Des articles à ne pas rater :
* Voici un maire qui n'a pas froid aux yeux et a le courage de garder sa position :
François Pupponi est maire de Sarcelles depuis dix-huit ans. Une
ville où coexistent depuis des décennies des communautés de confession
différente. Chrétiens chaldéens, musulmans, juifs… un mélange qui fait
la fierté de l'élu.
À l’heure du "vivre ensemble", un débat ravivé au lendemain des attentats de janvier,
la ville de Sarcelles (Val-d’Oise) fait figure de modèle : croyants de
toutes religions et non-croyants cohabitent sans heurts ni animosité.
[...]
"La laïcité n’est pas la négation du religieux. Il ne faut pas la
favoriser. Il ne faut pas la développer. Il ne faut pas faire de
prosélytisme quand on est élu. Mais on doit, quand les gens croient en
France – et ce qui fait la fierté de notre pays est de faire en sorte
qu’on puisse croire ou ne pas croire – il faut bien 'en tenir compte'.
Il faut bien les écouter, les entendre", s’explique le maire.
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* Un point de vue sous un autre angle :
Elisabeth Lévy est journaliste et directrice de la rédaction de « Causeur ». Dans son numéro de mai, le magazine s’interroge sur la place des catholiques en France.
- Le nouveau numéro de Causeur est consacré aux cathos : « les mal-aimés de la République ». N’avez-vous pas l’impression d’exagérer ? Si les chrétiens d’Orient sont incontestablement des victimes de l’histoire, peut-on vraiment considérer les chrétiens français comme une « minorité opprimée » ?
Elisabeth Lévy : D’abord, permettez-moi de vous rappeler que notre titre est « Et les chrétiens d’Occident ? ». Ceci étant, bien sûr que les cathos ne sont pas une minorité opprimée, en réalité, ils constituent une majorité culturelle qui se sent opprimée et c’est cette perception que nous avons voulu analyser et interroger. Il ne s’agit évidemment pas d’encourager ce sentiment victimaire. Mais force est de constater que, dans le discours public et médiatique, on prend beaucoup de gants avec les autres religions et très peu avec la religion majoritaire. Personnellement, je souhaite qu’on ne prenne pas trop de gants avec les croyances des uns et des autres mais tout le monde doit être logé à la même enseigne.
[...]
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*Et pourquoi pas ce point de vue :
* Un point de vue sous un autre angle :
Élisabeth Lévy : « Ne devenons pas des Français zombies ! »
Elisabeth Lévy est journaliste et directrice de la rédaction de « Causeur ». Dans son numéro de mai, le magazine s’interroge sur la place des catholiques en France.
- Le nouveau numéro de Causeur est consacré aux cathos : « les mal-aimés de la République ». N’avez-vous pas l’impression d’exagérer ? Si les chrétiens d’Orient sont incontestablement des victimes de l’histoire, peut-on vraiment considérer les chrétiens français comme une « minorité opprimée » ?
Elisabeth Lévy : D’abord, permettez-moi de vous rappeler que notre titre est « Et les chrétiens d’Occident ? ». Ceci étant, bien sûr que les cathos ne sont pas une minorité opprimée, en réalité, ils constituent une majorité culturelle qui se sent opprimée et c’est cette perception que nous avons voulu analyser et interroger. Il ne s’agit évidemment pas d’encourager ce sentiment victimaire. Mais force est de constater que, dans le discours public et médiatique, on prend beaucoup de gants avec les autres religions et très peu avec la religion majoritaire. Personnellement, je souhaite qu’on ne prenne pas trop de gants avec les croyances des uns et des autres mais tout le monde doit être logé à la même enseigne.
[...]
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*Et pourquoi pas ce point de vue :
Port du voile dans l'entreprise : la France place la laïcité avant tout. Une erreur
Par Mehdi Thomas Allal et Asif Arif
Militants anti-discriminations
Militants anti-discriminations
LE PLUS. Faut-il défendre corps et âme la laïcité ? C'est du moins ce qu'a fait la justice française dans l'affaire Baby-Loup.
Pour tenter de comprendre la conception que la France a du voile, Asif
Arif et Mehdi Thomas Allal tentent une approche comparative entre la
jurisprudence de la Cour suprême des Etats Unis et celle de la Cour de
la cassation.
[...]
-
C’est
au travers de distributions régulières de livrets du « Chemin du
bonheur », de plus en plus appréciées par le public parisien, que
l’Eglise de Scientologie supporte la fondation du « Chemin du Bonheur » pour ses actions de large diffusion du livret du même nom.
Ce
code moral non religieux réconcilie à lui seul les valeurs de la
République et celles de toute personne de bonne volonté quelle que soit
sa confession.
- See more at: http://scientologie-espace-presse.fr/laicite-et-religion/#sthash.hSgBV4ad.dpufLaïcité et religion.
L’Eglise de Scientologie réconcilie laïcité et religion
- See more at: http://scientologie-espace-presse.fr/laicite-et-religion/#sthash.hSgBV4ad.dpuf
C’est
au travers de distributions régulières de livrets du « Chemin du
bonheur », de plus en plus appréciées par le public parisien, que
l’Eglise de Scientologie supporte la fondation du « Chemin du Bonheur » pour ses actions de large diffusion du livret du même nom.
Ce
code moral non religieux réconcilie à lui seul les valeurs de la
République et celles de toute personne de bonne volonté quelle que soit
sa confession.
- See more at: http://scientologie-espace-presse.fr/laicite-et-religion/#sthash.hSgBV4ad.dpufLaïcité et religion.
L’Eglise de Scientologie réconcilie laïcité et religion
- See more at: http://scientologie-espace-presse.fr/laicite-et-religion/#sthash.hSgBV4ad.dpuf
C’est
au travers de distributions régulières de livrets du « Chemin du
bonheur », de plus en plus appréciées par le public parisien, que l’Eglise
de Scientologie supporte la fondation du
« Chemin du Bonheur » pour ses actions de large diffusion du
livret du même nom.
Ce
code moral non religieux réconcilie à lui seul les valeurs de la République et
celles de toute personne de bonne volonté quelle que soit sa confession. [...]
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