mardi 29 novembre 2016

L’éthique du journalisme n’est pas un éthique du vrai mais une éthique du bien

Ingrid Riocreux, agrégée de lettres modernes et docteur à l'université Paris-Sorbonne analyse avec pertinence la subjectivité des journalistes dans leurs propos. Dans son livre « La Langue des médias. Destruction du langage et fabrication du consentement », elle présente un décryptage acide de la production du Journaliste sous un angle
original : celui de la subjectivité qui transparaît malgré lui dans ses œuvres.



Tant que la « recherche de la vérité » ne prime pas sur les autres objectifs, tant que cet aspect inconscient de la conception de l’information n’est pas ouvertement abordé, tant qu’il ne fait pas l’objet d’un minimum de régulation, une chose est sûre : le divorce entre le public et ses informateurs ne fera que s’amplifier.
Comme certains lecteurs, elle s'interroge sur l'éthique et la déontologie des journalistes.


Editions de l’Artilleur/Toucan



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