La branche Russe
de la FECRIS est derrière les persécutions des minorités non
Orthodoxe en Russie
Depuis
des années, l’organisation parapluie « antisecte » française
est financée (presque entièrement) par le gouvernement français,
qui sous couvert du principe de la laïcité, est supposé être
neutre au sujet de la religion.
La
Convention européenne des droits de l'homme garantit le droit à la
liberté de religion ou de conviction, ce qui implique pour les États
signataires un devoir de neutralité dans les affaires religieuses.
La Fédération de Russie et la France se sont engagées à respecter
la Convention et sont liées par les obligations qu’elle impose.
En
dépit de ces obligations, la motivation de la Russie, cachée
derrière l'interdiction d'un certain nombre de mouvements non
violents, est étroitement liée à la philosophie de sécurité
spirituelle qui englobe le rejet de la diversité religieuse au
profit de l'homogénéité religieuse, la défense de l'Église
orthodoxe contre le prosélytisme des nouveaux mouvements religieux
et la protection des valeurs russes contre la contamination par des
valeurs étrangères indésirables.
L'article
18 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme stipule
« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de
conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de
changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de
manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en
public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et
l'accomplissement des rites. »