Révélation : pourquoi la Miviludes s’acharne contre la santé naturelle
Bonne nouvelle : la Mission française de lutte contre les sectes (Miviludes) a encore été condamnée par les tribunaux français !
Condamnée, une fois de plus, pour sa propagande contre la santé naturelle !
Il y a quelques mois déjà, la Justice l’avait condamnée pour avoir dit du mal de la fasciathérapie – une thérapie naturelle très sérieuse pratiquée par des kinésithérapeutes.
Cette fois, la Miviludes s’en est prise à la « médecine anthroposophique »… et mal lui en a pris !
Car cette médecine n’a rien de clandestine. Pratiquée par
des docteurs en médecine, elle est parfaitement intégrée aux systèmes de
santé de l’Allemagne, de l’Autriche ou de la Suisse.
Mais voilà, cette médecine a la particularité d’être holistique.
Exactement comme l’a fait l’Allemagne nazie le 9 juin 1941, lorsqu’elle a interdit des pratiques « spirituelles » comme… l’anthroposophie et même l’agriculture en biodynamie !
Mais heureusement, la Justice française a condamné la Miviludes dans un jugement rendu le 20 avril dernier ! [1]
Et au-delà du plaisir que j’ai à vous annoncer cette nouvelle, c’est l’occasion pour moi de vous en dire un peu plus sur cette fameuse « Miviludes ».
...
D’après l’Élysée, 250 enfants au minimum sont partis en Syrie et en Irak faire le djihad aux côtés de leurs parents.
Ces enfants ont donc pu assister :
- À l’esclavage sexuel imposé aux femmes « alliées » ;
- Et aux cérémonies de décapitation des « infidèles »
À votre avis, cela n’entre-t-il pas dans la mission de la Miviludes ?
...
Est-ce un hasard si, dans le Conseil d’Orientation de la Miviludes, on
trouve Patrick Romestaing, qui est Président du Conseil de l’Ordre des
médecins (section santé publique) ?
En savoir plus
Comme l'écrivait l'humaniste Ron Hubbard dans son guide Le Chemin du bonheur fondé sur le bon sens pour vivre heureux : " La tolérance, en matière de religion, ne veut pas dire qu’on ne peut pas
exprimer ses croyances. En essence, le concept de tolérance implique le
fait suivant : lorsqu’on cherche à détruire ou à attaquer la foi ou les
croyances d’un autre, il en résulte invariablement de graves conflits."
Voici l'exemple plus que parfait d'une dérive institutionnelle que vient de publier le journaliste Jean-Luc Martine Lagardette sur son blog :
Neelam Makhija : soupçonné à tort d’être un guru indien, il fait deux mois de prison préventive
Ingénieur indo-canadien en retraite, Neelam Makhija, 71 ans, passe deux
mois en prison et est retenu contre son gré en France pendant deux ans
et demi. Son crime, être un ami d’une coach qui y animait, une fois par
an, des séminaires de méditation ! Malgré son innocence reconnue devant
le tribunal, il ne parvient pas à obtenir réparation (financière,
morale) des préjudices subis.
[...]
Descente de gendarmerie
24 novembre 2014, M. Makhija est à Fontainebleau avec un petit groupe
de 6-7 personnes en méditation quand une escouade de gendarmerie surgit
à 7h du matin dans la maison privée où Cécile Tousignant anime un
stage. Elle arrête Mme Tousignant et son ami ainsi que deux autres
participants. Elle intervient suite au « signalement » auprès du Centre contre les manipulations mentales (CCMM) déposé par le père d’une de ses anciennes élèves. Les gendarmes,
environ une vingtaine, tous armés, se comportent comme pour sauver les
stagiaires d’un grave danger imminent.
[...]
Ce n'est pas la première fois que de telles dérives se produisent, récemment la Miviludes a été condamnée à deux reprises.
Le 7 décembre 2017, "La Miviludes condamnée, la fasciathérapie réhabilitée !"
Les médias ne se sont pas jetés sur cette annonce.
