mardi 17 décembre 2013

Droits et devoirs : ils se sont fait entendre sur les pavés parisiens



Paris – Ce samedi 14 décembre, l'association internationale Des Jeunes pour les Droits de l’Homme (Youth for Human Rights international) a commémoré les 20 ans d’existence du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme à l’occasion de la Journée anniversaire des Nations Unies pour les Droits de l'Homme du 10 décembre.

Les membres de l’association de tous âges se sont rassemblés en grande foule sur le parvis de la gare Montparnasse pour participer à la Marche internationale pour les Droits de l'Homme et étaient armés d’une imposante bannière où on pouvait lire « Les Droits de l’Homme, qu’est-ce que c’est ? ». Sous les couleurs bleu roy et le logo de l’association, le cortège est remonté en musique par la rue de Rennes, le boulevard St Germain jusqu’à la Fontaine Saint Michel. Alors qu’un mégaphone scandait les 30 articles de la Déclaration universelle, des membres distribuaient des centaines de prospectus et de livrets éducatifs illustrant ces articles. Les passants surpris par la musique se sont retrouvés face à la nuée bleue du cortège et à ses pancartes où on pouvait également lire ces droits.

148 femmes ont succombé
En effet, la France n’est pas épargnée quant aux violations flagrantes des Droits de l'Homme dont certaines entraînent des traumatismes parfois sévères. Chaque année, près de 200 000 femmes sont victimes des violences physiques de leur compagnon et une femme sur 10 est victime de violences conjugales, qu'elles soient verbales, physiques, sexuelles ou psychologiques. Selon une étude du ministère de l'Intérieur émise en 2012, 148 femmes ont succombé en l'espace d'un an des coups de leur compagnon.

Bien que, comme le déclarait Ban Ki-Moon, Secrétaire général de l'ONU : « Ce sont les États qui doivent en premier lieu protéger les droits de l’homme et prévenir les violations de ces droits au niveau national… ces 20 dernières années ont été marquées par des génocides et par de nombreuses autres violations choquantes et massives du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire ».

Pour solliciter ainsi les Etats du Monde à respecter cette Déclaration et pour sensibiliser les citoyens, des milliers de gens de l’association des Jeunes pour les Droits de l'Homme, se sont joints à une marche internationale menée ce jour dans plus de 30 pays et six continents. Plusieurs associations également défenseurs des droits les ont rejoints. Cette initiative a été encouragée par des représentants de différentes églises de Scientologie dans le monde entier.

Le but de l’association internationale Des Jeunes pour les Droits de l’Homme est de sensibiliser la population sur leurs droits et devoirs envers la société de façon à ce qu’ils deviennent de précieux défenseurs de la tolérance et de la paix. Ceci est réalisé, depuis sa création en 2001, chaque semaine en France et dans le monde entier pour faire connaître la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme adoptée par les États membres des Nations Unies, le 10 Décembre 1948 à Paris, au Palais de Chaillot.

Pour plus d’information, visitez le site sur l’association et obtenez gratuitement le DVD avec les 30 clips vidéo illustrant les 30 articles traduits en 18 langues : http://fr.youthforhumanrights.org/

mardi 10 décembre 2013

Scientologie : Conférence sur l’éducation aux Droits de l’Homme à Paris

En amont de la journée internationale des Droits de l’Homme de l’ONU, l’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie–Celebrity Centre de Paris a organisé le 6 décembre 2013 une conférence intitulée « Education aux droits de l’Homme : connaissance et reconnaissance des droits fondamentaux. » Artistes de renommée internationale, représentants d’organisations internationales, journalistes et responsables associatifs se sont succédés pour évoquer la nécessité de faire des Droits de l’Homme des droits connus par tous pour qu’ils deviennent une réalité partout, toujours.

Le pianiste de renommée internationale Cyprien Katsaris, Artiste de l’UNESCO pour la Paix, Commandeur de l’Ordre de Mérite du Grand-Duché de Luxembourg, Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres et Médaille Vermeil de la Ville de Paris, de passage à Paris entre un concert à Shanghai et un autre en Allemagne, a ouvert la conférence par un récital improvisé à la manière des pianistes classiques d’antan. Il a ensuite rappelé que pour lui, la musique était un formidable vecteur de promotion des Droits de l’Homme, de par son caractère universel et non discriminatoire. 

Description de l'image  Cyprien Katsaris photo officielle paysage.jpg. 

