mardi 30 décembre 2014

Rapport de l'Observatoire de la déontologie à lire avec une loupe

Analyse très intéressante, suite à la publication du 2e rapport de l’Observatoire de la déontologie de l’information, faite par Jean-Luc Martin-Lagardette, Journaliste et essayiste.  

"L’Observatoire de la déontologie de l’information (ODI) vient de rendre public son deuxième rapport annuel. Un recueil riche en descriptions de dérives médiatiques et en analyses pertinentes sur le travail journalistique. A quelques petits bémols près.
[...]

La difficile indépendance du journalisme par rapport à son employeur
Le rôle d'Internet et des médias sociaux sous-estimé
L'honnêteté ne suffit pas à remplacer l'objectivité..."

Voici un "lettre" écrite dans le média Le Devoir  qui soulève la question des pertes de repères et la dimension spirituelle.

Une dimension spirituelle manquante


29 décembre 2014 | Jean-Marc Girard Jonquière, le 25 décembre 2014 | Actualités en société

     "Le manque de respect généralisé, l’intégrité de plus en plus déficiente, le devoir de respecter ses engagements et sa parole donnée, la maîtrise de soi qui semble être devenue une exception à la règle, prendre le temps de réfléchir avant de parler, douceur, gentillesse, sympathie, ne sont que quelques-unes des règles bafouées qui aujourd’hui semblent faire partie d’une autre époque. La société craque de tous bords tous côtés, les jeunes sont perdus comme jamais, tout va à une vitesse effrénée où il n’y a pas de place pour la méditation et le retour sur sa vie. Les jeunes aujourd’hui sont abreuvés de connaissances comme jamais dans l’histoire de l’humanité, ont une intelligence nettement plus aiguisée, sans aucune comparaison possible avec ceux de ma génération, et, pourtant, jamais nous n’avons vu autant de détresse à tous les coins de rue. Jamais, dans l’histoire de l’humanité, nous n’avons eu autant de spécialistes de toutes sortes (psychologues, travailleurs de rue, médicaments, etc.) pour aider les personnes en difficulté, les comprendre, jamais n’avons-nous été autant débordés par les problèmes psychologiques qui minent notre Québec.
 
    En ce temps des Fêtes, il serait peut-être temps de comprendre que la dimension spirituelle fait partie de la solution de l’humanité et qu’on ne peut y échapper sans une connexion avec l’Être suprême, sans un retour sur notre provenance. L’être humain est condamné a s’étourdir et à se perdre dans des chemins sinueux qui, un jour ou l’autre, vont le rattraper, qu’il le veuille ou non. C’est un passage obligé : malheureusement et généralement, il faut frapper un mur pour comprendre cela. L’être humain a une destinée finale, la dimension spirituelle amenant une paix intérieure qui ne s’achète pas mais qui, au contraire, s’approfondit dans le silence et la réflexion. S’obstiner à ne pas reconnaître ce fait nous enfonce dans une direction qui, loin d’être bonne pour nous collectivement, nous dirige vers le chaos et les déchirements. Plus on attend, plus le virage sera difficile à faire. La naissance et la résurrection du Christ ont une signification profonde et sont d’une importance capitale pour l’être humain et son avenir. Peut-être serait-il temps de le redécouvrir pour notre plus grand bien à tous, sans exception."

*******

De nombreux commentaires très intéressants suivent cette lettre et on voit bien que là où se situent les discordes, il n'y a pas la même conception et donc définition des mots.  
De nombreuses religions et philosophies considèrent l’Homme comme un être spirituel, pas simplement comme un corps. Ceci bien évidemment est bien différent de l’opinion scientifique actuelle qui voit en l’Homme un objet matériel, un amalgame complexe de composantes chimiques et de mécanismes d’excitation-réflexe. Comme pour la Scientologie, l’Homme ne progresse que dans la mesure où il conserve son intégrité, ses valeurs spirituelles, son honnêteté et sa dignité. En vérité, plus il abandonne ces qualités, plus il se dégrade. L’Homme est fondamentalement bon, il n’est pas dans sa nature de commettre des actes malfaisants, ce sont ses « expériences » qui l’y poussent. Il a également l’impulsion à exister en tant qu’Infini, appelé Dieu par certains, l'Etre suprême ou le Créateur par d'autres. Cette impulsion embrasse l’infini. 
Comment définir une religion ?
 Frank K. Flynn, docteur es lettres, professeur auxiliaire en études religieuses à l’Université de Washington à Saint Louis, Missouri, USA, l'a très bien évoqué dans son expertise.


