Une
récente étude réalisée par l'organisme de recherches sud-africain FutureFact
a fait resurgir le spectre de violences dues aux préjugés envers les étrangers
vivant en Afrique du Sud.
Selon
un sondage réalisé en 2012 auprès de 2 946 personnes âgées de 15 ans et plus,
« huit personnes sur dix pensent que les étrangers trouvent plus
facilement du travail que les Sud-Africains parce qu'ils sont prêts à gagner
moins » et 55 % pensent que « la majorité des délinquants en Afrique
du Sud sont des étrangers ». Ces chiffres inquiètent les autorités et les
associations de défense des droits de l'homme, qui se souviennent des émeutes
de 2008 dues à la xénophobie, qui avaient fait plus de 60 morts.
Tony
Mathipa, responsable des programmes sociaux de l'Eglise de Scientologie de
Johannesburg et coordinateur de Youth for Human Rights Afrique du Sud,
appelle à un retour aux valeurs humaines
exprimées par Nelson Mandela en 1994: « Nous avons triomphé dans
nos efforts pour faire naître l'espoir dans les cœurs de millions de personnes
de notre peuple. Nous scellons un pacte, celui de construire la société dans
laquelle tous les Sud-africains, blancs comme noirs, pourront marcher la tête
haute, sans crainte dans leur cœur, assurés de leur droit inaliénable à la
dignité humaine – une nation arc-en-ciel en paix avec elle-même et avec le
monde. »
Tony
Mathipa est convaincu que la vision de Mandela peut se réaliser en faisant
largement connaître la Déclaration universelle des Droits de l'homme qui
définit les 30 droits de tout être humain.
Tony
Mathipa est ambassadeur auprès du programme parlementaire Millennium, nommé par
le Parlement d'Afrique du Sud. Il a également été nommé ambassadeur auprès du projet de développement de la
région du Gauteng G2055, par la Commission de planification du Gauteng et le
bureau du Premier ministre de la province.
Youth
for Human Rights International a
pour objectif d’enseigner les droits de l’homme aux jeunes, en particulier la
Déclaration universelle des droits de l'homme, et de leur donner envie de
devenir des avocats de la tolérance et de la paix.
Les
scientologues des cinq continents travaillent en collaboration avec des agences
gouvernementales et des organisations non-gouvernementale pour faire connaître
à grande échelle et faire respecter la Déclaration universelle des droits de
l'homme de l'ONU de 1948, premier document international de protection des droits
humains.
L’Eglise
de Scientologie vient de publier la brochure Scientologie : notre aide –
Tous unis pour les droits de l’homme, Faire des droits de l’homme une réalité
mondiale, pour répondre aux demandes d’information sur les actions
d’éducation et de sensibilisation aux droits de l’homme soutenues par l’Eglise.
Pour plus d'informations, voir le site www.scientology.org/humanrights
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Ron
Hubbard, fondateur de la Scientologie, a écrit ces mots : « Les droits de
l'homme doivent être un fait, non un rêve utopique », et la religion de
Scientologie est fondée sur les principes des droits de l'homme. Le Code du
scientologue appelle tous ses membres à s'engager à « soutenir les
authentiques actions humanitaires dans le domaine des droits de
l'homme. »
Contact
presse:
Bureau
des relations publiques : 01.53.33.52.09
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