jeudi 2 janvier 2014

Cyclone Haiyan aux Philippines : les bénévoles scientologues se mobilisent



Les ministres volontaires de Scientologie viennent au secours des rescapés


Presque deux mois après le passage du super-typhon Haiyan qui a ravagé les Philippines, le pays est encore sous le choc. La Mission de Scientologie de Manille avait immédiatement mobilisé ses bénévoles pour participer aux secours. Ils ont ensuite été rejoints par des ministres volontaires venus de l'étranger, qui continuent à apporter leur aide aux rescapés.

Le typhon, baptisé Yolanda aux Philippines, a frappé l'archipel le 8 novembre dernier avec des vents supérieurs à 300 km/h. Il a fait plus de 5 000 morts et 1,9 million de réfugiés selon les estimations des Nations Unies. D’après le Comité International de la Croix-Rouge, l'ouragan a détruit le gagne-pain de plus de 5 millions de personnes, et 2,4 millions d’habitants en détresse se retrouvent sans eau potable ni nourriture.

L'équipe de secours d'urgence de l'Eglise de Scientologie, encadrée par le ministre volontaire expérimenté Ayal Lindeman, de New York, et par des membres de la tournée des bénévoles de   Scientologie en Inde, travaille avec des agences gouvernementales et d'autres associations humanitaires pour aider à la distribution de nourriture et de matériels.


Tout en apportant cette aide de base nécessaire à la survie des rescapés, les ministres volontaires apportent aussi une aide personnalisée grâce aux procédés d'assistance spirituelle de Scientologie, des techniques développées par le fondateur de la Scientologie, Ron Hubbard, qui permettent de soulager les aspects émotionnels et spirituels liés aux traumatismes, aux maladies et aux blessures. Les procédés d'assistance spirituelle sont simples à administrer et à apprendre, et les bénévoles forment  les membres de la famille, les responsables de la communauté et d'autres bénévoles à ces techniques, afin de les rendre largement disponibles.

Lors de la création du programme des ministres volontaires, Ron Hubbard écrivit : “Si quelqu’un n’aime pas le crime, la cruauté, l’injustice et la violence de cette société, il peut y faire quelque chose. Il peut devenir un ministre volontaire et aider à civiliser cette société, à lui apporter  conscience, bonté et amour, et à la libérer du calvaire en y insufflant confiance, décence, honnêteté et tolérance.”

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