 
 

lundi 29 décembre 2014

Un article intitulé Une religion qui rend fou ? d'André Pouchet dans les Nouvelles de France met le doigt sur le traitement médiatique de faits divers liés, soit-disant, à l'Islam . 

"Une série de faits isolés, complaisamment montés en épingle depuis quelques jours par nos medias toujours aussi avides de sensationnel et toujours travaillés en sous-main par une islamophobie rampante (voire galopante !), viennent de survenir de façon si opportune que cela paraîtra éminemment suspect et ne pourra qu’inciter tous les observateurs sensés et raisonnables à redoubler de méfiance. Ces faits n’ont-ils pas en premier lieu pour effet d’alimenter les jugements hostiles, de renforcer les préjugés malveillants à l’encontre d’une religion pourtant considérée par tous les spécialistes homologués comme fondamentalement pacifique ?

Un petit rappel des faits pour commencer :
A Ottawa, le 22/10, un certain Michael Zehaf-Bibeau, délinquant et toxicomane converti à l’Islam, après avoir exécuté une sentinelle, pénètre dans le Parlement du Canada où il déclenche une fusillade à l’issue de laquelle il sera traqué et abattu comme un chien. Mais cela n’est, de toute évidence, qu’un fait isolé, dont le responsable, semble-t-il, est psychologiquement dérangé.
Deux jours auparavant, toujours au Canada, à Saint-Jean-sur-Richelieu, deux soldats de l’armée canadienne avaient été renversés par une voiture que conduisait un sympathisant de l’État Islamique. L’un deux est décédé. Mais cela n’était, de toute évidence, qu’un fait isolé, dont le responsable, semble-t-il, était psychologiquement dérangé."
[...]
"Autrement dit, l’Islam est-il une religion qui détraque ses adeptes ou une religion qui attire en son sein les individus préalablement détraqués ? "


Cliquez sur le titre de l'article pour en savoir plus. 


Il existe trois critères que les érudits en religion du monde entier utilisent en général pour définir le caractère religieux : 
1) une croyance en une sorte de Réalité suprême, telle qu’une vérité suprême ou éternelle qui transcende le moment présent du monde temporel ; 
2) des pratiques religieuses qui se consacrent directement à comprendre, atteindre ou communiquer avec cette Réalité suprême et 
3) une communauté de croyants qui se rassemblent en vue de la rechercher.
Avec ces trois critères peut-on admettre que ces hommes qui tuent leurs semblables le font au nom de la religion? 


Les anciens combattants de la guerre du Golfe suivent un programme de détoxification pour vivre à nouveau

Voici un article qui explique le pourquoi du programme de détox mis en place par Ron Hubbard, suite à ses recherches sur les radiations, sur les effets des drogues et de la pollution. 

Traduction d'un article du Capital Gazette sur une utilisation laïque des découvertes de Ron Hubbard sur la purification. 


​Annapolis, Maryland : Fonds fédéraux pour un programme de détox de Scientologie pour les anciens combattants
Source : http://www.capitalgazette.com/news/ph-ac-cn-detox-1214-20141214,0,219202.story?page=1
Par Rema Rahman
Le 14 décembre 2014



À Annapolis (état du Maryland, USA), un programme de détoxification soutenu par l’Église de Scientologie traite des anciens combattants souffrant de conditions chroniques liées à la guerre du Golf. Selon des responsables du Pentagone, le programme bénéficie depuis septembre 2010 d’un financement du département américain de la Défense de 633 677 $US. Le bureau d’Annapolis a ouvert ses portes en janvier, nous explique Crystal Grant, la directrice des essais cliniques. 
[...]
Pour en savoir plus.

mercredi 24 décembre 2014

Ce qui doit être révélé sur la Scientologie


Question qui tue, question qui fâche, question qui n'a pas sa réponse dites-vous ? 
Il y a répondu et ne mâche pas ses mots.
Lisez l'article entier publié par Cultures et croyances sur la Laïcité à la française : l'inquisition en bande organisée.

