mardi 30 juillet 2013

Journée Internationale de l'Amitié



A l’occasion de la Journée internationale de l’amitié de l’ONU, samedi dernier, dans le 12e, l’Église de Scientologie d’Ile-de-France a installé des stands d'informations et présenté aux visiteurs les activités des programmes caritatifs qu'elle parraine.

Le premier programme est celui de la Fondation « LeChemin du Bonheur » qui vise à créer un environnement fondé sur l'honnêteté, la confiance et le respect de soi. En feuilletant ce petit livret, véritable code moral laïque, un des visiteurs a déclaré : « Cette société a vraiment besoin d’aide pour y remettre la moralité. La qualité des relations s’est sérieusement dégradée et il faut vite y faire quelque chose. » Cette campagne a déjà sensibilisé plus de 380 millions de personnes dans le monde ces dix dernières années et continue d'enthousiasmer les populations, y compris en France où la demande de distribution de ces livrets dans les zones sensibles ne fait qu'augmenter.

Les visiteurs ont ensuite pu découvrir le deuxième programme « Tous unis pour les droits de l'Homme » qui a pour but de faire des droits de l'Homme une réalité mondiale. Cette campagne qui a déjà sensibilisé plus de 100 millions de personnes à travers le monde a beaucoup intéressé les personnes présentes, particulièrement par l'ampleur que prend le trafic d'êtres humains touchant les enfants dans le monde.

Le dernier volet de la visite a permis de présenter les actions des bénévoles nommés « ministres volontaires de l’Église de Scientologie », qui ont pour devise « On peut y faire quelque chose ». Ceux-ci ont saisi cette occasion pour faire connaître leurs interventions sur les lieux de catastrophes dans le monde et l'aide directe qu'ils apportent aux populations sinistrées, mais aussi les solutions qu'ils proposent à toute personne désireuse de faire face aux imprévus malheureux de la vie.

Toutes ces activités parrainées par l’Église avaient leur place dans cette journée organisée par l'ONU, qui vise à promouvoir l'amitié entre les peuples, les pays, les cultures et les individus et inspirer les efforts de paix entre communautés.

Le verre de l’amitié était offert à la fin de la visite et les visiteurs sont repartis avec une brochure d'informations et un DVD offerts gracieusement par l’Eglise.


lundi 29 juillet 2013

Des propos irréfléchis qui font froid dans le dos...

Dans l'article du Figaro du 23 juillet 2013, on lit que le député-maire de Cholet, confronté à l'occupation d'un champ de sa commune par des gens du voyage, a affirmé : « Hitler n'en a peut-être pas tué assez ». Le préfet du Maine-et-Loire va saisir le procureur de la République pour apologie de crime contre l'Humanité.

Peu habituée des polémiques, l'Union des démocrates et indépendants (UDI), le parti de Jean-Louis Borloo, fait face à sa première controverse depuis sa création en septembre 2012. Le député-maire de Cholet (Maine-et-Loire), Gilles Bourdouleix, a fait référence dimanche soir à l'extermination nazie lors d'un échange musclé avec des gens du voyage.
« Hitler n'en a peut-être pas tué assez », a-t-il lâché, après l'arrivée de 150 caravanes de la mission évangélique Vie et Lumière sur un terrain agricole de la municipalité. Des propos rapportés lundi par Le Courrier de l'Ouest, que l'UDI a unanimement dénoncés, avant d'annoncer l'exclusion de Gilles Bourdouleix. [...]
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Sur le site d'Europe1,  l'article précise : 
Dimanche soir, escorté par la police, l’élu vient à la rencontre des gens du voyage, qui appartiennent tous à la mission évangélique Vie et Lumière. "Pour moi, c’est une secte cette mission", assène-t-il en guise d’échauffement. La suite de l’échange est d’un autre acabit. Énervé par des saluts nazis de gens du voyage présents à ce moment là, Gilles Bourdouleix dérape : "comme quoi, Hitler n’en a peut-être pas tué assez…"

Et pour en savoir plus sur les listes noires

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Les propos tenus par ce député-maire qui qualifie de « secte » une mission évangélique est le résultat de ce climat de haine créé en France par des campagnes menées contre les minorités religieuses depuis 30 ans et reprises par des élus de la République.  

Si les 30 articles de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme étaient connus de ces élus, nous n'aurions plus de telles discriminations.  Les membres de l'association internationale des Jeunes pour les Droits de l'Homme mène une large campagne d'éducation aux droits dans l'espoir de permettre aux gens de vivre en harmonie. 




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Que de confusion entre laïcité et moralité...!

