Affichage des articles dont le libellé est pédagogie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est pédagogie. Afficher tous les articles

mercredi 30 novembre 2016

Prévention : la meilleure arme pour une civilisation sensée

Radicalisation: miser sur l'éducation des jeunes avant tout


Le professeur en sociologie de Longueuil, reconnu à l'international en tant que spécialiste des religions depuis plus de vingt ans, est désormais le directeur de ce centre qui compte une dizaine de chercheurs en psychologie, en sociologie ainsi que des spécialistes de l’intégrisme chrétien, judaïque et islamique…

« Nous faisons le pari que si les jeunes ont toutes les connaissances devant eux, c’est-à-dire qu'ils ont les outils pédagogiques suffisants pour aborder la question des intégrismes religieux, alors ils seront à même de faire des choix éclairés », estime Martin Geoffroy…

Martin Geoffroy insiste sur le fait que l'adolescence est une période charnière correspondant à « l'âge de la découverte et de l'expérimentation ».

« Ces jeunes font face à des difficultés nouvelles: ils doivent donner un sens à leur vie et penser à faire des choix de carrière. Ils prennent conscience aussi de leurs différences, ce qui peut être confrontant pour certains. À cette période, ils sont particulièrement fragiles et vulnérables. » 
[…]

Donnons du contenu aux jeunes

« Les gens ne connaissent plus rien du religieux, constate-t-il. On a créé des tabous, ce qui laisse la porte ouverte aux charlatans. Notre approche veut mettre en avant une connaissance scientifique du fait religieux. Il s'agit de donner du contenu aux jeunes afin qu'ils puissent faire leur choix et ne pas se replier sur eux-mêmes. Nous voulons sensibiliser aux dérives violentes de l'intégrisme par l'éducation. »

Le chercheur affirme également que l'intégrisme religieux n'est pas l'apanage d'une culture et qu'il n'y a « pas plus de violence religieuse qu'auparavant ». D'après lui, les médias exacerbent le phénomène et jouent un rôle amplificateur.

« Il y a une plus grande visibilité médiatique des tensions, ce qui cause une exacerbation inédite de la violence et une polarisation des discours religieux intransigeants », pense-t-il. 




Apprendre est essentiellement un processus qui consiste tout d’abord à étudier les données existantes, puis à faire le tri entre celles qui sont vraies et celles qui sont fausses, entre celles qui sont importantes et celles qui ne le sont pas, et enfin à tirer des conclusions que l’on puisse mettre en pratique. Celui qui procède ainsi est bien avancé sur la voie de la compétence. Toute “vérité” a pour seul critère : est-ce vrai pour vous ?” - Extrait du livret  Le chemin du bonheur, L. Ron Hubbard.


jeudi 29 août 2013

Une méthode d'éducation efficace qui dérange déjà ?

Sur le site de Le Point.f, un article qui visiblement va déranger ceux qui ne souhaitent pas que les enfants réussissent et donc jeter la polémique sur ceux qui ont des méthodes efficaces, voici quelqu'un qui a osé :   

Il a créé la Khan Academy, une association à but non lucratif qui poste des cours en ligne. Son succès phénoménal ébranle la pédagogie de papa. 

Une révolution pédagogique est en marche. Elle a pour nom un drôle de sigle : MOOC (pour massive open online course). Le principe est simple : des enseignants postent la vidéo de leurs cours sur Internet. C'est gratuit et ouvert à tous. En classe, leurs étudiants ont droit de poser leurs questions ou de mettre en œuvre, via des exercices, ce qu'ils ont retenu de la leçon.  [...]

De fait, la Khan Academy propose surtout des cours de maths. Surtout, elle repose sur deux principes qui font grincer des dents nos professeurs. D'abord, l'idée qu'un cerveau ne peut soutenir l'attention que 15 minutes au maximum ; puis, l'idée d'une éducation "inversée" : celle où la leçon est reçue à la maison, et les devoirs, qui la mettent en pratique, faits en classe. Le maître n'est plus qu'un répétiteur. Son rôle n'est plus de délivrer le savoir, mais de s'assurer de son assimilation. Une révolution en effet. Difficile à ignorer, mais dont les conséquences n'ont pas fini de faire couler l'encre.

*****

 Une méthode similaire où le maître ne délivre pas le savoir mais s'assure qu'il est assimilé par l'élève a été mise au point par Ron Hubbard qui avait déjà identifié l’échec du système scolaire dans les années 1950 et a élaboré une véritable « technologie » de l’étude avec laquelle maîtriser n’importe quel sujet. 

Cette percée dans le domaine de l’éducation est plus connue sous le nom de technologie de l’étude et fournit à des gens de tous âges et de tous niveaux d’éducation l’élément qui manque dans l’éducation moderne : apprendre comment apprendre.

*****

 

 

Formation ou dé-formation pour les futurs enseignants

Un témoignage très factuel d'un ex-étudiant diffusé sur Rue89 le 29 août 2013 relatif aux "réformes de l’Education : comment j’ai été dé-formé au métier de prof"

[...]

Or, cela ne peut se faire sans PEDAGOGIE. Un terme qui a été presque oublié ces dernières années dans la formation enseignante. Ou plutôt, il a été trop peu mis en valeur par rapport à son importance réelle dans le métier. Plutôt dommage, quand on sait que c’est justement cette pédagogie qui nous permet de travailler avec ce jeune public.

C’est cette pédagogie qui nous permet d’apprendre comment faire participer l’élève à un cours, comment « parler » à l’élève, comment le faire avancer dans ses apprentissages… La base du métier, en somme. Celle que les dernières promotions d’enseignants n’ont que bien peu assimilés quand ils sont nommés.

En effet, dans la formation que j’ai, à vrai dire, subie, j’ai assisté, au mieux, à des envolées lyriques de quelques heures avec les ex-enseignants de l’IUFM, visiblement ravis (ironie) de faire désormais partie de l’université, sachant que les universitaires ont des méthodes d’enseignement radicalement opposées à celle d’un professeur du secondaire. Il est clair qu’un enseignant-chercheur, qui passe 50% de son temps dans ses recherches scientifiques, n’en a que faire de la science pédagogique. Or, ce sont aussi eux qui nous forment. Et qui avouent ne plus s’être intéressé aux programmes scolaires depuis des lustres. Malaise.

Pour en savoir plus sur cet article, cliquez

A lire sur le site  suivant : 
Ron Hubbard avait déjà identifié l’échec du système scolaire dans les années 1950 et a élaboré une véritable « technologie » de l’étude avec laquelle maîtriser n’importe quel sujet. Cette percée dans le domaine de l’éducation est plus connue sous le nom de technologie de l’étude et fournit à des gens de tous âges et de tous niveaux d’éducation l’élément qui manque dans l’éducation moderne : apprendre comment apprendre.