A l'occasion d'une interview donnée pour le magazine Cultures & Croyances, le révérend Éric Roux, porte parole de l'Eglise de Scientologie, a pu s'exprimer sur la situation spécifique des religions en France et plus particulièrement de son Eglise. Alors que de plus en plus de pays reconnaissent cette religion, la France reste très marginale sur le sujet pour plusieurs mouvements religieux dits 'minoritaires'. Dans son interview, le révérend Roux n'a pas manqué de souligner que, dans notre pays, il n'y a juridiquement pas de 'sectes' au point qu'un Premier ministre avait dû rappeler à l'ordre la Miviludes pour l'utilisation abusive de ce terme dans une liste que cet organisme avait publié afin de désigner des groupements très divers.

En France, il y a « une sorte de 'retard culturel' qui fait qu'une société met longtemps à accepter le progrès, les changements, » a souligné le révérend. Concernant la presse, il n'a pas manqué de mentionner le rôle des médias qui « ne s'intéressent qu'aux polémiques et jamais à la réalité des choses ». Et de continuer en révélant le jeu intéressé de quelques organismes comme la Miviludes qui n'hésite pas, au mépris du principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs, d'intervenir auprès des magistrats et ainsi violer la constitution en formant des juges pour leur apprendre à condamner la Scientologie.

Chaque semaine des scientologues participent à des campagnes de prévention contre les drogues, à l'éducation de la communauté sur les droits de l'homme, à la réhabilitation de délinquants dans la société et ce dans le monde aussi bien qu'en France. Elle tient, se faisant, son rôle de religion pour le bénéfice de tous. Il serait temps de reconnaître que, plus que d'adversaires, la France, dont une partie croissante de la population est en difficulté, a besoin de partenaires volontaires qui apportent des solutions comme celles présentées dans la nouvelle brochure de l'Eglise de Scientologie 'Une voix pour l'humanité'.

Ron Hubbard, le fondateur de la religion de Scientologie a laissé ces mots de circonstances en cette période de fêtes de fin d'année : « Si un individu n'aime pas le crime, la cruauté, l'injustice et la violence de cette société, il peut y faire quelque chose... aider à civiliser cette société, à lui apporter conscience, bonté et amour et à la libérer du calvaire en y instillant confiance, décence, honnêteté et tolérance. »

mardi 23 décembre 2014

Laïcité agressive: son arme tue les religions

Dans l'article du Figaro du 19 déc 2014 Interdiction des crèches : la France oublie-t-elle ses racines chrétiennes, Frédéric Saint Clair s'inquiète des dérives de la laïcité. La crèche à Melun a été la cible de la Libre Pensée. Il  y voit le signe d'une France désireuse d'oublier ses propres racines. 
(Frédéric Saint Clair est mathématicien et économiste de formation. Il a été chargé de Mission auprès du premier ministre pour la communication politique (2005-2007). Il est aujourd'hui consultant free lance.)

A quelques jours de Noël, l'affaire des crèches dans les lieux publics ne cesse de rebondir. Après celle du Conseil général de Vendée, c'est celle de la mairie de Melun qui défraie la chronique. A chaque fois l'argument invoqué est le même: la laïcité. Cette laïcité, qui a été au tournant du XXème siècle une avancée politique majeure, est devenue aujourd'hui un instrument idéologique dont se sont emparés ceux qui ont fait de l'athéisme politique leur dogme. Ces individus, qu'ils soient libres penseurs ou partisans d'une extrême gauche encore toute imprégnée de matérialisme marxiste, n'envisagent pas la laïcité comme un outil de pacification politique et sociale - ce qu'elle est ou ce qu'elle devrait être - mais comme une arme anti-religieuse, et a fortiori anti-chrétienne.
[...]

