vendredi 29 septembre 2017

Dénoncer le financement de la discrimination

CAP Liberté de Conscience demande l’intervention de l’OSCE sur une situation impliquant le gouvernement français qui finance à plus de 92% une Organisation Non Gouvernementale : la FECRIS (Fédération Européenne des Centres de Recherche et d’Information sur le Sectarisme) dont la branche russe contribue activement à la persécution des Témoins de Jéhovah en Russie et dont le vice-président, Monsieur Alexander Dvorkin, également béni par l’Eglise orthodoxe de Russie a fait de nombreuses déclarations discriminatoires à l’encontre des Témoins de Jéhovah […]

Lire l'article de CAP Liberté de Conscience (Coordination des Associations & Particuliers pour la Liberté de Conscience)

La Coordination des Associations et des Particuliers pour la Liberté de Conscience (CAP LC) a été fondée en 2000 pour défendre les minorités religieuses contre les discriminations en France et en Europe. La Coordination est une Organisation Non Gouvernementale avec statut d'organisme consultatif auprès du Conseil économique et social de l’ONU.

lundi 25 septembre 2017

OSCE : le fossé entre la France et la liberté de conscience

Chaque année courant septembre se tient à Varsovie, l'HDMI ( Human Dimension Implementation Meeting) de l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) qui est « un forum inclusif pour le dialogue sur les questions de sécurité et une plateforme pour une action collaborative dont l'objectif est d'améliorer les conditions de vie des individus et des communautés dans son espace géographique. »
L'HDIM est la plus grande réunion qui couvre des sujets comme les droits de l'homme, les libertés fondamentales, la tolérance et la non-discrimination...
Plus concrètement, chacun des 57 pays membres de l'OSCE est représenté par une délégation chargée de promouvoir et de mettre en œuvre les engagements convenus dans ces domaines, d'échanger des idées, de partager des expériences et d'identifier des problèmes en vue de les résoudre.
[…]
Cette année un des représentants de la délégation française était Monsieur Jean-Christophe Peaucelle, Conseiller pour les Affaires Religieuses au Ministère des Affaires Etrangères, membre de l'Observatoire de la Laïcité, et également membre du Conseil d'Orientation et du Comité exécutif de pilotage opérationnel de la Miviludes !!!
Etait également présent, assis derrière Monsieur Peaucelle : Monsieur Serge Blisko, le Président de la Miviludes, en personne ! 
[…]

Lire l'article tiré du site CAP LC (Coordination des Associations et Particuliers pour la Liberté de Conscience).


Dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme, défendue par l'association "des jeunes pour les Droits de l'Homme", l'article 18
 
La liberté de pensée dit :

« Nous avons le droit de croire ce que nous voulons, d'avoir une religion ou d'en changer si c'est ce que nous souhaitons. »

Des amis très proches : religion et spiritualité

Le neuro-psychiatre français, Boris Cyrulnik, publie un nouvel ouvrage, "Psychothérapie de Dieu", dans lequel il s'intéresse au poids de Dieu dans la vie quotidienne des êtres humains.

C'est lors d'un séjour au Congo, où le neuro-psychiatre était envoyé par l'Unicef pour travailler avec les enfants soldats, qu'il a eu l'idée de ce livre.

Lire l'article


Dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme, défendue par l'association "des jeunes pour les droits de l'Homme", l'article 18 La liberté de pensée dit :
« Nous avons le droit de croire ce que nous voulons, d'avoir une religion ou d'en changer si c'est ce que nous souhaitons. »

mercredi 20 septembre 2017

Bénin – vers une fin de l'évangélisation politique

Le 6 avril 2006, Thomas Boni Yayi prêtait serment comme président de la République du Bénin. Durant les deux quinquennats où cet homme, né dans une famille musulmane puis converti au christianisme évangélique, aura tenu les rênes du pays, le nombre d’églises enregistrées et surtout de son obédience, aura été multiplié par 45 entre 2006 et 2016 ! Le nouveau président a mis fin à cette connivence.

Art. 18 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme – Droit à la liberté de religion, de culte et de mouvement
« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. »

lundi 11 septembre 2017

"Je ne sais toujours pas ce qu’est une secte..."

Un article toujours d'actualité : "Lutte contre les « dérives sectaires » : Les écologistes rompent pour la première fois l’unanimité politique" publié par le site Ouvertures

[...]
Pour la première fois, une parlementaire, Hélène Lipietz, ne s’est pas contentée des lieux communs et des clichés sur les « sectes ». En présentant la position de son groupe parlementaire au moment des conclusions de la commission d’enquête menée par le Sénat sur « l’influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé », la sénatrice a voulu aborder le dossier en profondeur, en faisant appel plus à la raison qu’à la peur, habituel levier des politiques dans ce domaine : « Après six mois de commissions, soixante-douze auditions, un voyage, une visite au salon du Bien-Etre un petit peu épuisante, je suis désolée de constater que je reste sur ma faim. Je ne sais toujours pas ce qu’est une secte, ce qu’est une dérive et ce qui relève de l’escroquerie ou de l’abus de faiblesse classique ».

[...]« Or les rares tentatives d’évaluer les pratiques non conventionnelles sont immédiatement considérées comme visant à faire entrer le loup dans la bergerie. Alors même que certaines de ces pratiques sont regardées moins défavorablement dans d’autres pays »...


mercredi 6 septembre 2017

Obligation vaccinale // Liberté et droits humains

Alors que la ministre de la santé veut étendre l’obligation vaccinale, retour en Grande-Bretagne qui en 1853 imposa le vaccin antivariolique.
Comment imposer une vaccination ? Comment prendre une mesure de santé publique autoritaire dans un contexte de défiance ? Voilà le défi que va devoir relever la ministre de la santé qui, à partir de janvier, va rendre obligatoires huit vaccins pédiatriques, jusque-là seulement recommandés. « Mon objectif n’est pas de sanctionner. L’objectif de cette obligation, c’est de rendre la confiance aux Français », a affirmé Agnès Buzyn la semaine dernière sur CNews.



Quant à la confiance envers les vaccins : plusieurs centaines de personnes ont été intoxiquées par des vaccins contenant de l'aluminium et autres produits toxiques.

Article 1. de la Déclaration universelle des droits de l'Homme
« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »