mardi 21 août 2012

Esclavage ou traite négrière : Plus jamais ça !


Paris – A l’occasion de la « Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition » fixée au 23 août de chaque année, les bénévoles de l'association internationale Des jeunes pour les Droits de l'Homme (Youth for Human Rights International) se sont mobilisés samedi.

Cette date est en mémoire de l'insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l'abolition de la traite négrière transatlantique, dans la nuit du 22 au 23 août 1791, à Saint-Domingue (aujourd'hui Haïti et République dominicaine).

Cette journée vise à inscrire cette tragédie dans la mémoire de tous les gens et à engendrer une réflexion par tous sur le pourquoi, et les conséquences. De plus en plus d’injustices et d’atteintes à la dignité humaine existent dans ce monde, le combat pour l’abolition ne doit pas sombrer dans l’oubli.

L’association internationale Des jeunes pour les droits de l’homme (Youth for Human Rights International) a ainsi répondu à l’appel du Directeur général de l'UNESCO qui invite les Ministres de la culture de tous les États membres à organiser des actions en associant l'ensemble des jeunes, des éducateurs, des artistes et des intellectuels. Les bénévoles ont fait signer des pétitions sur les droits de l’homme à Bastille aux passants.

Fin 2010, lors d’une session du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies, un projet de plan d’action pour 2010-2014 du Programme mondial en faveur de l’éducation aux droits de l’homme a été élaboré par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme en collaboration de l’Unesco. 

Ce plan est largement suivi par l’association Des jeunes pour les droits de l’homme depuis 10 ans dont le but est d’enseigner aux jeunes partout dans le monde ce que sont ces droits et par conséquent leur permettre de devenir des défenseurs avertis pour la promotion de la tolérance et de la paix. Par là-même on  développe les valeurs morales et on renforce les attitudes et les comportements qui sont à la base de ces droits humains.

Le responsable de l’association Des jeunes pour les droits de l’homme  a déclaré: « Il est urgent de sensibiliser et de réveiller la société endormie par les nouvelles technologies. Les gens ne voient pas toutes ces violations des droits de l’homme, contraires aux fondements mêmes de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Il faudra exercer une vigilance plus accrue à l’égard des nouvelles formes d’esclavage. Comme le déclarait l’humaniste Ron Hubbard ‘Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste’. Pour pouvoir vivre en sécurité, en paix, il lui fait connaître ses droits. »

On peut les trouver sur le site  http://fr.youthforhumanrights.org/

jeudi 16 août 2012

En Colombie : le Chemin du Bonheur fait des ravages


Il se produit une fabuleuse histoire en Colombie et je vous laisse découvrir cela.
 
En Colombie, le programme du Chemin du Bonheur est devenu le programme officiel du gouvernement pour faire chuter le taux de criminalité. L'histoire s'est déroulée sur plusieurs années mais les résultats sont là aujourd'hui. Les autorités attribuent au programme la baisse récente de 50% du taux de criminalité dans le pays, tandis que la Colombie vient d'enregistrer une augmentation de son activité touristique 8 fois supérieure à celle des autres pays d'Amérique du Sud. Depuis le début du programme, la police a donné des séminaires du Chemin du Bonheur à plus de 3 millions de citoyens colombiens, et distribué des livrets à plus de 20% de la population.

Celui qui a été à l'origine de ce programme dans le pays (et qui aujourd'hui est chargé par le gouvernement d'exporter le programme dans les pays voisins demandeurs du programme, comme l'Équateur), c'est le Colonel Prado...
 
De superbes photos...
 

 

vendredi 3 août 2012

Office religieux en Scientologie

Lisez : Carnet de recherche sur les "nouveaux mouvements religieux" (NMR) et vous en saurez plus.

Avant propos : 
Je tiens à préciser que les paroles du ministre notées entre guillemets dans ce récit d’expérience ont toute la faillibilité qu’une prise de notes in situ peut impliquer. Je suis évidemment le seul responsable de ce que j’ai entendu, et de ce que je retranscris ci-dessous.

18h02. Le ministre qui officie ce soir m’accompagne à la salle du culte. Salle polyvalente, elle reçoit en d’autres occasions des spectacles et concerts. J’ai d’ailleurs vu qu’il y avait un piano. Mais un « ambon » a été installé sur l’estrade et la croix au mur, signes que l’office religieux va avoir lieu. Quarante chaises ont été disposées, et sur chacune d’elle un livret. J’étais seul dans la salle quand nous sommes arrivés. Je me suis installé au dernier rang, sur la gauche, en entrant. En attendant que d’autres coreligionnaires nous rejoignent et que l’office commence, je m’intéressais au livret. De mémoire, on pouvait y trouver notamment le crédo scientologue, une biographie de R. L. Hubbard, l’explication des « huit dynamiques » et une prière conclusive. Des gens commençaient à arriver. Leur interaction me laissait penser qu’ils se connaissaient. A ma première surprise, contrairement à ce que l’aspect technologique de la Scientologie m’avait fait croire – la technologie étant souvent reléguée au domaine masculin –, le public était en majorité féminin...

Pour en savoir plus :
 http://nmr.hypotheses.org/91