L'humaniste Ron Hubbard a déjà rédigé en janvier 1965 le texte  « Ma philosophie » dont voici un extrait: 
- Et donc, ma philosophie est que l’on doit partager la sagesse que l’on possède, aider les autres à s’aider eux-mêmes et continuer d’aller de l’avant contre vents et marées, car le calme suit toujours la tempête. On ne doit en outre prêter aucune attention aux huées de l’intellectuel égoïste qui crie : « Ne dévoilez pas le mystère. Gardons tout cela pour nous. Le peuple ne peut pas comprendre. » - 
 
  

Il ne s'agit pas de renier notre histoire

Dans l'article du Point du 21 12 2014, intitulé Didier Raoult : laïcité et traditions doivent cohabiter  le professeur Didier Raoult, explique que rejeter les traditions sous prétexte qu'elles sont associées à la religion risque de déstabiliser les fondements du pays. 

Les règles sociales ont été et sont encore souvent organisées dans un cadre religieux. La capacité des religions nouvelles à fusionner traditions et rites qui leur sont antérieurs a permis de recycler des manifestations très archaïques. Ainsi, religion et culture sont devenues inséparables. Détruire des fêtes traditionnelles parce qu'elles ont été adoptées par les religions est dangereux. [...]
Pour en lire plus, cliquez

L'humaniste Ron Hubbard a déclaré dans son texte intitulé Ma philosophie:
"Car je ne connais aucun homme qui détienne le monopole de la sagesse dans cet univers. Elle appartient à ceux qui peuvent s’en servir pour s’aider et pour aider les autres.
Si les choses étaient un petit peu mieux connues et comprises, nous mènerions tous une vie plus heureuse."

lundi 8 décembre 2014

Noël est de plus en plus source de conflits

 L'article "LA CRECHE DE BEZIERS", signé par Christian Paturel,donne quelques éclaircissements sur les querelles non fondées autour de la crèche ou de Noël:
http://christianpaturel.com/la-creche-de-beziers/

Tout ce qui est excessif n’est pas raisonnable dit-on. Ce principe pourrait fort bien s’appliquer à l’excès de juridisme.  La laïcité, au nom des principes qui la gouvernent, entend interdire la crèche dans l’enceinte de la mairie de Béziers. 
Noël : une fête païenne datant de la Rome antique 
Personnellement, je considère que chacun est libre d’adopter les croyances de son choix, de croire ou de ne pas croire, de changer de religion, d’être ou de devenir athée, de pratiquer telle ou telle coutume… La libre communication des pensées permet à chacun, sous réserve d’un minimum d’ouverture d’esprit, de réviser ses croyances. L’évangélisation fait partie du libre exercice de cette liberté fondamentale.
Par ailleurs, Jésus n’est jamais né un 25 décembre. Dès lors, il s’agit d’une querelle stérile qui confirme, une nouvelle fois, que « l’on » regarde les problèmes par le petit bout de la lorgnette, que l’on dépoussière les meubles avant de couvrir le toit et de rebâtir les mûrs de la maison France.
Voici un extrait tiré de la « Nouvelle Encyclopédie Catholique » :
« On ignore la date de la naissance du Christ. Les évangiles n’en révèlent ni le jour ni le mois (…). Selon l’hypothèse qu’a avancée H. Usemer (…) et qui est acceptée par la plupart des exégètes, on a fixé la naissance du Christ au solstice d’hiver (25 décembre pour le calendrier Julien (…) 

« On ignore la date de la naissance du Christ. Les évangiles n’en révèlent ni le jour ni le mois (…). Selon l’hypothèse qu’a avancée H. Usemer (…) et qui est acceptée par la plupart des exégètes, on a fixé la naissance du Christ au solstice d’hiver (25 décembre pour le calendrier Julien (…) - See more at: http://christianpaturel.com/la-creche-de-beziers/#sthash.pSskQb8N.dpuf

