Les participants au Sommet réclament des actions d’éducation sur le
terrain
L’Union des Jeunes
Africains (African Youth Union – AYU) a accueilli représentants officiels et
ONG pour son 3ème Sommet, qui a eu lieu à l’Eglise de Scientologie
de Pretoria le 17 et 18 octobre. Le thème choisi cette année était :
« En route vers l’action : dépasser la rhétorique pan-africaine ».
Le sommet était co-organisé par l’Union
des Jeunes Africains et Youth for Human Rights International, une
association pour l’éducation aux droits de l’homme parrainée par l’Eglise deScientologie.
L’objectif du sommet de cette année
était de lancer une grande campagne pour l’éducation des jeunes Africains. Près
de 65% de la population de l’Afrique a moins de 35 ans. Plus de 34% ont entre
15 et 35 ans. Chaque année, près de 10 millions de jeunes arrivent sur le
marché du travail.
Malgré la richesse de ce continent en
ressources humaines et en ressources naturelles, on trouve18 pays d’Afrique
parmi les 20 derniers pays du classement établi par le Rapport sur le
développement humain 2013 publié par l’ONU, classement qui se base sur un
indice composite qui prend en compte l’espérance de vie, l’éducation et le
niveau de revenus.
Les participants ont évoqué divers
sujets ayant trait aux droits humains. A la fin de la conférence, délégués et
invités ont présenté des projets concrets pour atteindre l’objectif du sommet.
Ces projets reflètent la diversité des parcours et des priorités des
participants, et prévoient en particulier de :
- régler le problème des pays d’Afrique soutenant des rebelles qui commettent crimes et violences
- donner aux jeunes le sens de l’humanité et de l’hospitalité face aux questions d’immigration
- rester unis, en tant que responsables de demain, pour faire une différence afin que l’Afrique devienne un lieu où mieux vivre pour tous les Africains
« Je m’occupe de programmes de
soutien dans un orphelinat »
Les délégués ont décidé de s’impliquer
ou de s’engager plus à fond dans un grand nombre de projets concrets :
- « L’éducation est un outil très important qui doit être promu et encouragé à la maison, à l’école et dans la société en général. »
- « J’ai réalisé qu’il fallait intégrer la composante des droits de l’homme dans les programmes pour la jeunesse dont je suis responsable : une approche holistique est ce dont les jeunes ont besoin dans leur éducation.»
- « Comme je suis à l’université, j’aimerais travailler avec d’autres étudiants. L’une de nos idées est de lancer une campagne de nettoyage durable dans un township local ».
- « Je m’occupe de programmes de soutien dans un orphelinat, en intégrant l’estime de soi des enfants, leur respect d’eux-mêmes et des autres, les droits humains, la responsabilité, la lecture, l’éducation et les arts. »
- « Je veux consacrer mon temps libre à enseigner l’agriculture dans mon village… commencer petit, puis donner l’exemple de changements positifs en Afrique »
- « J’aimerais permettre aux gens de mieux comprendre l’anglais dans les écoles des régions rurales et des townships de ma région, et aider à l’apprentissage de la lecture et des dialectes ».
- « Je vais lancer une coopérative dans le domaine de la mode et du textile avec un groupe de jeunes, en utilisant nos propres tissus dans l’esprit de l’identité africaine ».
- « Je vais lancer un programme auprès des étudiants en droit… pour qu’ils aillent donner des conseils juridiques gratuits dans les régions rurales et semi rurales, et qu’ils mettent les droits de l’homme en pratique dans leur application de la loi ».
Les actions entreprises auront un impact
fort dans nos sociétés
Tim Mugerwa, président de l’Union des
Jeunes Africains, a remercié tous ceux qui avaient contribué au succès de ce
sommet et a annoncé que le sommet de l’an prochain se tiendrait à Kampala, en
Ouganda. Il a exprimé sa conviction que « les actions que vous avez
décidé d’entreprendre auront un impact fort dans nos sociétés. »
L’Union des Jeunes Africains, basée à
Prétoria, est une association pan-africaine dont les membres se trouvent à
travers tout le continent. Elle s’efforce d’améliorer la vie des Africains en
inculquant aux jeunes des valeurs de fierté et de solidarité entre les peuples
africains.
L’Eglise de Scientologie de Pretoria,
une église dite « idéale », a été inaugurée le 23 février 2013.
Conçue pour être au service des scientologues dans leur progression vers la
liberté spirituelle, elle est également au service de la collectivité : un
lieu de rencontre pour tous ceux qui veulent travailler ensemble afin
d’améliorer les conditions de vie de tous les habitants, quelle que soit leur
religion.
Les scientologues des cinq continents
travaillent en collaboration avec des organisations gouvernementales et non
gouvernementales, pour faire connaître à grande échelle et faire respecter la
Déclaration universelle des droits de l'homme de l'ONU de 1948, premier
document international de protection des droits humains.
L’Eglise de Scientologie a récemment
publié la brochure Scientologie : notre aide – Tous unis pour les droits del’homme, Faire des droits de l’homme une réalité mondiale, afin de répondre
aux demandes d’information sur les actions d’éducation et de sensibilisation
aux droits de l’homme soutenues par l’Eglise. Pour en savoir plus, voir le site
www.scientology.org/humanrights
Ron Hubbard, fondateur de la
Scientologie, a écrit ces mots : « Les droits de l'homme doivent être
un fait, non un rêve utopique », et la religion de Scientologie est
fondée sur les principes des droits de l'homme. Le Code du scientologue appelle
tous ses membres à s'engager à « soutenir les authentiques actions
humanitaires dans le domaine des droits de l'homme. »
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