Un article intéressant paru dans La Croix du 4 juillet 2013 qui pose la question :
" Nouvelle laïcité ou ordre moral ? "   par Christine DELPHY et Raphaël LIOGIËR

Christine Delphy est directrice de recherches en sociologie, CNRS
Raphaël Liogier est professeur à Sciences-Po Aix-en-Provence
Dernier ouvrage paru de Raphaël Liogier : Le Mythe de l’islamisation (Seuil, 2012) ; à paraître début septembre 2013 : Le populisme qui vient, aux Éditions Textuel.

«En 1905, la laïcité était simplement la séparation de l’État et des cultes. Aujourd’hui, elle est une frontière entre ce qui relève de l’intime, qui doit être protégé, et ce qui appartient à la sphère publique qui doit être préservée.» Par ces mots, François Hollande trace la «feuille de route» de l’Observatoire de la laïcité, qu’il a constitué le 5 avril en vue de légiférer. Il réalise ainsi le renversement du principe de laïcité, employant alors une notion ambiguë, ignorée des textes légaux tant français qu’internationaux : l’«intimité».

En cela, il se contente de suivre un esprit du temps qui prétend que les convictions religieuses ne peuvent s’exprimer librement que dans le «privé», et même dans l’ultra-privé de «l’intime». Le religieux devrait donc être confiné dans l’espace de l’intime, espace de la dissimulation, qui s’opposerait à l’ensemble des «espaces publics» : entreprises, associations, magasins, rues…

En jouant sur les deux sens du terme «public» (service de l’État ou espace de tous), on a pu, ces dernières années, prétendre exiger des simples citoyens une neutralité qui n’est due que par les agents de l’État, ce qui constituait en soi la spécificité de la laïcité française. Si les opinions ne peuvent pas s’exprimer à plusieurs et en public, faudra-t-il en venir à fermer les salles de réunion, les lieux de culte, interdire les réunions dans les cafés, les meetings !

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Permettre la liberté de conscience et d’expression seulement en privé revient à l’abolir. C’est en public qu’elle a besoin d’être protégée, car, dans «l’intimité», seul face à vous-même, qui peut vous empêcher d’exprimer vos croyances? Nous assistons à une dérive autoritaire, à une sorte de totalitarisme en pente douce.

[...]

Les Droits de l'Homme sont loin d'être respectés. Plus d'un milliard de personnes sont incapables de lire, alors que le droit à l'éducation existe. Plus de 27 millions de personnes vivent en esclavage de nos jours, l'esclavage moderne ou trafic humain, alors que l'esclavage est interdit...? 
Les jeunes de l'association internationale http://fr.youthforhumanrights.org/ ont décidé de changer cette tendance et et de faire de ces droits une réalité, leur avenir est entre leurs mains.

mardi 16 juillet 2013

Pour protéger les minorités religieuses les droits sont indispensables

Je vous invite à lire l'entretien avec Heiner Bielefeldt publié dans La Croix du 27 mai 2013 sous le titre de Protéger les minorités religieuses prolonge les droits de l’homme. 

Professeur de droits de l’homme à l’université d’Erlangen (Allemagne), Heiner Bielefeldt a été nommé en 2010 rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de conviction par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU

Après un premier rapport sur le droit de se convertir, il vient de remettre le second à l’Assemblée générale des Nations unies sur le thème de la protection des minorités religieuses.

« La Croix » : Dans votre rapport consacré aux minorités religieuses, vous montrez que la  « vulnérabilité »  de leurs membres attire de plus en plus l’attention de la communauté internationale. Quelles sont les violations les plus fréquentes ?

 Heiner Bielefeldt : Beaucoup de pays se rendent coupables de violations des droits des minorités religieuses, mais avec des degrés très divers. La classification établie par l’institut de recherche américain Pew Forum place le Moyen-Orient en tête des zones où ces violations sont les plus sévères. Il est suivi de l’Asie du Sud et de l’Est, y compris la Chine, et de l’Afrique. L’Europe se situe au quatrième rang, avec des violations mineures mais réelles, les Amériques étant les mieux classées.

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Or, il faut se souvenir que toutes les religions, sans exception, sont dans une situation de minorité dans un point du globe. Elles doivent donc en tenir compte là où elles sont majoritaires. Si nous, chrétiens, voulons être crédibles, nous devons parler des discriminations dont sont victimes, par exemple, les musulmans en Europe. La logique de la liberté religieuse implique la reconnaissance du pluralisme, l’égal accès des religions à l’espace public. C’est cette laïcité « ouverte » que je souhaite défendre au moyen des droits de l’homme.
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Les enfants voient les choses simplement en matière de religion

Dans Le Monde du 15 juillet 2013, on peut lire l'article intitulé A Paris, des enfants jouent la foi pour apprendre la laïcité, dans lequel des enfants jouent des rôles d'enfants de différentes confessions. Les membres de l'association internationale des Jeunes pour les Droits de l'Homme  promeut dans ses livrets éducatifs l'article 18 de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme "Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites ".

