mercredi 25 août 2010

La campagne d’éducation aux droits de l’Homme pour la Jeunesse

Paris - A l’occasion de la Journée internationale de la jeunesse, samedi 21 août, les bénévoles de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights) se sont mobilisés autour du parvis de Beaubourg. Ils ont collecté plusieurs centaines de signatures pour une pétition qui reprend l’objectif des Nations Unies par rapport à leur programme d’action mondial pour la jeunesse adopté en 1995.

Le message du Secrétaire général des Nations Unies, M. Kofi Annan, est clair : « Ce programme vise à sensibiliser les gouvernements aux aspirations des jeunes qui souhaitent un monde meilleur et à la volonté de ces mêmes jeunes de contribuer à la recherche de solutions plutôt que d’être une source de problèmes. Il a été élaboré parce que les jeunes étaient conscients que pour bien gérer les effets de la mondialisation sur leur vie, ils devaient commencer dès maintenant à préparer leur avenir et ne pas attendre que les gouvernements le fassent pour eux. »

Une distribution de prospectus évoquant les 30 articles de la Déclaration universelle des Droits de l'Homme reprenant ces articles sous forme simplifiée s’est faite en parallèle.

Cette action se poursuit depuis des années et dans toute la France, des membres font connaître cette Déclaration qui a été signée en France en 1948 dans le but de combattre l'oppression et la discrimination.

En effet, les statistiques sont épouvantables, plus de 8 millions d’enfants sont maintenus en esclavage, un tiers des enfants souffrent de malnutrition et plus de 133 millions d’enfants n’ont pas accès à l’éducation de base.

« Les jeunes étant le futur de demain, avec la connaissance de ces droits, ils pourront se protéger et protéger les autres. Ils sauront qu’ils ont des droits mais aussi des devoirs et seront les futurs défenseurs de la paix et de la tolérance, » a déclaré le responsable de l’association française.

Le but de l'association internationale « Des jeunes pour les Droits de l'Homme » (Youth for Human Rights) est d'élever le niveau de connaissance de ces droits grâce à des présentations audiovisuelles et autres outils éducationnels.

« Les Droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve idéaliste, » déclarait l’humaniste, Ron Hubbard.

Pour plus d’information, visitez le site traduit en français : www.youthforhumanrights.org ou http://desjeunespourlesdroitsdelhomme.fr

Contact presse : Martine au 06 22 75 75 20 ou droitsdelhomme@gmail.com

jeudi 5 août 2010

Pour vivre dans une société paisible : Ne faites rien d’illégal

Paris – Les « actes illégaux » sont ceux interdits par les règlements officiels ou par la loi. Chacun de nous, quelque soit son âge, est tenu de connaître les codes et actes que la société considère comme « illégaux ». Mais compte tenu des nombreux faits divers qui prouvent le contraire, Samedi 24 juillet, les bénévoles de l'association « Le chemin du bonheur » ont tenu à transmettre cette information en distribuant des centaines de livrets aux passants, vers la Fontaine des Innocents près de Châtelet.

Alors qu’en juillet, des nuits d’émeute ont encore perturbé le repos des résidents à Grenoble, il est urgent de remettre ou de mettre les valeurs morales dans l’esprit des jeunes et de ceux qui commettent des actes illégaux. Même si ceux qui combattent cette illégalité deviennent alors des ennemis implacables et des cibles à détruire, il faut qu’ils continuent à mettre de l’ordre et à exiger que les gens soient éduqués sur les lois.

Pour enrayer cette escalade de délinquance et de criminalité, le livret « Le chemin du bonheur ».explique les 21 préceptes fondamentaux et pratiques pour retrouver la joie de pouvoir vivre une vie plus heureuse.

Pour le responsable de l'association : « Le bonheur et la survie des personnes sont menacées par ceux dont la conduite laisse à désirer. Il faut donc réagir à cela en veillant à ce que les enfants comme les adultes soient informés de ce qui est légal et illégal, sinon on risque soi-même d’en subir les conséquences. Même si ceux qui agissent contre les lois pensent pouvoir s’en tirer, sa conscience le rappellera à l’ordre tôt ou tard. »

Le but de l’association « Le chemin du bonheur » est de créer une société qui puisse vivre en sécurité et le livret est le premier code moral non religieux basé exclusivement sur le bon sens et remettant les valeurs morales à leur juste place.

Il a été écrit par l’humaniste Ron Hubbard à titre d’œuvre personnelle : « Ce chemin, si vous le suivez, vous mènera, vous et les autres, vers une vie moins troublée et bien plus heureuse. »

Pour obtenir davantage d’informations sur les actions de l’association et découvrir le DVD qui illustre les 21 préceptes, visitez le site internet : http://www.chemin-du-bonheur.fr

Contact presse :

Stéphane MALEUVRE au 06. 61.76.22.78 ou lechemindubonheur@yahoo.com

mercredi 4 août 2010

Une explication à la chute spectaculaire du taux de criminalité en Colombie

Je souhaite vous faire part d'un article qui évoque un grand changement dans la société, n'hésitez pas à lire la suite sur : http://scientologuescontreladiscrimination.com


« Le Chemin du Bonheur » est un code moral non religieux basé exclusivement sur le bon sens. Il a été écrit par L. Ron Hubbard à titre d’œuvre personnelle et ne fait partie d’aucune doctrine religieuse. Près de 100 millions d’exemplaires de ce livret, traduit en 97 langues, ont été distribués dans 170 pays. Dans chaque zone où il a été distribué massivement, on a constaté une baisse de la criminalité.

En Colombie, tout commença au début de l’année 2009 avec des séminaires du Chemin du Bonheur délivrés à la base à terre de la marine colombienne située à Cartagena. C’est là que des militaires ont commencé la distribution du livret aux forces de la marine. Le commandant Ricardo Antonio Prado, de la division juvénile de la police nationale colombienne, a ensuite pris le relais, ainsi que le colonel Carlos Mena, en charge de la police de l’état de Bolivar. Ces officiers organisèrent une série de séminaires dans les lycées et les collèges municipaux. Ce fut le commandant Prado qui prit l’initiative en établissant un réseau de distribution avec le corps policier de Bogota. Ce programme commençait à prendre de l’ampleur et à attirer l’attention d’autres officiers...