mardi 28 juin 2011

Le droit au travail et la délinquance


De nombreuses commissions mises en place, des milliers d'euros dépensés pour résoudre le phénomène de délinquance et celui-ci ne cesse de prendre de l'ampleur. Pour pouvoir résoudre ce problème, il faut en analyser l'origine même, et se poser la question de ce qui crée cette délinquance. Elle n'est pas née au 20e siècle, mais a pris des proportions telles qu'elle verse à présent dans les griffes de la criminalité.

L'humaniste et philosophe Ron Hubbard a décrit dans son livre intitulé Les problèmes du travail les différentes sources de la délinquance, résumant ses observations et recherches concernant la vie et la nature. Il a pu ainsi apporter diverses méthodes et solutions.

En voici quelques extraits tirés de ce livre:
« Se voir refuser le droit au travail, c'est se voir refuser toute participation à la société dans laquelle nous vivons... Pour déceler les névrosés et la déraison dans notre société, nous n'avons qu'à regarder ceux qui ne travaillent pas ou qui ne sont pas capables de travailler.
Nous découvrons toujours dans le passé d'un criminel une « incapacité de travailler ». D'une façon ou d'une autre, le droit au travail semble intimement lié au bonheur et à la joie de vivre. Et on pourrait démontrer que l'interdiction de travailler est intimement liée à la folie et à la démence. » [...]
« En vérité, seul le refus constant de la société de nous donner du travail nous conduit à prendre le travail en aversion quand cette aversion existe... On découvre, en étudiant le passé des criminels dont l'incapacité de travailler est notoire, qu'ils ont d'abord et surtout été convaincus qu'ils ne devaient pas travailler; leur père, leur mère, l'école ou leur première jeunesse leur a interdit de travailler. » [...]

« Pour ce qui est de la délinquance juvénile, la difficulté fondamentale réside dans le programme naguère d'apparence humanitaire qui consistait à interdire tout travail aux enfants. Il n'y a pas de doute qu'on a autrefois abusé du travail des enfants qu'on forçait à travailler trop dur, dont on empêchait la croissance et, d'une manière générale, qu'on exploitait... Les abus à cet égard ont soulevé un tollé général aboutissant à l'adoption de lois pour empêcher les enfants de travailler.
Votées avec les meilleures intentions du monde, ces lois n'en sont pas moins directement responsables de la délinquance juvénile. Interdire aux enfants de travailler et, en particulier, interdire aux adolescents de faire leur chemin dans le monde et de gagner leur propre argent, c'est créer des difficultés familiales telles qu'il devient quasiment impossible d'élever une famille. C'est créer, également et en particulier, cette mentalité chez l'adolescent selon laquelle 'le monde ne veut pas de lui', et ainsi il a déjà perdu son jeu avant même de l'entamer... nos plus grands citoyens ont, d'ordinaire, travaillé dès leur jeunesse... Les enfants sont, en général, très désireux de travailler...dans notre société moderne, l'enfant qui à l'âge de trois ou quatre ans veut travailler en est découragé et même empêché. »

Arrivé à l'âge de l'adolescence, on va continuer à l'empêcher d'accéder au travail dont il rêve car il faut obtenir un diplôme et aller jusqu'au Bac. Il va finir par avoir le sentiment de ne pas faire partie de la société et donc va finir par se rebeller en créant des dégâts autour de lui.

lundi 20 juin 2011

Réfugiés et demandeurs d'asile : croissance inquiétante dans le monde


Paris - Le nombre de réfugiés et de demandeurs d'asile atteint près de 44 millions de personnes en 2010, selon l'agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) dans son rapport, précisant que 80% de ces réfugiés sont dans des pays en développement.

Samedi 18 juin, plusieurs bénévoles de l'association " Des Jeunes pour les Droits de l'Homme " ont voulu alerter et sensibiliser les passants au problème des réfugiés. Ils ont distribué des feuillets contenant les 30 titres des articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.