Voici l'article : 
"L'ambiance est dissipée mais volontaire. Dans une salle au plafond bas et sans fenêtre de la maison de quartier de Ménilmontant, à Paris, Yamin, un CM2 du quartier, joue le rôle d'un écolier juif demandant à manger casher à la cantine de l'école. Energique et volubile, Fanta, l'une de ses camarades de CM1, incarne dans la saynète suivante une élève hindoue absente de l'école un jour de contrôle pour cause de fête de Ganesh. A l'autre bout de la pièce, deux enfants figurent une discussion serrée entre un client de culture musulmane et un restaurateur marocain qui refuse de le servir durant le ramadan. 

Avec leurs mots et un argumentaire travaillé quelques minutes avec Soufiane Torkmani, l'animateur du groupe, treize enfants aux origines et religions diverses déploient les grandes questions philosophico-politiques qui agitent régulièrement la société française sur la laïcité. A leur manière, ils tentent de répondre aux questions que soulève l'irruption du fait religieux dans la vie quotidienne.

Pour en lire plus


jeudi 11 juillet 2013

Comment protéger la liberté de religion ou de conviction ?

La réponse est écrite dans les lignes qui vont suivre, il restera à le mettre en vigueur sur le terrain... 

Le Conseil des affaires étrangères a adopté lundi 24 juin 2013 les premières « lignes directrices de l’Union européenne en matière de promotion et la protection de liberté de religion ou de conviction ». (18 pages). 

L’objectif poursuivi est, comme le font les Etats-Unis depuis 1998, d’ancrer la liberté religieuse au sein de la diplomatie européenne d’où l’intitulé de « Guidelines ». Une diplomatie qui est celle des institutions comme celle de chacun des Etats membres. Le Conseil rappelle la nécessité de bien distinguer la critique des religions et des convictions et l’incitation à la haine religieuse. L’UE rappelle que la liberté religieuse « protège des individus et non pas une religion ou une conviction » en soi. 

Pour en savoir plus...

Le Centre de Scientologie de Tel Aviv travaille pour la paix en Cisjordanie



Pour aider à rétablir la paix sur la rive ouest du Jourdain, l’une des principales zones de conflits du monde, les bénévoles du Centre de Scientologie de Tel Aviv distribuent des milliers d’exemplaires du Chemin du Bonheur, code moral laïque écrit par Ron Hubbard, auteur, humaniste et fondateur de la Scientologie
Des bénévoles distribuent des milliers d’exemplaires du livret du Chemin du Bonheur dans les territoires palestiniens
Pour permettre de surmonter les différences entre communautés et promouvoir la paix, les bénévoles du Centre de Scientologie de Tel Aviv ont distribué des milliers d’exemplaires du livret Le Chemin du Bonheur, code moral non religieux entièrement fondé sur le bon sens, avec le soutien d’un homme d’affaires de Cisjordanie.
Le responsable des relations publiques du Centre a fait imprimer 30 000 exemplaires de ce livret en arabe. Les bénévoles les mettent à la disposition du public chez les commerçants locaux et les distribuent aux habitants de Cisjordanie et de la Bande de Gaza.
Ce livret a attiré l’attention de l’université locale, dont l’administration a invité les bénévoles à afficher des posters illustrant les différents préceptes. Des centres de formation pour adultes ont demandé des livrets. Par ailleurs, les forces de police de la rive ouest ont participé à la campagne de distribution.
Le Chemin du Bonheur, code moral laïque basé sur le bon sens, met l’accent sur les valeurs universelles qui rapprochent les hommes
Le Chemin du Bonheur met l’accent sur tout ce qui rapproche les hommes de cultures différentes, en exprimant des concepts universels tels que « Respectez les croyances religieuses d’autrui », « Ne causez pas de tort à une personne de bonne volonté » et « Essayez de ne pas faire aux autres ce que vous n’aimeriez pas qu’ils vous fassent. »
Extrêmement populaire dès sa première publication en 1981, ce code moral laïque a été distribué depuis à plus de 100 millions d’exemplaires dans plus de 190 pays et territoires, offrant à chacun des repères pour vivre mieux.
L’Église de Scientologie et ses membres sont fiers de partager les outils pour une vie plus heureuse contenus dans Le Chemin du Bonheur avec tous ceux qui travaillent pour construire un monde meilleur. Pour plus d’informations sur les programmes humanitaires soutenus par l’Église, visitez le site : www.scientologie.fr.
Scientologie : Notre Aide -  Le Chemin du Bonheur, Créer un monde d’honnêteté, de confiance et de respect de soi fait partie d’une série de brochures présentées par l’Église de Scientologie Internationale pour répondre aux demandes d’information sur la religion de Scientologie et sur les programmes caritatifs et d’amélioration sociale qu’elle parraine dans le monde.