Alors que la ministre de l'Éducation agite le mirage de la « dictée quotidienne », ses nouveaux programmes ne réservent que peu de place à l'apprentissage du vocabulaire. Tout comme les anciens. « Il y a bien quelques frémissements, mais cela reste insuffisant », estime le linguiste Alain Bentolila, reçu le 1er octobre par Najat Vallaud-Belkacem.
Ces mots qui servent à dire, communiquer, conceptualiser, argumenter, se défendre manquent cruellement à certains écoliers… « Le vocabulaire se rétrécit », résume Alain Bentolila, qui formule ce message d'alerte depuis 2007, date à laquelle il a rendu un rapport sur le sujet au ministre en exercice. « Lorsque les mots précis manquent aux élèves, c'est le sens qu'ils tentent de donner au monde qui s'obscurcit », écrit-il, [...]
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Dès les années 50, Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, avait constaté les échecs du système éducatif. Pour remédier à cette crise, il a alors commencé à développer une « technologie » de l'apprentissage, qui permettrait de maîtriser n'importe quel sujet. Ces percées pédagogiques sont connues sous le nom de « technologie de l'étude ». Elles apportent aux élèves et aux étudiants de tous âges et de tous niveaux l'élément qui manque dans l'éducation moderne : la capacité d'apprendre à apprendre.
Ron Hubbard a décrit l'envergure du défi éducatif : « L'objectif de toute société qui s'attache à résoudre le problème de l'éducation est d'augmenter les aptitudes, l'initiative et le niveau culturel de cette société, et grâce à cela, son niveau de survie. »
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