Il y a une association, c'est l'association « Non à la drogue, oui à la vie », qui n'a pas froid aux yeux avec les temps qui courent sur la légalisation du cannabis et qui s'acharne à mener une campagne de prévention
même devant les boîtes de nuit.
Il faut en avoir du courage.
Les drogues circulent dans nos rues et tuent des milliers de personnes, mais plus vicieuses sont celles qui ont causé dernièrement la catastrophe de l'A340 avec ses 150
morts, nous révélant la triste réalité des méfaits des drogues psychiatriques.
Cette association soutenue par l'Église de Scientologie continue son combat dans toute la France.
L'humaniste Ron Hubbard dans les années 60 avait déjà cerné avec beaucoup
de justesse la situation : « En l'absence d'une psychothérapie efficace, une toxicomanie
généralisée est inévitable. Quand une personne est déprimée ou souffre, et
lorsqu'aucun traitement ne lui procure de soulagement physique, elle finira par
découvrir que les drogues éliminent les symptômes. Lorsque finalement elle
découvre que seules les drogues peuvent la soulager, elle y succombe et tombe
sous leur empire, allant souvent jusqu'à la dépendance. »
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mardi 14 avril 2015
lundi 16 mars 2015
Des droits pour tous dont celui de ne pas se droguer
En parcourant différents sites, je trouve une info intéressante.
A Toulouse, l'association "Non à ladrogue, oui à la vie" qui est supportée par l'Eglise de Scientologie en France selon les bénévoles, distribue, comme à son accoutumée, des petits livrets de prévention contre l'addiction aux drogues.
Nul ne peut ignorer ce qui se passe dans la rue. Et donc ces centaines de livrets distribués gratuitement ont intéressé un responsable de comité de quartier qui a pris plusieurs livrets pour en parler aux autres membres de son comité. C'est un sérieux problème pour eux.Ou encore ces commerçants qui mettent les livrets à la disposition de leurs clients.
Des parents qui relèvent le côté pédagogique intéressant des petites brochures et qui veulent l'utiliser pour informer leurs enfants. Et que dire de ces jeunes drogués, désireux de stopper leur descente mortelle ?
A Toulouse, l'association "Non à ladrogue, oui à la vie" qui est supportée par l'Eglise de Scientologie en France selon les bénévoles, distribue, comme à son accoutumée, des petits livrets de prévention contre l'addiction aux drogues.
Nul ne peut ignorer ce qui se passe dans la rue. Et donc ces centaines de livrets distribués gratuitement ont intéressé un responsable de comité de quartier qui a pris plusieurs livrets pour en parler aux autres membres de son comité. C'est un sérieux problème pour eux.Ou encore ces commerçants qui mettent les livrets à la disposition de leurs clients.
Des parents qui relèvent le côté pédagogique intéressant des petites brochures et qui veulent l'utiliser pour informer leurs enfants. Et que dire de ces jeunes drogués, désireux de stopper leur descente mortelle ?
Le fondateur de la Scientologie, Ron
Hubbard écrivait dans les années cinquante :
"Il a été découvert que le
toxicomane ne voulait pas en être un , mais qu'il y a été conduit par la douleur
et le désespoir liés à son environnement."
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samedi 15 mars 2014
Aider son prochain est le propre des bénévoles scientologues
Notre société a besoin des hommes
et des femmes qui mettent leur temps et leur énergie au service de la
collectivité. Les bénévoles sont au cœur de nombreux programmes humanitaires
soutenus par l’Eglise de Scientologie.
Gracia Bennish, photographe, est
l’une de ces bénévoles. Engagée dans de nombreuses activités caritatives
parrainées par l’Eglise, elle a figuré dans une édition récente de Freedom
Magazine. Elle a fait partie des ministres volontaires de Scientologie qui ont
porté assistance aux membres des équipes de secouristes victimes de
traumatismes spirituels et d’épuisement à la suite des attentats du 11
septembre.
Neuf ans après, elle s’est rendue
en Haïti pour aider ce pays à se remettre du terrible tremblement de terre de
janvier 2010.
« Une grande partie de
notre travail se passait dans les hôpitaux », se souvient-elle.
« Les médecins nous demandaient ‘Pouvez-vous aider ?’ et nous
répondions ‘Oui’. Nous avons assisté à des opérations, nous avons fait des
inventaires de fournitures médicales. C’est une chose de croire aux bonnes
actions, mais ce qui compte, c’est de transformer ses convictions en réalité. »
Qu’il s’agisse de prévention
antidrogue, d’intervention sur les sites de catastrophes, d’actions de
sensibilisation pour rendre les villes plus sûres ou de réhabilitation des
détenus en les aidant à retrouver le respect d’eux-mêmes et en leur donnant des
points de repère moraux pour leur permettre de se réinsérer dans la société,
les scientologues bénévoles donnent des millions d’heures chaque année.
Lors d’une conférence, en
décembre 1960, Ron Hubbard, fondateur de la religion de Scientologie,
expliquait le concept même de ce mouvement bénévole : « Ce qui compte,
c’est combien de services vous pouvez
rendre au monde, combien d’actions vous pouvez faire et à quel point vous
pouvez améliorer les choses. Voilà les choses importantes. Ce sont les seules
choses importantes. »
Les scientologues des cinq
continents travaillent en partenariat avec des agences gouvernementales et des
associations afin d’améliorer les conditions de vie autour d’eux.
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