Deux importantes personnalités de la déradicalisation
en France ont déposé les armes : l’une en n’obtenant
pas le renouvellement de ses crédits, et l’autre en renonçant
à sa mission pour des raisons politiques. Elles ont quitté la
scène, mais il est difficile de savoir si elles ont en fait accompli
leur mission.
Il reste tout aussi difficile de savoir si ces associations 'anti-sectes', dont les objectifs, la mission et la méthodologie sont fréquemment critiqués depuis des années, ont simplement perdu leur crédibilité, provoquant une réduction graduelle du soutien apporté par les fonds publics. Ceux-ci étaient quasiment leur seule source de revenus (95% de leur budget).
La transparence et l’efficacité de la déradicalisation en question
Dounia Bouzar et Sonia Imloul, les deux grandes prêtresses de la déradicalisation, ont mis la clé sous la porte, alors même que leurs propres associations, le Centre de Prévention contre les Dérives Sectaires liées à l’Islam (CPDSI) pour la première, et la Maison de Prévention pour les Familles (MPF) pour la seconde, avaient l’habitude de tirer la sonnette d’alarme auprès du Ministère de l’Intérieur dès lors qu’un membre de la famille était potentiellement en voie de radicalisation. [...]
Les associations anti-sectes : le besoin et les intérêts
[...] Au cours des quinze dernières années, la FECRIS (Fédération européenne des Centres de recherche et d’information sur le sectarisme) a été financée quasi-exclusivement par l’État français sous forme d’une subvention spéciale allouée par le Premier Ministre. Le montant des subventions publiques de l’État français a représenté en moyenne 90%, par rapport aux cotisations de membres privés / donations. L’an dernier, les fonds publics alloués à la FECRIS et à ses affiliés en France a continué à diminuer : 25 000 € en 2015 comparé à 32 200 € en 2014.
La FECRIS compte trois associations membres en France, qui sont également presque entièrement financées par l’État français ou par des institutions publiques : l’UNADFI (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu), dont les fonds publics représentent en moyenne 96% de son financement par rapport aux cotisations de membres privés / donations ; le GEMPPI (Groupe d’Étude des Mouvements de Pensée pour la Protection de l’Individu), 94% ; le CCMM (Centre Contre les Manipulations Mentales), 98%. En 2015, l’UNADFI a reçu 42 000 € par rapport à 45 000 € en 2014 et 46 000 € en 2013. Le CCMM a reçu 17 500 € en 2015 contre 18 400 € en 2014. [...]
Pour voir ce texte en entier, visitez : http://www.coordiap.com/press29996_financement_deradicalisation_et_les_associations_anti_sectes_mis_en_cause.htm
Il reste tout aussi difficile de savoir si ces associations 'anti-sectes', dont les objectifs, la mission et la méthodologie sont fréquemment critiqués depuis des années, ont simplement perdu leur crédibilité, provoquant une réduction graduelle du soutien apporté par les fonds publics. Ceux-ci étaient quasiment leur seule source de revenus (95% de leur budget).
La transparence et l’efficacité de la déradicalisation en question
Dounia Bouzar et Sonia Imloul, les deux grandes prêtresses de la déradicalisation, ont mis la clé sous la porte, alors même que leurs propres associations, le Centre de Prévention contre les Dérives Sectaires liées à l’Islam (CPDSI) pour la première, et la Maison de Prévention pour les Familles (MPF) pour la seconde, avaient l’habitude de tirer la sonnette d’alarme auprès du Ministère de l’Intérieur dès lors qu’un membre de la famille était potentiellement en voie de radicalisation. [...]
Les associations anti-sectes : le besoin et les intérêts
[...] Au cours des quinze dernières années, la FECRIS (Fédération européenne des Centres de recherche et d’information sur le sectarisme) a été financée quasi-exclusivement par l’État français sous forme d’une subvention spéciale allouée par le Premier Ministre. Le montant des subventions publiques de l’État français a représenté en moyenne 90%, par rapport aux cotisations de membres privés / donations. L’an dernier, les fonds publics alloués à la FECRIS et à ses affiliés en France a continué à diminuer : 25 000 € en 2015 comparé à 32 200 € en 2014.
La FECRIS compte trois associations membres en France, qui sont également presque entièrement financées par l’État français ou par des institutions publiques : l’UNADFI (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu), dont les fonds publics représentent en moyenne 96% de son financement par rapport aux cotisations de membres privés / donations ; le GEMPPI (Groupe d’Étude des Mouvements de Pensée pour la Protection de l’Individu), 94% ; le CCMM (Centre Contre les Manipulations Mentales), 98%. En 2015, l’UNADFI a reçu 42 000 € par rapport à 45 000 € en 2014 et 46 000 € en 2013. Le CCMM a reçu 17 500 € en 2015 contre 18 400 € en 2014. [...]
Pour voir ce texte en entier, visitez : http://www.coordiap.com/press29996_financement_deradicalisation_et_les_associations_anti_sectes_mis_en_cause.htm
Dans la Déclaration Universelles des Droits de l'Homme des Nations Unies, signées à Paris en 1948, l'article 18, Liberté de pensée, dit : Nous avons le droit de croire ce que nous voulons, d’avoir une religion ou d’en changer si c’est ce que nous souhaitons.
L'association Des Jeunes pour les Droits de l'Homme est une association qui a pour but d’enseigner leurs droits aux jeunes et de les inciter à devenir des défenseurs efficaces pour la tolérance et la paix. Parmi les supports que cette association utilisent, il y a 30 vidéos clips illustrant les 30 articles de la Déclaration universelle des droits de
l’Homme des Nations Unies. Pour les visionner, visitez : http://fr.youthforhumanrights.org/
Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, a écrit ces mots : « Les droits de l’homme doivent être un fait, non un rêve utopique »,
et la religion de Scientologie est fondée sur les principes des droits
de l’homme. - See more at:
http://scientologie-espace-presse.fr/tolerance/#sthash.UkGxUJYt.dpuf
Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, a écrit ces mots : « Les droits de l’homme doivent être un fait, non un rêve utopique »,
et la religion de Scientologie est fondée sur les principes des droits
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Le philosophe Ron Hubbard a écrit : « Les droits de l'Homme doivent être un fait, non un rêve utopique. »
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Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie, a écrit ces mots : « Les droits de l’homme doivent être un fait, non un rêve utopique »,
et la religion de Scientologie est fondée sur les principes des droits
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