Le
nouveau plan national de prévention de la radicalisation doit faire
oublier les erreurs et autres fiascos observés en la matière de ces
dernières années. Petit florilège des ratés passés de la
déradicalisation.
- Des experts autoproclamés et très critiqués :
Anthropologue, Dounia Bouzar fut l'une des figures les plus marquantes
de la «déradicalisation», portée aux nues par les autorités et les
médias dans les années 2014-2015...- Des spécialistes qui finissent devant les tribunaux : en 2016, le Niçois Patrick Amoyel, le «psychanalyste du djihad», est poursuivi et écroué pour «viols par personne ayant autorité» et pratique illégale de la médecine, sans lien avec ses activités «déradicalisatrices»...
- Un centre dont les pensionnaires défraient la chronique: un centre mal conçu et rapidement vide de pensionnaires. L'expérimentation de Pontourny (Indre-et-Loire) n‘a jamais vraiment pu démarrer. Ouvert en septembre 2016, vide en février 2017 et fermé en juillet, le centre était censé accueillir des individus radicalisés sur la base du volontariat. Et pour cause...
- Menaces et agressions dans les «unités de prévention» en prison: Menaces à répétition, fabrication d'armes artisanales et enfin une agression qui aurait pu être mortelle...
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