étrangers.

Lisez l'article : Boko-Haram: sémantique à la française

Le Nigeria a déposé une demande officielle au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU) pour que Boko-Haram soit ajouté à la liste d’organisations considérées comme terroristes et soumises à des sanctions. Si aucun des 15 pays membres du Conseil de sécurité ne s’y oppose, la décision entrera alors en vigueur. [...] 

Cette qualification permet aussi de considérer Boko-Haram pour ce qu’elle est. Ce n’est pas une secte, ni un mouvement, c’est une organisation terroriste qui pille, tue et sème la terreur.    [...]

lundi 2 juin 2014

Le respect pour tous, religieux ou non

L'article Parler religion avec respect paru dans le Quotidien du Luxembourg, évoque un séminaire qui avait placé la religion et son enseignement au centre du débat. Jean-Louis Zeien, coorganisateur, s'est dit satisfait de la tolérance qui y régnait. 

La place de la religion dans la société, les différentes manières de l'enseigner en Europe ont été les thèmes abordés. Tour d'horizon avec Jean-Louis Zeien, président de la commission des programmes pour l'enseignement religieux.  [...]  

« Il s'agit quand même d'un thème qui est toujours sujet à beaucoup d'émotion et de controverses, mais j'ai particulièrement apprécié la discussion, car elle a été menée sur un ton de tolérance. Il régnait un climat de respect et si on veut propager des valeurs, la qualité du débat est un indicateur de ce que je veux bien promouvoir», déclare Jean-Louis Zeien, président de la commission des programmes pour l'enseignement religieux, coorganisateur du séminaire avec l'Institut de pédagogie religieuse, en collaboration avec l'université du Luxembourg.  [...]  

Évidemment il fallait s'attendre à des controverses mais encore une fois, l'organisateur souligne le très bon climat qui régnait dans la salle : «Je ne partage pas l'opinion de l'autre mais je respecte l'autre dans la discussion. Je sais très bien qu'il existe des gens qui ont des difficultés avec la religion. Ils ont eu probablement un vécu assez lourd et il faut le prendre en compte et surtout très au sérieux», poursuit Jean-Louis Zeien. [...]

On part des interrogations des élèves et c'est aussi la nouvelle base de l'enseignement religieux au Luxembourg.   [...] 

«Au niveau européen, il n'y a presque pas de pays qui ont opté pour écarter l'enseignement religieux à part la France, l'Albanie et la Slovaquie. La plupart des pays européens offrent le choix», précise notre interlocuteur.  [...] 

«Si je vais chez un docteur qui me soigne mal, est-ce que je vais dire que la médecine est nulle? Je peux être critique envers une certaine direction de la médecine mais dire que la médecine en soi est mauvaise c'est une autre chose», conclut-il.

***

 

La laïcité : ce qu'en dit Jean Baubérot



Dans l'article "La loi dite de « laïcité », dix ans après", Jean Baubérot vous éclaire sur le traitement de la laïcité : 


[...] La Commission Stasi s’était déjà intéressé à un tel paradoxe et beaucoup de ses membres jugeaient très sévèrement la façon dont l’Education nationale avait géré les dits « problèmes de foulard » (puisque en fait c’était cela qui était en cause). Mais rien, absolument rien n’est dit à ce sujet dans le rapport (1). Plusieurs personnes ont justifié leur vote par cet argument : étant donné l’incapacité de l’éducation nationale à régler cette affaire, une loi est devenue nécessaire. Autrement dit, on a fait porter aux jeunes filles le poids de cette incapacité !

En 1989, le Conseil d’Etat avait institué une règle : l’autorisation de signes religieux si le comportement de l’élève restait discret et leur interdiction si avaient lieu des manifestations de prosélytisme ou une contestation des cours ou de la discipline. Bref, un comportement « ostentatoire ».

Or l’institution scolaire s’est avérée incapable d’appliquer une telle règle. D’abord une petite minorité bruyante de profs, dès le départ, avait décidé de saborder cette décision et certains ne se sont pas privés de l’indiquer en classe, portant ainsi gravement atteinte à la neutralité à laquelle  ils sont normalement soumis.
Ensuite, en 1994, voulant montrer qu’il était un super laïque au moment même où il tentait de donner aux établissements confessionnels sous contrat de l’argent supplémentaire, le ministre Bayrou a fait rédiger par ses services une circulaire qui transgressait la règle et déplaçait l’aspect « ostentatoire » du comportement des élèves au signe lui-même. [...] 

De plus, les historiens de 2104 ont souligné un fait essentiel, tout à fait révélateur : des textes officiels eux-mêmes ont reconnu la nocivité de cette loi
[...]
Pour en lire plus :