La responsable de l'association a déclaré: « Depuis quinze ans, le nombre de réfugiés ne cesse d’augmenter et qui par rapport à 2009 est actuellement le plus élevé. Non seulement les réfugiés partent dans des pays étrangers mais il y a 27,5 millions de personnes qui sont déplacées même dans leur propre pays. »

« La solution pour tous ces êtres n’ayant plus de refuge stable est difficile à gérer dans la mesure où leur nombre est inquiétant. Il faut faire un travail de fond avec les instances gouvernementales des pays développés qui ont pour responsabilité de dénoncer ces violations des droits humains. Notre association travaille sur le terrain depuis plus de 10 ans mais également au niveau des gouvernements de certains pays. Il faut rallier toutes les forces. »

L'association « Des Jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights International) a été fondée en 2001 à Los Angeles par Mary Shuttleworth, directrice d’école et éducatrice. Témoin de nombreuses violations des droits humains, elle a décidé de mener un projet d'éducation aux droits, aux devoirs et aux responsabilités, pour les enfants et les adolescents.

« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français :
www.youthforhumanrights.org

Contact presse : droitsdelhomme@gmail.com

mercredi 15 juin 2011

Le travail illégal contre le gré de l’enfant


Paris – Le travail forcé des enfants, que l’on mure de silence et d’indifférence, est malheureusement encore sur la liste des sujets à traiter en priorité.

Samedi 11 juin 2011, installés autour du parvis de Beaubourg avec une table d’information, plusieurs bénévoles de l'association internationale « Des Jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights International) ont distribué des tracts donnant les 30 articles de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et présentant les outils de cette association pour promouvoir ces droits.

Selon l’Organisation internationale du Travail, 73 millions d'enfants qui travaillent de façon abusive ont moins de 10 ans et 8,4 millions d'enfants sont prisonniers de l'esclavage, de la prostitution, de la pornographie et d'autres activités illicites.

Pour la responsable de l'association: « Les chiffres de 1,2 million d’enfants victimes de trafic des êtres humains sont inadmissibles, voire intolérables. Les enfants travaillent pour permettre à toute leur famille de survivre et pour eux-mêmes. On les exploite facilement car ce sont des êtres qui ne peuvent se défendre vis-à-vis des adultes qui usent de leur autorité et puissance d’adulte. »

« Il ne faut cependant pas tomber dans l’autre extrême qui est d’interdire aux enfants de nettoyer ce qu’ils ont sali sous prétexte de les faire travailler. Les enfants dès leur plus jeune âge sont désireux de travailler, et si on les en empêche, ils se sentiront exclus et on assiste ainsi à une montée de délinquance juvénile. »

L'association « Des Jeunes pour les Droits de l'Homme » a été fondée en 2001 à Los Angeles par Mary Shuttleworth, directrice d’école et éducatrice. Témoin de nombreuses violations des droits humains, elle a décidé de mener un projet d'éducation aux droits, aux devoirs et aux responsabilités, pour les enfants et les adolescents.

« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Contact presse : droitsdelhomme@gmail.com ou au 06.22 75.75.20
Pour en savoir plus, visitez le site : http://fr.youthforhumanrights.org/

Il existe des “Eglises officielles” dans la France de Georges Fenech

Un article que je vous invite à lire et à relire, en voici quelques extraits et vous trouverez son intégralité sur le site : http://scientologuescontreladiscrimination.com

"Sur ce site, nous avons à plusieurs reprises dénoncé l’incroyable sectarisme dont fait preuve Georges Fenech, l’actuel président de la Miviludes, dans sa lutte intransigeante contre les nouvelles religions.

Nous ne sommes pas les seuls à le faire. Ainsi, lorsque M. Fenech venait d’être nommé à la tête de la Miviludes, Claude Paty, président de la Fédération protestante de France regrettait cette nomination en ces termes : « Il a une vision inquisitoriale de la lutte contre les sectes ».

... La lettre que le directeur général des services du Conseil Général avait envoyé à l’assistante sociale pour la réintégrer indiquait : « Pour faire suite à votre dépôt de plainte, je vous informe que toute mention relative à votre appartenance religieuse a été supprimée de votre dossier en application de l’article 8 de la loi du 06/01/78 modifiée en août 2004 et de l’article 18 alinéa 2 de la loi du 13 juillet 83 portant droits et obligations des fonctionnaires »...