jeudi 28 décembre 2017

Croire ou ne pas croire

L'article du Monde du 23 décembre 2017 : « Les raisons de ne pas croire en un dieu sont les mêmes que celles de ne pas croire au Père Noël » pose plusieurs interrogations. 

" Tribune. Que diriez-vous de parents qui raconteraient à leur enfant l’histoire du Père Noël, mais qui, alors que l’enfant grandit, ne lui diraient jamais qu’il s’agit d’une histoire inventée ? Et qui, alors que l’enfant commence à douter et à opposer des arguments rationnels à l’existence du Père Noël (par exemple, l’impossibilité physique de livrer tous les foyers du monde en une nuit), maintiendraient mordicus que l’histoire est vraie, que ses détracteurs sont mal intentionnés, qu’il est essentiel pour l’enfant d’y croire, et que, s’il n’y croit pas, le Père Noël lui infligera des punitions bien plus graves que de ne plus lui livrer de cadeaux ? "

On lit ensuite:
"Que diriez-vous maintenant de parents qui inscriraient leur enfant de 1 an (ou 5, ou 10) à un parti politique ?..."

Et encore:
" Ainsi, si l’on y réfléchit bien, de manière objective et dépassionnée, ce que font tous les parents qui élèvent leur enfant dans la religion – et que la plupart des gens (même non croyants) semblent trouver normal ... "
 
Qui faut-il croire ?
L'humaniste Ron Hubbard a écrit dans le livre Scientologie : une nouvelle optique sur la vie : 
" Ce qui est vrai pour vous est ce que vous avez observé par vous-même. Et lorsque vous avez perdu cela, vous avez tout perdu.
En Scientologie, une chose n’est vraie que si vous l’avez observée, et elle n’est vraie que selon votre propre observation. "

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