Noël : une fête païenne datant de la Rome antique
Personnellement, je considère que chacun est libre d’adopter les croyances de son choix, de croire ou de ne pas croire, de changer de religion, d’être ou de devenir athée, de pratiquer telle ou telle coutume… La libre communication des pensées permet à chacun, sous réserve d’un minimum d’ouverture d’esprit, de réviser ses croyances. L’évangélisation fait partie du libre exercice de cette liberté fondamentale.
Par ailleurs, Jésus n’est jamais né un 25 décembre. Dès lors, il s’agit d’une querelle stérile qui confirme, une nouvelle fois, que « l’on » regarde les problèmes par le petit bout de la lorgnette, que l’on dépoussière les meubles avant de couvrir le toit et de rebâtir les mûrs de la maison France.
Voici un extrait tiré de la « Nouvelle Encyclopédie Catholique » :
- See more at: http://christianpaturel.com/la-creche-de-beziers/#sthash.pSskQb8N.dpuf

mercredi 3 décembre 2014

Ron Hubbard reconnu par le Smithsonian magazine reconnaît comme l’un des Américains les plus importants de tous les temps



Une analyse quantitative commandée par le Smithsonian place le fondateur de la Scientologie  parmi les figures religieuses [ou : personnages religieux] ayant eu le plus d’influence dans l’histoire américaine.

Dans son Edition spéciale Printemps 2015, le Smithsonian magazine présente les résultats d’une analyse qu’il a commandée afin d’identifier les Américains les plus significatifs du point de vue historique. C’est le journal publié de la Smithsonian Institution, institution de recherche scientifique, créée sous l'égide de l'administration américaine en 1846. Vaste complexe de dix-neuf musées et neuf centres de recherche principalement situés à Washington, l’Institution a au fil des années développé ses vocations éditoriales, muséographiques, pédagogiques et éducatives.


Le magazine classe Ron Hubbard, fondateur de la religion de Scientologie, parmi les 100 Américains les plus importants de tous les temps, au moyen d’un algorithme qui mesure les personnages historiques « non seulement par rapport à ce que ces personnes ont fait, mais aussi par rapport à la façon dont les gens s’en souviennent et les estiment pour cela », selon le magazine.

Le Smithsonian a aussi identifié Ron Hubbard comme faisant partie des 11 personnages religieux les plus influents de l’histoire américaine, se référant à son œuvre majeure, La Dianétique : la puissance de la pensée sur le corps, et à sa fondation ultérieure de la Scientologie, une religion qui compte aujourd’hui 11 000 églises, missions et groupes dans 167 pays.

Parmi les responsables religieux autres que Ron Hubbard qui apparaissent dans cette étude, on trouve William Penn, qui fonda la Pennsylvanie pour qu’elle soit un sanctuaire pour la liberté de conscience, et Roger Williams, dont la conviction de l’importance de la liberté de religion le conduisit à fonder la colonie de Rhode Island.

« Dans une culture aussi saturée d’informations et si fragmentée par les possibilités de recherches sur internet, comment mesurer l’importance historique ? » Telle est la question que s’est posée le magazine.

Steven Skiena, chercheur en informatique à l’Université Stony Brook, et Charles B. Ward, ingénieur évaluation chez Google, ont construit une réponse avec l’algorithme qu’ils ont développé pour le Smithsonian. « Ils soumettent l’esprit historique à la rigueur implacable de l’analyse quantitative », selon la publication.

Dans ce numéro, le Smithsonian classe également les présidents américains, les premières Dames, les artistes et les bâtisseurs d’empires les plus significatifs.

Bien qu’il soit surtout connu pour la Dianétique et la Scientologie, Ron Hubbard fut aussi  philosophe, humaniste, écrivain, artiste, éducateur et administrateur. Ses œuvres sont publiées en 50 langues et se sont vendues à des centaines de millions d’exemplaires. Il est considéré par des millions de personnes dans le monde comme le plus grand ami de l’Humanité.