Un témoignage très factuel d'un ex-étudiant diffusé sur Rue89 le 29 août 2013 relatif aux "réformes de l’Education : comment j’ai été dé-formé au métier de prof"
[...]
Or, cela ne peut se faire sans PEDAGOGIE. Un terme qui a été presque
oublié ces dernières années dans la formation enseignante. Ou plutôt, il
a été trop peu mis en valeur par rapport à son importance réelle dans
le métier. Plutôt dommage, quand on sait que c’est justement cette
pédagogie qui nous permet de travailler avec ce jeune public.
C’est cette pédagogie qui nous permet d’apprendre comment faire
participer l’élève à un cours, comment « parler » à l’élève, comment le
faire avancer dans ses apprentissages… La base du métier, en somme.
Celle que les dernières promotions d’enseignants n’ont que bien peu
assimilés quand ils sont nommés.
En effet, dans la formation que j’ai, à vrai dire, subie, j’ai
assisté, au mieux, à des envolées lyriques de quelques heures avec les
ex-enseignants de l’IUFM, visiblement ravis (ironie) de faire désormais
partie de l’université, sachant que les universitaires ont des méthodes
d’enseignement radicalement opposées à celle d’un professeur du
secondaire. Il est clair qu’un enseignant-chercheur, qui passe 50% de
son temps dans ses recherches scientifiques, n’en a que faire de la
science pédagogique. Or, ce sont aussi eux qui nous forment. Et qui
avouent ne plus s’être intéressé aux programmes scolaires depuis des
lustres. Malaise.
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A lire sur le site suivant :
Ron Hubbard avait déjà identifié l’échec du système scolaire dans les
années 1950 et a élaboré une véritable « technologie » de l’étude avec
laquelle maîtriser n’importe quel sujet. Cette percée dans le domaine de
l’éducation est plus connue sous le nom de technologie de l’étude et
fournit à des gens de tous âges et de tous niveaux d’éducation l’élément
qui manque dans l’éducation moderne : apprendre comment apprendre.
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