L’intervention suivante fut celle de Doudou Diène, Vice-Président du Conseil scientifique de l’Institut international de recherche, politique de civilisation du Centre Edgar Morin, ancien directeur du département interculturel de l’UNESCO et ancien Rapporteur spécial de l’ONU sur la discrimination, actuellement expert indépendant de l’ONU. En déplacement en Angola, celui-ci avait enregistré son intervention en vidéo (https://www.youtube.com/watch?v=TJ2CTK2b0Gw). Interrogé sur la nécessité d’enseigner les Droits de l’Homme à un niveau où ils puissent être compris par tous, Doudou Diène a résumé la vision qu’il partage avec l’UNESCO : « Enseigner les droits de l’Homme comporte deux dimensions. Certes enseigner les règles de droit, qui ont été élaborées ensemble par les pays, tous les pays : non discrimination, liberté de religion, etc., mais il faut aussi promouvoir l’éducation aux droits de l’homme. C’est à dire montrer que les expressions juridiques des droits, la dimension légale, n’a de sens et de substance que par rapport à des valeurs, une éthique, une humanité qu’il va falloir enseigner aux enfants. Donc enseigner la norme juridique, mais aussi enseigner la valeur. »

Bintu Mulongo, Présidente d’Action des Femmes Africaines Solidaires (AFAS), a poursuivi par un hommage à Nelson Mandela, tandis qu’elle a souligné la nécessité de promouvoir la déclaration universelle des Droits de l’Homme comme un outil pratique et non théorique, tant dans des contextes terribles comme celui des femmes violées dans l’est du Congo Kinshasa, que dans des contextes européens où des idéologies racistes, discriminatoires ou xénophobes peuvent mener à des violations quotidiennes et insupportables des droits fondamentaux. Elle a finalement déclaré « Les Droits de l’Homme sont un rêve, et rêver est un droit pour lequel nous devons nous battre, mais c’est un rêve qui n’a de valeur que s’il devient réalité. »
Khorram RASHEDI, Ecrivain et journaliste d’origine iranienne, Docteur en sciences politiques, est intervenu pour rappeler l’importance du « Cylindre de Cyrus », texte proclamé en 539 avant JC et qui n’est autre que le premier document connu qui s’apparente à une « charte des Droits de l’Homme », et qui a inspiré les peuples du monde quant à l’importance de formuler des droits fondamentaux et universels au cours des âges.  

Eric Roux, Président de l’Union des Eglises de Scientologie de France, a présenté le travail des différentes associations qui sont parrainées par l’Eglise de Scientologie dans le domaine de l’éducation et la promotion des Droits de l’Homme, autour des mots du fondateur de la scientologie L. Ron Hubbard : « Les Droits de l’Homme doivent devenirune réalité, et non un rêve utopiste. » Il a ensuite présenté la brochure « Scientologie, notre aide : unis pour les Droits de l’Homme » sur les actions entreprises par l’Eglise dans le monde entier dans le domaine des Droits de l’Homme, en application du code du scientologue qui stipule dans son point 8 que les scientologues s’engagent à « soutenir les véritables actions humanitaires dans le domaine des Droits de l’Homme. »

Pour plus d’informations sur les actions des scientologues dans le domaine des droits de l’homme, de leur promotion et de leur enseignement, consultez www.scientologie.fr.

lundi 9 décembre 2013

Marathon à Tokyo : procédés d'assistance scientologues


L’Eglise de la scientologie s’intéresse au marathon

Des membres de l’Eglise de la scientologie de Tokyo étaient présents au récent marathon Ichikawa, pour y assister les coureurs à l’arrivée en leur expliquant une technique spéciale de la Scientologie pour mieux récupérer.



voir l'article : http://www.vo2.fr/actualite/marathon-leglise-de-la-scientologie-sinteresse-au-marathon-27112013-8012.html

L’Eglise de la Scientologie de Tokyo a mené une opération très étonnante lors du marathon d’Ichikawa d’octobre dernier. Des volontaires de cette Eglise ont installé à l’arrivée des stations de récupération pour montrer aux coureurs une technique spéciale qui accélère la récupération.
C’est une opération qui s’inscrit dans un programme plus général visant à populariser les techniques de la Scientologie que tous ses membres apprennent. Elles forment un élément clef pour l’Eglise de la Scientologie, qui prétend aider ses membres à mettre de l’ordre dans leur vie, pour débarrasser la société de tous ses fléaux.
Les membres de la Scientologie sont aussi chargés d’inciter d’autres personnes à recourir à ces techniques, diffusées par des vidéos.
Au Japon, ce sont donc les marathoniens qui sont devenus des « cobayes » de cette opération.
Considérée dans de nombreux pays comme une religion officielle, la Scientologie [...]

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