Dans le combat juridique mené conjointement par FasciaFrance
(ex-Association Nationale des Kinésithérapeutes Fasciathérapeutes-ANKF)
et la société Point d’appui pour faire retirer la fasciathérapie du
guide « Santé et dérives sectaires » publié en 2012 par la MIVILUDES, la
cour administrative d’appel de Paris a rendu le 07 décembre 2017
l’arrêt suivant : « Les informations concernant la fasciathérapie ne
doivent plus figurer dans le guide « Santé et dérives sectaires »
publié par la mission interministérielle de vigilance contre les dérives
sectaires (MIVILUDES) en avril 2012. »
Elle enjoint donc à la MIVILUDES de publier, dans un délai de 3 mois,
sur son site internet, sur l’ensemble des supports au moyen desquels
elle a rendu public ce rapport et par voie de presse dans deux
quotidiens nationaux un communiqué faisant état de ce que la
fasciathérapie ne doit plus figurer dans le guide « Santé et dérives
sectaires ». Elle a également condamné l’état à verser la somme de 1 500
euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.
Le 27 avril 2018, on peut lire sur le site de francetvinfo.fr : La "médecine anthroposophique" n'est pas une méthode à risques sectaires, selon la justice
Fallait-il classer "la médecine anthroposophique" parmi les méthodes
thérapeutiques à risques sectaires, comme l'a fait la Mission
interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires
(Miviludes) ?
Non, a répondu le tribunal administratif de Paris, qui demande au
Premier ministre de la retirer de son guide "Santé et dérives
sectaires", paru en 2012, selon un communiqué de l’AFP. [...]
-
Dans le même ordre de dérive institutionnelle, petit rappel: La Cour de cassation confirme la condamnation de l’Unadfi face à l’église de scientologie
Le 12 janvier 2017, la Cour de cassation a rejeté un pourvoi de l’Union
des associations de défense des familles et de l’individu (Unadfi), qui
se plaignait d’avoir été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour
abus de droit.
-
Voici un article qui fait froid dans le dos et qui est l'illustration des dérives de certaines institutions qui font de l'excès de zèle.
Publié sur le site Ouvertures.net, en voici la teneur:
Neelam Makhija : soupçonné à tort d’être un guru indien, il fait deux mois de prison préventive
Ingénieur indo-canadien en retraite, Neelam Makhija, 71 ans, passe deux
mois en prison et est retenu contre son gré en France pendant deux ans
et demi. Son crime, être un ami d’une coach qui y animait, une fois par
an, des séminaires de méditation ! Malgré son innocence reconnue devant
le tribunal, il ne parvient pas à obtenir réparation (financière,
morale) des préjudices subis.
Entre 2010 et 2014, il rend plusieurs visites en France à son amie
canadienne Cécile Tousignant, qu’il connaît depuis 2007. Elle est coach
de vie et professeur de méditation inspirés d’un maître indien[1]
(en France et au Québec). Celle-ci invite son ami à participer à trois
de ses stages de méditation d’une durée respective de 2, 4 et 7 jours.
[...]
Descente de gendarmerie
24 novembre 2014, M. Makhija est à Fontainebleau avec un petit groupe
de 6-7 personnes en méditation quand une escouade de gendarmerie surgit
à 7h du matin dans la maison privée où Cécile Tousignant anime un
stage. Elle arrête Mme Tousignant et son ami ainsi que deux autres
participants. Elle intervient suite au « signalement » auprès du Centre
contre les manipulations mentales (CCMM) déposé par le père d’une de ses
anciennes élèves. Les gendarmes, environ une vingtaine, tous armés, se
comportent comme pour sauver les stagiaires d’un grave danger imminent.
« Ce sont les gendarmes qui nous ont manipulés »
[...]
« J’espère que le pouvoir politique en place examinera de près le prix
payé par la dégradation de l’image de la France dans le monde en raison
de son soutien à des instances comme la Miviludes. »
[...]
_
Pour appuyer cet article, la Miviludes vient de publier un communiqué le 19 juillet 2018 disant :
La commission d’enquête sénatoriale présidée par Monsieur Bernard Cazeau et dont la rapporteure est Madame Sylvie Goy-Chavent vient de publier un rapport sous le titre « L’organisation et les moyens des services de l’Etat pour faire face à l’évolution de la menace terroriste » (rapport n° 639).
Celui-ci comporte des propositions de mesures visant à améliorer le dispositif actuellement en place. La mesure n° 46 a particulièrement attiré l’attention de la Miviludes, qui souhaite par ce communiqué apporter quelques précisions.
- Conformément à la circulaire du Premier ministre du 25 mai 2005, les listes de sectes publiées lors des commissions d’enquête parlementaires de 1995 et 1999 n’ont plus aujourd’hui qu’une valeur historique. L’établissement d’un tel document ne saurait emporter aucune conséquence de nature juridique et serait contraire aux principes constitutionnels.