Qui
pourrait croire à la destinée meurtrière de subventions accordées
par le Pays des Droits de l’Homme ?
FECRIS, le scandale du financement à 100 % par la France d'une organisation qui soutient la répression sanguinaire du Falun Gong
Valls,
alors Premier ministre de la France, rappelait il y a quelques
semaines à l’Assemblée Nationale, qu’en France il n’y avait
pas de définition légale du mot « secte ». Or, les services du
Premier ministre français financent à 100% une association, appelée
la FECRIS (Fédération Européenne des Centres de Recherche et
d’Information sur le Sectarisme), reconnue par le Conseil de
l’Europe et l’ONU comme une organisation non gouvernementale
(peut-être pas pour longtemps) et dont le but selon ses statuts est
de désigner « comme secte ou gourou l’organisation ou l’individu
qui fait commerce de croyances et de techniques comportementales ».
Comment
un Premier ministre qui déclare qu’il n’y a pas de définition
légale des « sectes » en France peut-il financer à 100% (voir
encadré ci-dessous) une Organisation Non Gouvernementale dont le but
est de désigner à la vindicte publique des « sectes » qui n’en
sont pas bien sûr, surtout quand il s’agit de Chine ou de la
Russie dont on connaît les régimes dictatoriaux et sanguinaires ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire